Le jeûne du vieillard, de la vieille dame et de la personne malade, dont l’espoir de guérison n’est pas certain

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Le jeûne du vieillard, de la vieille dame et de la personne malade, dont l’espoir de guérison n’est pas certain
Parmi les règles du jeûne, l’alternative donnée au vieillard, à la vielle dame et la personne malade, dont l’espoir de guérison n’est pas certain, de manger et d’offrir, en contre parti, un repas à un nécessiteux pour chaque jour non jeûné, si le jeûne leur est pénible par l’Unanimité des savants. 
 
Ils disent : « bien que ce verset à été abrogée, c’est à dire selon la parole d’Allah – ta’ala - (traduction rapprochée) : 
 
« Mais pour ceux qui ne pourraient le supporter qu' (avec grande difficulté), il y a une compensation: nourrir un pauvre » [Sourate Al Baqara - 184]

la compensation du jeûne pour celui qui ne peut pas l'accomplir (par vieillesse ou maladie) demeure une obligation ».
 
Un groupe parmi les prédécesseurs [As-Salaf] a même dit que cette dernière obligation à été elle aussi abrogée et selon Ibn ‘Abass – qu’Allah soit satisfait d’eux - :

« ce verset n’a pas été abrogé, il comporte plutôt un statut ; il fut révélé à propos de la personne âgée et de la personne malade, qui ne peuvent pas accomplir le jeûne »
[An-Nawawî  8/21 – selon Mouslim].
 
Selon Malik, la personne qui est incapable de jeûner par rapport à son impotence n’est redevable d’aucune forme d’expiation et elle n’est pas obligée d’offrir une compensation, comme pour la personne [inguérissable] qui délaisse le jeûne à cause d’une maladie liée à sa mort.
 
Cependant, l’avis le plus juste reste celui auquel fait allusion l’Unanimité des savants, selon lequel il y a l’obligation d’une expiation [Al Moughni 4/396]. 
 

Certes, Allah est le Seul à garantir le succès.

 

Source : www.sh-rajhi.com 
Parmi les règles du jeûne - règles n°18 – 
Traduction rapprochée par Ibn Hamza Al Djazairy -  21 Ramadan, 1428 / 03-10-2007

صوم الشيخ الكبير والمرأة الكبيرة والمريض الذي لا يرجى برؤه

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ومن أحكام الصيام أن الشيخ الكبير والمرأة الكبيرة, وكذا المريض الذي لا يرجى برؤه, يفطرون، ويطعم كل واحد منهم مكان كل يوم مسكينا, إذا كانوا لا يطيقون الصوم في قول جمهور العلماء, قالوا: وإن كانت الآية منسوخة، وهي قوله -تعالى
وَعَلَى الَّذِينَ يُطِيقُونَهُ فِدْيَةٌ طَعَامُ مِسْكِينٍ
 لا أن حكم الإطعام باقٍ على من لم يُطق الصوم لكبر, وكذا مرض لا يرجى برؤه, وقال جماعة من السلف جميع الإطعام منسوخ, وقال ابن عباس - رضي الله عنهما-: ليست الآية منسوخة، بل هي محكمة، وهي نزلت في الكبير والمريض اللذين لا يقدران على الصوم. وقال مالك لا يجب عليه شيء لأنه ترك الصوم لعجزه فلم تجب عليه فدية, كما لو تركه لمرض اتصل به الموت, والصواب ما ذهب إليه جمهور العلماء من وجوب الإطعام والله الموفق

Cheikh ‘Abdel‘Azîz Bnou ‘Abdillah Ar-Râjihî - الشيخ عبد العزيز بن عبد الله الراجحي

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