Je me dis souvent que je vais être quelqu’un qui aura une foi solide, une croyance inébranlable et qui s’attachera fermement à la religion et aimera Allah et Son Envoyé, prière et salut d’Allah sur lui.
Mais après un certain temps, je suis démotivé, puis la motivation revient, et ainsi de suite… J’en suis alors devenu très gêné.
J’aimerai, cheikh, que vous m’indiquiez le vrai chemin à suivre pour que ma foi reste ferme.
Réponse :
Le vrai chemin, c’est rester dans l’état qui te procure la pureté du cœur et l’amour du bien.
Ce que tu traverses arrive à d’autres également, certains endurent et persévèrent ; Allah les aide alors à prendre le dessus sur eux-mêmes.
Fatâwâ Islâmiyya, tome 4 page 495 et 496
copié de fatawaislam.com
Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين
Est-il permis de mettre un vêtement noir pour le deuil d’un défunt, surtout s’il s’agit de son mari ?
Réponse :
Se vêtir de noir en cas de malheur est une habitude fausse et sans fondement, et il convient devant un malheur de faire ce qui est conforme à la Loi islamique.
Il convient de dire :
« Nous appartenons à Allah et c’est vers Lui que nous retournons ; ô Allah, récompense-moi dans mon malheur et fais-le suivre par ce qui est meilleur pour moi. »
Si la personne dit cela avec foi et en comptant sur Allah, qu’Il soit Glorifié, Allah la récompense et lui accorde mieux que ce qu’elle a perdu dans son malheur.
Par contre, mettre un vêtement particulier comme le noir ou autre est un acte sans fondement, faux et blâmable.
Fatâwâ al-Mar’a, page 75
✅ Publié par salat-janaza.com
Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين
En occident ils castrent les chats prétextant la nuisance, quel est donc le jugement de cela ?
Réponse :
Si les chats sont nombreux et nuisibles et que l'opération ne leur cause aucun tort, alors il n'y a aucun mal, car cela est mieux que de les tuer après leur venu au monde.
Mais si les chats sont domestiqués et qu'ils ne nuisent pas, peut-être y a-t-il, dans le fait de les laisser se reproduire, un bien.
Fatawa islamiyya, 4/448
✅ Publié par 3ilmchar3i.net
س- في الغرب يقومون بقطع الغريزة الجنسية عند القطط بدعوى الإيذاء فما حكم ذلك
إذا كانت القطط كثيرة مؤذية ، وكانت العمليَّة لا تؤذيها : فلا حرج ؛ لأن هذا أولى من قتلها بعد خلقها وأما إذا كانت قططاً معتادة ولا تؤذي : فلعلَّ في بقائها تتنامى خيراً
فتاوى إسلامية - 4 / 448
Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين
Les opinions et les jugements concernant les jouets des enfants sont devenues nombreuses.
Quel est le jugement en ce qui concerne les poupées et les animaux tri-dimensionnels [les jouets] ?
Ils y en a qui jugent que leur possession est permise avec la condition qu'ils soient déconsidérés, et que l'on ne leur donne pas d'importance ni d'attention.
Puis il y a ceux qui jugent que cela est totalement interdit.
Quel est le jugement correct ?
Egalement, quel est le jugement concernant l'utilisation de ces cartes imagées utilisées pour enseigner aux enfants les lettres de l'alphabet, les chiffres, et les manières de faire l'ablution et la prière ?
Puissiez-vous m'informer et qu'Allâh vous récompense !
Réponse :
L'acquisition d'images de ce qui a une âme [dhawat al-arwah] n'est pas permis, excepté ces images qui sont gardées par nécessité comme les images des hafidhat an-noufouss [les cartes d'identités et les permis de conduire].
Les autres images en dehors de cela ne sont pas permises d'être conservées comme les jouets d'enfants, ni dans le but de les éduquer.
Ceci de par la généralité de l'interdiction de faire des images [taswir] et de les utiliser.
Il y a tant de jouets d'enfants qui ne contiennent pas d'images.
Et il y a d'autres moyens de les éduquer en dehors d'utiliser les images [souwar].
Quiconque permet l'acquisition d'images pour les jouets d'enfants, son opinion est rejetée, car il s'est basé sur le hadîth mentionnant les poupées de 'A-isha (radhi Allâhou 'anha) lorsqu'elle était enfant.
Cependant ce hadîth est abrogé par le hadîth qui interdit la confection d'images.
Il a également été dit que les images mentionnées dans le hadîth n'étaient pas de même forme que les images présentes de nos jours.
Plutôt, elles étaient faites de chiffons et morceaux de tissus, de bouts de bois et de brindilles connus à leur époque. Ils n'imitaient pas la forme des animaux comme ceux d'aujourd'hui.
Ceci n'est pas l'opinion correcte et Allâh est plus savant !
Les images connus de nos jours sont identiques aux animaux.
En fait, certaines bougent même comme le mouvement de ces animaux.
Quel est le jugement en ce qui concerne les photos et dessins sur les vêtements d'enfants, sachant que les vêtements d'enfants ne sont souvent pas exempts d'images ?
Réponse :
Il n'est pas permis d'acheter des vêtements sur lesquels il y a des photos et dessins de ce qui possède une âme parmi les humains, les animaux ou oiseaux.
Ceci car prendre des photos et les utiliser est harâm [interdit], de part les nombreux ahadîth authentiques qui les interdisent et menacent d'un châtiment sévère là-dessus.
Le Prophète (sallallâhou alayhi wa salam) a maudit ceux qui faisaient des images [1] et a informé qu'ils seraient le plus sévèrement châtiés le Jour du Jugement Dernier [2]
Ainsi il n'est pas permis de porter un vêtement sur lequel il y a une représentation ni il est permis d'habiller un enfant avec.
Ce qui est OBLIGATOIRE est d'acheter des vêtements sans représentations dessus, et il y en a beaucoup.
Al-mountaqa al-fatâwa, fadhilat ul-SHeikh Sâlih ibn ul-Fawzân, vol.3 p.339, fatwa n°505 - Tiré de fatawa-online.com
Question :
Que dites-vous quant au fait d'acheter/posséder des magazines dans lesquels il y a des images ?
Ces images font-elles parties de celles qui sont interdites ?
Réponse :
Acheter/posséder des magazines dans lesquels il y a des images est permis si le but de leur achat était pour ce qu'ils contiennent de connaissance bénéfique.
Et il convient pour quiconque les achète/possède d'effacer toutes photos avec de l'encre ou ce qui y est similaire.
Cependant, si le but pour l'acheter/le posséder était ce qu'il contient comme images, alors cela est interdit.
Quel est le jugement quant au fait d'accrocher des photos au mur ?
Quel est le jugement quant au fait de posséder des photos des gens ?
Réponse :
Il n'est pas permis d'accrocher ou de garder une photo de tout être possédant une âme. Il est obligatoire de détruire de telles images. Ceci car le Prophète (sallallâhou alayhi wa salam ) a dit à 'Alî (radhiallâhou anhou) :
« Ne laisse pas une image sans l'effacer ».
Il est aussi authentifié dans le hadîth de Djâbir que le Prophète (sallallâhou alayhi wa salam ) a interdit le fait d'avoir des images dans les maisons.
Ainsi, toutes les photos gardées comme souvenirs doivent être déchirés et brûlés.
Cependant, les photos dont on a besoin par nécessité, comme pour des papiers officiels d'identité ou autres, peuvent être gardées.
Fatâwa al-mar-â al-mouslimah - Sheikh Ibn BâZ - Tiré de fatawa-online.com
Question :
Le fait de prendre des photos avec un appareil est-il harâm [interdit] ou pas ?
Réponse :
Oui, prendre des photos de tout ce qui possède une âme parmi les humains et les animaux et autres qu'eux est harâm. Et il est du devoir de celui qui a pris les photos de se repentir à Allâh et de rechercher son pardon et d'être triste de ses actions passées, et de ne jamais y revenir.
Et en Allâh est le succès, et les prières et salutations d'Allâh soient sur notre Prophète (sallallâhou alayhi wa salam), sa famille et ses compagnons.
Le fait de faire dessiner [prendre des photos] de tout ce qui a une âme parmi les humains et animaux) est-il considéré un koufr majeur ou mineur, ou est-ce juste un péché ?
Réponse :
Cela n'est pas considéré comme étant un koufr majeur, mais cela fait en revanche fait partie des grands péchés, à cause de ce que cela contient comme sérieuse mise en garde et malédiction envers celui qui fait ces images.
En plus de cela, il est considéré comme étant complice du Shîrk akbar [grande association à Allâh].
Et en Allâh est le succès, et les prières et salutations d'Allâh soient sur notre Prophète (sallallâhou alayhi wa salam), sa famille et ses compagnons.
Une personne qui se nomme « Salafî » est-elle considérée comme étant une personne partisane [Mutahazibân] ?
Réponse :
Il n'y a pas de mal à s'assimiler à la « Salafiyyah » quand cela est fait dans la vérité.
Cependant, si cela est fait dans un but d'arrogance, alors il n'est pas permis de se reconnaître à la « Salafiyyah », tant que cette personne-ci est sur un autre Minhaj que le Minhaj [voie] des Salafs.
Les « Ash'arîte » -par exemple- disent « Nous sommes de Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah » mais cela n'est pas authentique.
Car ils ne sont pas sur le « Minhaj » des gens de la Sounnah et du groupe.
Il en est de même pour les « Mu'tazilah » qui se prétendent monothéistes.
« Tous prétendent avoir de l'attachement pour Laylâ, cependant Laylâ n'affirme cela pour aucun d'entre eux »
Ainsi, celui qui prétend qu'il est sur le madhhab [dogme] de « Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah », [se doit de] suivre le chemin de Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah et d'abandonner les contradicteurs.
Toutefois si [une personne] souhaite réunir le « lézard et le poisson » - comme ils le disent - c'est-à-dire de réunir une créature de terre avec une créature de mer, cela n'est pas possible, ou bien de réunir l'eau et le feu dans un récipient.
Il ne peut pas y avoir de rapprochement entre « Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah » avec le dogme [madhhab] des contradicteurs tels que les « Khawâridj », les « Mu'tazilah », les « hizbiyyîn » [partisans/sectaires] parmi ceux qui se nomment : « Le musulman contemporain ».
Tel que celui qui souhaite réunir les égarements des [gens] contemporains au Minhaj [voie] des Salafs. Donc :
« La dernière partie de cette Ummah [communauté] ne s'améliorera pas si ce n'est avec quoi se sont améliorés ceux qui les ont précédés [parmi les premières générations]. »[1]
L'essentiel : Est qu'il doit-être inévitablement peser les sujets et leur séparation. [2] [3]
Question :
Est-ce que la « Salafiyyah » est une fraction parmi les fractions, et est-ce que le fait de s'y affilier est condamnable ?
Réponse :
La « Salafiyyah » est la fraction sauvée « Firqat ul-Nâdjiyah » et ils sont eux les gens de la Sounnah et du groupe « Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah ». Et elle n'est pas une fraction parmi les fractions que peut se nommer parmi les « fractions ». Mais plutôt elle constitue le groupe sur la Sounnah et la religion.
Le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) a dit :
« Il y aura une partie de ma Communauté qui seront toujours sur la vérité, nul ne leur nuira parmi ceux qui cherchent à les induire en erreur ou à les contredire. » [4]
Et il (sallallahu 'alayhi wa sallam) a dit : « Et ma communauté se divisera en soixante treize sectes, tous iront en Enfer excepté une seule - Et ils dirent : Quelle est-elle O Messager d'Allâh ? - Et lui de répondre : A l'exemple de ce sur quoi je suis moi aujourd'hui et mes compagnons. »[5]
La « Salafiyyah » est la partie qui est sur le « Madhhab » [Dogme] des Salafs et ce sur quoi était le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam), et elle n'est pas une fraction parmi les fractions contemporaines [de notre époque].
Elle est plutôt la « Djamâ'ah » [Groupe] ancienne basée sur les « Athar » [tradition] de l'époque du Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) héritière perpétuelle, elle sera toujours sur la vérité apparente, jusqu'à ce que l'heure dernière se lève comme le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) nous en a informé. [6]
Question :
Est-ce que celui qui s'affilie à plusieurs groupes Islamiques peut-être considéré comme innovateur ?
Réponse :
Cela dépend [hassab] de la nature de ces groupes.
Pour les groupes [Djama'ât] qui ont en eux des contradictions [oppositions] au Livre et à la Sounnah, celui qui s'y affilie sera considéré comme innovateur. [7]
Question :
Quel est votre avis sur ces groupes [Djama'ât] comme jugement général ?
Réponse :
Toute personne qui s'oppose [contredit] aux gens de la Sounnah et du groupe est un égaré.
Car il n'y a pour nous qu'un seul groupe qui est « Ahl us-Sounnah wal-Damâ'ah ».
Quiconque s'oppose [contredit] à ce groupe, alors il est un contradicteur de la méthodologie du Messager (sallallahu 'alayhi wa sallam).
Nous disons -encore :
Toute personne qui contredit « Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah » fait partie des gens de la passion.
[Que ces] contradictions s'opposent aux jugements de manière falsifiée ou avec « Takfîr » [expulsion de la personne de l'Islâm], que [ces contradictions] soient grandes ou petites, lointaines ou proches de la vérité. [8]
Question :
Est-ce que l'on doit se mélanger avec ces groupes ou bien doit-on les éviter ?
Réponse :
Quand le but [recherché] dans ce mélange avec eux est de les appeler [à la vérité] - et ceci est fait par ceux qui ont la science et la clairvoyance - afin qu'ils adhérent à la Sounnah et abandonnent leurs erreurs, alors cela est quelque chose de bien et c'est ça l'appel à Allâh.
Cependant, si le mélange avec eux n'est que divertissement, et dans le but de les accompagner seulement sans aucune da'wah [appel] et sans éclaircissement aucun [de leurs erreurs], alors cela n'est pas permis.
Il n'est donc pas permis pour une personne de se mélanger avec les contradicteurs [opposants à la Sounnah] si ce n'est d'une façon bénéfique [profitable] dans la Loi Islamique, tel que les appeler à l'Islâm authentique, leur clarifier [et leur expliquer] la vérité de sorte qu'ils puissent y revenir.
Et ceci comme lorsque Ibn Mass'oûd (radhiallâhu 'anhu) est allé vers les innovateurs [al-Mubtadi'ah] se trouvant dans la mosquée, et qu'il s'est tenu devant eux et a blâmé leurs innovations.
Et [tel que] Ibn 'Abbâs (radhiallâhu 'anhu) qui est allé vers les Khawâridj leur parler et a rejeté leurs idées erronées, ce qui a fait que certains d'entre eux sont revenus [à la vérité].
Ainsi, se mélanger à eux de cette manière est quelque chose de demandé. Mais s'ils persistent dans leur mensonge [Bâtil] il est alors obligatoire de les éviter, de les fuir et de lutter contre eux pour Allâh. [9]
Question :
Est-ce qu'il est bon de mettre en garde contre ces fractions opposées à la méthodologie de « Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah » ?
Réponse :
Nous, nous mettons en garde contre tous les contradicteurs [opposants à la Sounnah] dans son ensemble, et nous disons : Attachons-nous au chemin de « Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah » et délaissons ce qui contredit « Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah » que cette contradiction soit grande ou petite [...] il est obligatoire de s'attacher au chemin [Tarîq] de « Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah » dans ce qui est grand et petit. [10]
Question :
Est-ce que la mise en garde des méthodologies [voies] contredisant la méthodologie des anciens est obligatoire ?
Réponse :
Oui, il est obligatoire de mettre en garde contre les méthodologies contredisant celle des Salafs.
Cela fait partie des conseils pour Allâh, pour Son Livre, Son Messager, les chefs des Musulmans et pour l'ensemble des gens.
Nous mettons en garde contre les gens du mal et nous mettons en garde contre les méthodologies contredisant la méthodologie Islamique, et nous expliquons ses conséquences [négatives] sur le sujet aux gens.
Nous les encourageons aussi à rester fermes sur le Livre et la Sounnah.
Tout cela est obligatoire.
Cependant, cela incombe aux gens de science pour qui il est obligatoire d'entrer dans le sujet, et ils se doivent de rendre [ces choses] claires aux gens à travers un chemin convenable légiféré et prospère -Bi-idhniLLeh [avec la permission d'Allâh]. [11]
Question :
Est-ce que la mise en garde des méthodologies opposées [à la Sounnah] et leur appel cautionne la division des musulmans et diminue leur rang ?
Réponse :
La mise en garde des méthodologies opposées à la méthodologie [voie] des anciens participe à l'unification de la parole des musulmans et cela ne divise pas leur rang.
Ce qui divise plutôt les rangs des musulmans c'est bien ces méthodologies opposées à la voie [Minhaj] des Salafs. [12]
Question :
Est-ce que ces groupes entrent dans les soixante-douze sectes vouées à leur perte ?
Réponse :
Oui.
Toute personne qui s'oppose à « Ahl us-Sounnah wal-Djamâ'ah » parmi ceux qui s'apparentent à l'Islâm dans la da'wah [appel à Allâh] ou dans la 'Aqîdah [le dogme] ou tout autre fondement de la foi [Imân], entrent dans les soixante-douze sectes et tous sont sous la menace [du terrible châtiment].
Et ils seront blâmés et punit à la mesure de leur opposition [contradiction]. [13]
Question :
Est-il obligatoire pour les Savants d'éclaircir aux jeunes et au commun des gens le danger du sectarisme, de la division et des différents groupes ?
Réponse :
Oui.
Il est obligatoire d'expliquer le danger du sectarisme, le danger de la désunion et de la division, afin que les gens voient avec clarté [et connaissance ces sujets là]. Car même le commun des gens est trompé [dans cela].
Combien d'entre eux ont été maintenant trompés par ces groupes pensant qu'ils étaient sur la vérité ?
D'où l'importance pour nous d'expliquer aux gens, les étudiants et le commun des gens, le danger des groupes et des sectes.
La raison de cela est que quand ils [les savants] restent silencieux, les gens commencent à dire : « Les savants savaient ce qu'il en était sur le sujet mais ils se sont tus »
Et c'est par cette porte qu'entre l'égarement.
C'est la raison pour laquelle il faut clarifier ces choses-là et les propager sur le sujet.
Le danger qui peut toucher le commun des gens est plus important que le danger qui toucherait les étudiants, car le commun des gens pense que le silence des savants signifie que cela est authentique, et que c'est la vérité. [14]
Question :
Est-ce que la position sur l'authenticité de la méthodologie d'une personne détermine pour lui le Paradis ou l'Enfer ?
Réponse :
Oui.
Quand la méthodologie d'une personne est authentique, elle devient un des habitants du Paradis.
Ainsi, quand elle est sur la méthodologie du Messager (sallallahu 'alayhi wa sallam) et la méthodologie des anciens pieux elle devient une personne du Paradis avec l'autorisation d'Allâh.
Mais quand elle passe sur la méthodologie de ceux qui sont égarés, elle est certes menacée du feu [de l'Enfer].
Par conséquent, l'authenticité de la méthodologie d'une personne dans [ce cas là] détermine pour lui le Paradis ou le feu [de l'Enfer]. [15]
Notes
[1] Parole célèbre de l'Imâm Mâlik Ibn Anas (radhiallâhu 'anhu) [2] Dans le même sens il a été posé la question suivante à 'Allâma SHeikh 'Abdel-'Azîz Ibn BâZ (rahimahullâh) :
« Que dites-vous de celui qui se nomme « Salafî » ou « Atharî » ? Est-ce que cela est un éloge personnel ?
Réponse [du SHeikh] :
Quand cette personne est véridique [dans sa nomination] et qu'elle est Salafî ou Atharî, il n'y a pas de mal à cela.
Cela est à l'exemple des Salafs qui disaient : untel est Salafî, untel est Atharî comme « tazkiyyah » [recommandation/éloge] chose qu'il faut [dire] nécessairement, « tazkiyah » qui est obligatoire »
- Cassette qui se nomme : « Haqq ul-Muslim » - datant du 16/1/1413 - Ta'if
Beaucoup defemme marie abuse de leur mari dans leur depense et meme des fois ils s'endettent a cause d'elles et (les femmes maries) elles pretendent que c'est leur droit.
Ceci est t'il vrai ?
Réponse :
Ceci fait partit du mauvais comportement car Allah azzawajaal dit (traduction rapprochée) :
sourate le divorce verset 7 "Que celui qui est aise depense de sa fortune et que dont les biens sont restreint depense selon ce qui Allah lui a accorde . Allah n'impose a personne que selon ce qu'il a donne et Allah fera succeder l'aisance a la gene.
Et il ne lui est pas permit de depense (demander) plus qu'il lui en est capable, Et plus que les gens,sont habituer a depenser pourleur femmes meme si il en est capable.
sourates baqara verset 228 "... Quant a elles elles ont des droits equivalentes a leurs obligation conformement a la bienfaisance . Mais les hommes ont cependant une predominance sur elles..."
De même il n'est pas permit aux maris de ne pas leurs donnees les obligations car il y a des maris qui ne respectent pas les obligations dans les depenses pour leur femmes,leurs enfants .... car ils sont trop avares, dans cette situation la femme prend de ce quelle a besoin sans que son mari le sache, car Hind fille de 'othbatou se plaigna au pres du Messager ( salalahou'alayhi wa salam) que son mari abou sofiane etait un homme avare qui ne depensait pas pour sa femme et ses enfants de ce qu'ils avaient besoins le prophete lui dit :
"" prend avec bienfaisance de son argent dans ce que tu as besoin et tes enfants.""
(rapporte par al boukhari n 2211 - moslem1714)
Compilation de fatwa volume 3 p 249
copié de darwa.com
Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine -الشيخ محمد بن صالح العثيمين
Doit-on garder un livre contenant les sens traduits du Saint Coran en français par exemple ?
Et est-il permis de lire le Coran par ces sens traduits dans une autre langue que l'arabe ?
Réponse :
Selon le consensus des ulémas, la traduction des sens du Coran n'est qu'une interprétation; il n'est pas donc permis de réciter ni la traduction de la sourate "Al-Fâtiha" ni celle d'aucune autre sourate pendant l'accomplissement de la prière.
Il faut apprendre en arabe les sourates coraniques indispensables pour rendre culte à Allâh, comme celle d'Al-Fâtiha.
Celui qui ne connaît pas la Fâtiha en arabe, doit en revanche faire la louange d'Allâh, dire "Allâh est Grand", glorifier Allâh et dire "Nulle divinité n'est digne d'adoration si ce n'est Allâh" en se tenant debout durant la prière, jusqu'à ce qu'il apprenne la récitation d'Al-Fâtiha en arabe.
Il n'est pas, en outre, permis de rendre culte à Allâh par la récitation de la traduction des sens du Coran.
Il est, cependant, possible de lire cette traduction pour comprendre les préceptes de l'islam, de consulter les ouvrages de Hadith traduits dans sa langue pour avoir connaissance des enseignements de l'islam, de choisir parmi les ouvrages dogmatiques ce qui peut l'éclairer sur le dogme des prédécesseurs pieux parmi les Compagnons et les premières générations auxquelles le Prophète (que la paix et la bénédiction d'Allâh soient sur lui) a rendu hommage et s'évertuer à apprendre la langue arabe pour pouvoir comprendre les textes du Livre Saint et de la Sunna dans la langue de leur révélation.
Fatawâ du comité permanent des recherches scientifiques et de la délivrance des fatwas, 4e question de fatwâ No. 1997.
Publié par qurancomplex.com
Comité permanent [des savants] de l'Ifta - اللجنة الدائمة للبحوث العلمية والإفتاء
Est-ce qu'il est permis de se mettre au garde-à-vous pour montrer du respect pour l'hymne national ou le drapeau du pays ?
Réponse :
Il n'est pas permis au musulman de se mettre debout pour montrer du respect pour l'hymne national ou le drapeau de pays, car ceci rentre dans les innovations blâmables qui n'existaient pas à l'époque du Messager d'Allah, prière et salut d'Allah sur lui, ou des Califes biens guidés, qu'Allah soit satisfait d'eux.
De plus, cet acte s'oppose directement avec l'obligation de suivre le pur monothéisme et de vouer le respect et la vénération à Allah Seul, et cela constitue également un moyen qui mène vers l'associationnisme.
D'autre part, le respect voué à l'hymne national ou au drapeau du pays est une ressemblance aux mécréants et une imitation dans leurs mauvaises traditions, un excès de respect qu'ils montrent envers leurs hommes de pouvoir et leurs protocoles, alors que le Prophète, prière et salut d'Allah sur lui, a interdit toute ressemblance et imitation des mécréants.
Et Allah est le Détenteur du succès et qu'Allah prie sur notre Prophète sur sa famille et ses Compagnons et les salue.
Fatwa du Comité Permanent des Recherches Scientifiques et de l'Iftâ - Page 149
copié de fatawaislam.com
Comité permanent [des savants] de l'Ifta -اللجنة الدائمة للبحوث العلمية والإفتاء
L’Islam préserve l’équilibre psychologique de l’être humain de plusieurs façons.
Ici nous allons voir comment l’Islam établit les relations entre l’homme et la femme.
La sécurité de la famille
L’Islam donne la plus grande importance à la sécurité familiale, car la famille est la cellule sociale la plus importante, elle assure l’équilibre physique et psychologique de ses membres.
Quand la famille est détruite par le divorce, l’ensemble de ses membres se trouve déséquilibrés.
Comment l’enfant peut-il grandir en bonne santé physique et morale sans ses deux parents ?
Un enfant n’à pas seulement besoin de lait, il a besoin d’affection, d’éducation, d’un bon exemple suivre.
Au sein de la famille, il apprend à développer sa personnalité, son vocabulaire, ses habitudes.
L’enfant est l’adulte de demain. En dehors de la structure familiale, il ne peut pas se développer d’une manière optimale.
Un enfant privé de la présence et de l’affection de l’un de ses parents développe des désordres d’ordre affectif.
Il peut se sentir rejeté de tout le monde, ce qui développera en lui une attitude anti-sociale. Ce mauvais ajustement social et ce manque affectif entraîneront d’autres problèmes.
La famille est le meilleur endroit pour un enfant pour grandir sentimentalement, spirituellement et même physiquement. L’Islam est donc une protection pour la famille et pour l’enfant.
L’Islam protége en fait tout le monde en protégeant la famille, car chacun d’entre nous a été un enfant et les enfants d’aujourd’hui seront les hommes et les femmes de demain.
La protection de l’enfant
L’Islam est une protection pour l’enfant de différentes façons.
Il empêche la possibilité d’avoir des enfants en dehors du mariage.
Comme nous le constatons, l’enfant issue d’une union non-matrimoniale est généralement abandonné par un de ses parents, voire les deux, et se retrouve envoyé dans un orphelinat, où certes il sera logé, nourri, partiellement éduqué, mais il ne recevra pas l’affection et l’amour dont il a le plus besoin pour évoluer d’une manière équilibré.
Pas d’enfants illégitimes
Comment l’Islam empêche-t-il les naissances d’enfants illégitimes ?
Les rapports sexuels entre homme et femme ne sont permis que dans les liens sacrés du mariage.
Cette limitation n’est pas seulement théorique mais aussi pratique, car Allah a interdit la libre fréquentation et communication entre hommes et femmes.
En effet, si les deux sexes se fréquentent librement, rien ne pourra les empêcher d’avoir des rapports sexuels illégaux et cela provoquera inévitablement des naissances d’enfants illégitimes.
L’Islam prescrit le mariage comme la base stricte du fondement d’une la famille.
L’obligation de la décence dans la tenue vestimentaire
De plus l’Islam prescrit, pour la femme en particulier, ainsi que pour l’homme, de se vêtir de manière modeste.
Ceci se traduit en pratique pour la femme par l’obligation de se couvrir entièrement le corps, de la tête aux pieds sauf le visage et les mains.
En tout état de cause, cette obligation de modestie vestimentaire est pour la société une sauvegarde contre l’immoralité des mœurs publiques.
Au contraire, dans les sociétés ou la femme est encouragée à apparaître le plus dénudée possible, le plus sexuelle possible, le résultat est connu, la décadence des mœurs s’installe.
La femme : épouse et mère
L’Islam considère la femme comme une épouse et une mère.
En contraste, la plupart des sociétés non-islamiques considèrent la femme comme un objet sexuel au détriment du rôle noble d’épouse et de mère.
L’Islam éduque et prépare la femme à son rôle d’épouse et de mère, car la famille a besoin d’une épouse dédiée à son mari et une mère dédiée à ses enfants.
Nous avons présenté comment l’Islam empêche la possibilité de naissances illégitimes en interdisant la libre fréquentation des hommes et des femmes.
Ceci est une des manières de protéger l’enfant. L’autre manière de protéger l’enfant est en protégeant la famille. À chaque mariage, une nouvelle famille est fondée, à chaque naissance la famille s’agrandit et l’Islam protége la famille en rendant le divorce difficile; même s’il est permis. Dans le cas où il y a eu prononciation de divorce, le mari a une période de 3 mois pour reprendre sa femme, qui durant cette période de 3 mois doit rester sous le toit de son mari, sans que les rapports sexuels ne leurs soient permis, à moins que le mari annonce qu’il reprend son épouse !
Le divorce est une des causes principales de la déstabilisation de la société et des enfants.
Pas de fréquentations mixtes libres
L’Islam ne permet pas à l’homme de fréquenter librement des femmes, afin de protéger sa relation avec son épouse.
L’Islam ne permet pas à la femme de fréquenter librement des hommes, afin de protéger sa relation avec son époux.
En Islam, l’homme et son épouse sont l’un pour l’autre exclusivement. Ceci est le seul moyen de protéger le mariage contre le divorce, d’éviter la destruction de la famille et de voir les enfants grandir sans connaître leur père ou mère.
À l’opposé, dans les sociétés où les fréquentations mixtes sont libres, deux graves problèmes se manifestent à cause des rapports sexuels libres en dehors du mariage : premièrement, le nombre d’enfants illégitimes est très élevé, deuxièmement, le mariage devient extrêmement fragilisé.
Les mariages ne durent pas longtemps et le taux de divorce est très élevé. Le divorce n’est pas seulement la fin légale du mariage, mais c’est aussi la source de beaucoup de stress et de problèmes pour l’ensemble des membres de cette famille: les enfants, les beaux-parents, les proches parents tous sont affectés par le divorce d’un couple.
Certes, les sociétés occidentales ont développé la technologie, les sciences modernes, l’économie industrielle, mais ils ne sont que peu concernés par la protection de la famille et de la vie familiale.
Les statistiques et les recherches abondent sur les moyens de protéger et améliorer la technologie, les sciences, la vie politique, le rendement industriel, par contre l’unité de la famille et les valeurs familiales sont complètement délaissées, aucun effort consistant n’est fait pour valoriser et protéger la noblesse du mariage et de ses valeurs.
Protection du mariage
Dans la plupart des pays occidentaux le taux de divorce atteint les 60%.
Quel est la signification de ces chiffres ?
Cela veut dire tout simplement que la structure sociale en occident détruit le mariage. Ce résultat est facile à prévoir.
En occident, les fréquentations mixtes sont libres, la consommation de l’alcool est répandue et le manque de pudeur des femmes aidant; l’adultère est chose facile pour ceux qui ne craignent pas Allah.
Dans tous ces pays, la formule est la suivante: hommes + femmes + alcool + nudité + fréquentations libres = enfants illégitimes + destruction du mariage + enfants malheureux.
Par contre avec l’Islam on obtient la formule opposée: Séparation des hommes et des femmes + alcool interdit + pudeur féminine = enfants légitimes + protection du mariage + protection des enfants.
Il est grand temps pour les spécialistes occidentaux en sociologie et psychologie de sérieusement considérer les statistiques concernant les problèmes familiaux engendrés par leur système moral et de les comparer avec les résultats obtenus dans les mêmes catégories dans les sociétés musulmanes.
Il devient évident donc que le système moral de l’Islam est le seul remède à tous ces problèmes.
L’Islam protége la famille et les enfants au sein du mariage.
L’Islam garantie aux enfants de naître avec de parents unis par les liens du mariage, protégeant ainsi l’environnement dans lequel grandira l’enfant.
Que la Paix et la Bénédiction d’Allah soient sur le Prophète Mohammed sur sa famille ses Compagnons et ceux qui l’ont suivi jusqu’au Jour du Jugement.
Le jugement par le Livre d'Allâh et la Sounnah de Son Messager (sallallahu 'alayhi wa sallam) est ce qui témoigne de la foi.
Il est obligatoire de juger par le Livre et la Sounnah concernant toutes les controverses et divergences, et non pas seulement certaines d'entre elles en dehors d'autres.
On doit juger avec ces deux sources sur les sujets de croyance qui sont les plus importants de tous.
Ainsi, le jugement par ces deux sources doit s'appliquer sur les controverses concernant les droits des gens, concernant la méthodologie dans la pratique de la personne, concernant les dogmes de pensées, sur les paroles des gens, comme les divergences jurisprudentielles (traduction rapprochée) :
« Puis, si vous vous disputez en quoi que ce soit, renvoyez-là à Allâh et au Messager » [Coran, 4/59]
Quant à celui qui ne prendra qu'une partie seulement du jugement, et délaissera ce qui est le plus important, alors il ne juge pas avec le Livre d'Allâh.
Comme certains prêcheurs qui disent ne juger, avec la Législation d'Allâh, que les sujets de controverses liées aux droits, et ne jugent pas les affaires de croyance.
Ils disent : « Les gens sont libres dans leur croyance ».
Il leur suffit de dire « Je suis musulman ».
Peu importe qu'ils soient Chiites, Djahmites, Mou'tazilites ou autres.
Ils disent : « Nous nous rassemblons sur nos accords, et nous nous excusons sur nos désaccords. »
Cela est l'une de leurs règles qu'ils appellent être une règle d'or.
Mais cela véritablement, est le fait de juger avec une partie du Livre en délaissant ce qui est le plus important de cela.
Juger avec ces deux sources dans le domaine du dogme afin de mettre fin au fait d'immoler pour les idoles, la pratique du polythéisme et la lutte contre les polythéistes, voilà ce qui est le plus important.
Celui qui ne prend qu'une partie du jugement, tout en étant négligent concernant le domaine du dogme, ainsi que sur les dogmes de pensées et méthodologies qui divisent les gens aujourd'hui, ou sur les divergences jurisprudentielles, et dit :
« Les paroles des jurisconsultes sont toutes différentes, et quelque soit celle que nous prenons d'entres elles, nous n'avons pas besoin de chercher sur quelle base elle s'appuie. »
Cela est une parole caduque.
Il est obligatoire pour nous de prendre celle qui s'appuie sur des preuves !
Il faut juger avec le Livre d'Allâh sur toutes les divergences dogmatiques, et cela est le plus important.
Et pour ce qui est des divergences liées aux droits des gens, de leurs méthodologies dans la pratique et jurisprudentielles, Allâh - Ta'âla - dit (traduction rapprochée) :
« Puis, si vous vous disputez en quoi que ce soit, renvoyez-là à Allâh et au Messager »
En résumé, il est obligatoire d'appliquer le jugement par le Livre d'Allâh et la Sounnah en toute affaire.
Et non pas sur certaines d'entres elles en dehors d'autres.
Et celui qui ne juge pas avec la Législation sur toutes les affaires, agit comme celui qui a foi en une partie du Livre et mécroit en une autre partie volontairement ou pas (traduction rapprochée) :
« Sur toutes vos divergences, le jugement appartient à Allâh. »[Coran, 42/10]
Si une personne fait un rêve érotique, doit-elle faire la grande purification, ainsi purifier tout le corps ou non ?
Réponse :
Si l'homme ou la femme a fait un rêve érotique, et ils ont vu les traces de sperme ou du liquide après le réveil, il leur est obligatoire de faire la grande purification, et il est obligatoire de faire passer l'eau sur tout le corps.
Mais si une personne a fait un rêve érotique et elle n'a pas vu de traces de sperme ou de liquide, dans ce cas, il ne l'est pas obligatoire de faire la grande purification, car on a demandé au Prophète que la paix et le salut d'Allah soient sur lui sur la femme, si elle voit dans son rêve comme l'homme et est-ce qu'elle doit faire la grande purification, il a répondu :
"oui si elle a vu le liquide"
et donc le Prophète que la paix et le salut d'Allah soient sur lui a lié l'obligation de faire la grande purification avec le fait de voir le liquide.
FatawaNouroun 'AlaAddarb (Attahara)
Traduction : KamelAlmaghribi. copié de isstiqama.neuf.fr
Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine -الشيخ محمد بن صالح العثيمين
Il est connu que les désobéissants monothéistes ne s’éternisent pas en enfer, alors que signifie l’éternité dans la parole d’Allah (traduction rapprochée) :
(Quiconque tue intentionnellement un croyant, Sa rétribution alors sera l'Enfer, pour y demeurer éternellement.) (Sourate 4 versets 93)
Réponse :
La signification de l’éternité, chez Ahl Sounnah dans la parole d’Allah (traduction rapprochée) :
(Quiconque tue intentionnellement un croyant, Sa rétribution alors sera l'Enfer, pour y demeurer éternellement.)
est le fait de rester pendant une longue durée, car l’éternité est de deux types :
- l’éternité sans fin, qui dure toujours, et ceci est l’éternité des mécréants.
- Quant à la deuxième éternité c’est celle qui est limitée et qui à une fin, ceci est celle des désobéissants monothéistes, il se peut que quelques désobéissants restent un long moment en enfer, dû à leur sévère criminalité, comme le meurtrier et autre que lui, il se peut qu’il y reste longtemps, mais il aura une fin tant qu’il est monothéiste et croyant, il ne s’éternise pas en enfer.
copié de assounnah.com
Cheikh ‘Abdel‘Azîz Bnou ‘Abdillah Ar-Râjihî - الشيخ عبد العزيز بن عبد الله الراجحي
Ce qui va suivre est un essai de clarification en ce qui concerne la ‘awra (partie du corps qui ne peut être dévoilé) de la musulmane en présence d'autres musulmanes.
Dans ce court traité, on trouvera une sélection de fatawa sur ce sujet.
Ce qui suit est une série de questions/réponses adressées à shaikh Salih ibn Fawzan ibn ‘Abdallah Al Fawzan (hafidhahullah).
Allah ta'ala dit dans Son Livre (traduction rapprochée) :
« et qu'elles ne montrent leurs atours qu'à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu'elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et qu'elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l'on sache ce qu'elles cachent de leurs parures. Et repentez-vous tous devant Allah, Ô croyants, afin que vous récoltiez le succès. »[sourate An-Nur : 31]
D’après ce qui vient d'être mis en évidence par le verset sus-mentionné, il est permis aux femmes croyantes de dévoiler leurs parures (visage, cheveux, cou, avant-bras, et le bas des jambes) entre femmes croyantes, ou aux femmes esclaves, ou aux enfants qui n'ont pas conscience de la sexualité.
La question qui vient alors, concerne le type de vêtements porté dans ces situations, parmi ce qui est souhaitable et permis.
Ainsi plusieurs questions ont été posées à shaikh Salih ibn Fawzan ibn ‘Abdallah Al Fawzan (hafidhahullah).
Question :
Beaucoup de femmes tiennent pour opinion, en ce qui concerne la ‘awra d'une femme devant une autre, qu'elle consiste en ce qui est entre le nombril et les genoux.
Ainsi, certaines n'hésitent pas à porter des vêtements très moulants ou décolletés, révélant ainsi de larges portions de la poitrine et des bras.
Que dites-vous en ce qui les concerne ?
Réponse :
Ce qui est requis des femmes musulmanes est la modestie et la pudeur, et qu'elle doit être un bon exemple pour ses sœurs musulmanes, et elle ne doit leur montrer que ce qui est considéré comme normal/approprié des femmes musulmanes pieuses.
Cela est leur devoir initial, et ce qui est meilleur (le plus sûr) car certes être inattentif et laxiste dans l'exposition de ce qui n'a pas besoin de l'être peut mener à d'autres inattentions et négligences menant à ce qui est interdit.
Et Allah est plus Savant.
(Al muntaqa min al-fatawa - vol.3 p.307 # 453).
Question :
Est-ce qu'une femme portant des vêtements moulants en face d'autres femmes entre dans le hadith : “Les femmes seront habillées mais nues” ?
Réponse :
Il n'y a aucun doute que le fait de porter des vêtements moulants révélant les parties attirantes du corps est quelque chose d'interdit, sauf si cela est porté (seulement) devant le mari.
Quant au fait de porter cela devant autre que le mari, cela est interdit.
Même s'il n'y a que des femmes présentes car elle sera un mauvais exemple pour elles.
Quand elles la verront faire cela, elles feront comme elle.
Par ailleurs, il lui a été ordonné de couvrir sa ‘awra avec ce qui est large et d'être couverte devant tout le monde, excepté son mari.
Ainsi, elle couvre sa ‘ awra en face des autre femmes, comme elle la couvre devant les hommes, sauf ce qui est considéré comme normal de montrer parmi les autres femmes, comme le visage, les mains, les pieds, et ce pour quoi il y a besoin de découvrirt/révéler (une partie du corps).
Question :
Quel est le jugement concernant le fait de porter des vêtements à travers lesquels on peut voir (transparents) au point où l'on peut distinguer les parties de son corps ?
Réponse :
Il est obligatoire à la femme musulmane que ses habits ne soient pas comme ceux qui sont si fins que la couleur de la peau puisse être vue à travers, et non plus qu'ils soient si serrés qu'ils révèlent la forme de son corps.
Ceci car le prophète (salallahu ‘alayhi wa sallam) a dit:
“ Il y a deux sortes de gens de l'enfer que je n'ai pas encore vus: des femmes habillées mais nues, quand elles marchent elles bougent leurs côtés/hanches, sur leur tête on dirait une bosse de chameau, elles n'entreront pas au Paradis ni n'en sentiront l'odeur, et des hommes qui auront des fouets ressemblant à des queues de vaches, avec lesquels ils battent le serviteurs d'Allah."
(Sahih Muslim).
Shaykh Al Islam Ibn Taymiya (rahimahullah), dans Majmu’ Al-Fatawa a dit, à propos de la parole du prophète (salallahu ‘alayhi wa sallam) : "habillées mais nues", que cela signifiait le fait de porter des vêtements qui ne la couvrent pas, alors elle est habillée mais en réalité elle est nue, comme les femmes qui portent des vêtements qui sont fins de telle sorte que l'on puisse voir sa peau, ou des vêtements qui sont moulants, révélant les formes de son corps, par exemple son derrière ou autre. Certainement, les vêtements d'une femme sont ce qui la couvre, ne montrant pas la forme de ses membres ou plus que cela, car c'est ce qui est large et non transparent.
(Al fatawa al jami’a lil imratul muslima - vol.3 p.845 # 763).
Ce qui précède sont quelques fatawa donnée par shaikh Salih Al Fawzan (hafidhahullah) sur la parure des femmes musulmanes entre elles, qui éclaircira, on l'espère, cette question.
Cependant, si quelqu'un tien l'opinion que la ‘awra de la femme musulmane en présence d'autres musulmanes est ce qui est entre le nombril et les genoux, alors il est de son devoir de :
- Donner les preuves sur cela, et aussi que cette opinion ait pour base la parole d'un savant parmi les hommes de science.
- De savoir qu'avoir une telle opinion sur la ‘awra de la femme enlève (de toute façon) la possibilité de vêtements tels que les "hipsters" ou les "jeans stretch", ou ce qui y ressemble, vu que la forme des parties du corps peut être ainsi clairement distinguée, et dès-lors cela est interdit, comme l'a expliqué le shaikh.
Article tiré du site salafipublications.com
Traduit de l'arabe par Abû Aqila.
Traduit en français par Oum Souleimen
copié de salafs.com
Cheikh Salih Bin Fawzan Bin 'Abdillah Al Fawzan -الشيخ صالح بن فوزان الفوزان
Quel est le jugement de l’islam concernant une femme qui sort un bien de la maison sans que le mari ne le sache, même si c’est une chose bénigne, que ce soit pour le donner à sa famille ou à ses amies ?
Réponse :
Il n’est pas permis à l’épouse de sortir un bien de la maison de son mari même si c’est une chose bénigne, sauf si son mari le lui a permis.
Et c’est pourquoi, si la femme désire faire une aumône ou offrir un cadeau, elle doit impérativement bénéficier de l’accord de son mari, sans quoi elle doit s’abstenir.
Fatawa Manar Al Islam
traduit par salafs.com
Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine -الشيخ محمد بن صالح العثيمين
J'aimerai savoir si un enfant âgée de 2 ans peut ce mettre nu dans une piscine privé où il y a que les gens de la famille présent.
Réponse :
L'enfant , avant l'âge de raison (c'est-à-dire : avant 7 ans environ) peut dévoiler ses parties intimes (comme c'est le cas dans ta question) , mais il m'a dit , pour les filles il faut éviter...
Question posée à Cheikh Wasyou Allah Abbâss, après un cour de sahih el Boukhâry juste avant l'adhâne de la prière du "Ichâ
l'Imâm Ibn Qoudâmah, rahimahou Allah, a dit dans son livre" el Moughnî , v/2 , page / 60" :
....أما الغلام الذي لم يبلغ تسعا فلاعوة له يحرم النظر إليها
Quant au (petit) garçon qui n'a pas atteint l'âge de 9 ans , il n'a pas de nudité qui est interdit de regarder....
Cheikh WassiouLlah ibn Mohamed 'Abbas - الشيخ وصي الله بن محمد عباس