L'islam a remis la femme à sa noble place

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

L'islam a remis la femme à sa noble place

La situation des peuples avant l’Islam et la condition de la femme

 

D’après un long Hadîth Qodosî (divin), rapporté par `Iyâd ibn Himar, le Prophète صلى الله عليه وسلم a transmis de la part du Seigneur:

 

«J’ai créé tous mes serviteurs fervents [1], mais les démons leur sont venus ensuite pour les détourner de leur religion ; ils leur ont interdit ce que Je leur avait autorisé, et leur ont ordonné de m’associer ce dont Je n’ai descendu aucune autorité.

Allâh a considéré les gens de la terre et les a exécrés à l’exception des derniers croyants parmi les gens du Livre.» [2]

 

Le Coran illustre bon nombre d’exemples concernant les pratiques et les coutumes païennes d’une part, et l’idolâtrie des gens du Livre, d’autre part. 

 

Entre autre, chez les arabes la femme était vile et traitée avec injustice ; ses droits étaient complètement bafoués dans leurs coutumes.

 

Celle-ci constituait un poids dans la société et elle représentait un malaise dès sa naissance. Ils enterraient les filles vivantes, lorsqu’elles étaient en bas âge ou un peu plus grandes.

 

(traduction rapprochée)

 

"Si une femelle était annoncée à l’un d’entre eux, son visage s’assombrissait de douleur, et il se cachait des autres tellement la nouvelle était terrible ; devait-il la garder dans la honte ou l’enfouir dans la terre, quel bien mauvais jugement de leur part !" (Sourate Les abeilles Verset 8-9) 

 

Concernant les autres civilisations, la situation n’était pas mieux.

 

Les grecques, à titre d’exemple, traitaient la femme comme une vile marchandise.

 

Privée de droits civiques, elle se faisait acheter ou vendre dans les marchés.

 

Dans la civilisation romaine, les hommes au pouvoir absolu, avaient tous les droits sur leur famille.

 

Ils étaient en mesure de donner la mort à leurs épouses à la moindre suspicion.

 

Ils pouvaient tuer leurs enfants ou les maltraiter en toute immunité.

 

En Inde, elle était opprimée et méprisée à l’extrême.

 

Si son mari venait à mourir, elle devait se faire incinérer à proximité du défunt.

 

Quoique cette opportunité ne fût pas plus mal, si elle voulait mettre fin à son calvaire et à sa vie misérable.

 

Pour les juifs, elle était maudite pour avoir inciter Adam au péché.

 

Certaines de leurs tendances autorisent au père, de la vendre à sa guise.

 

Pendant les menstrues, ils ne s’assoient pas à table avec elle.

 

Elle n’a pas le droit de toucher au moindre plat pour ne pas le souiller. 

 

Chez les premiers chrétiens, le mariage étant impure, ils considéraient qu’il fallait s’éloigner des femmes.

 

Ils ont fait courir l’idée que les rapports sexuels avec elle étaient malsains, car elle représentait la porte de Satan.

 

En France, un concile fut organisé en 587 après J.C. pour déterminer s’il fallait lui attribuer un statut d’être humain.

 

En outre, les participants cherchaient à savoir si elle avait une âme.

 

Le cas échéant, serait-elle une âme humaine ou animale ?

 

Ils ont établi en conclusion qu’elle avait certes une âme humaine, mais que son rôle sur terre était limité à servir l’homme. 

 

Jusqu’à la moitié du siècle dernier environ, la femme, selon la constitution anglaise, n’était pas considérée comme une personne ou une citoyenne à part entière.

 

C’est pourquoi, elle n’avait aucun droit personnel ni sur la propriété ni sur la disposition de son argent gagné ni même sur ses propres vêtements. 

 

La constitution anglaise autorisait à l’homme jusqu’en 1805 après J.C. de vendre sa conjointe ; Le prix officiel était fixé à six cents (la moitié d’un shilling). En 1921, un anglais a vendu sa femme pour cinq cents guinées. Son avocat a allégué pour sa défense que :

 

«La loi anglaise de 1801 a fixé le prix de la conjointe à six cents, à condition que l’acte de vente soit conclu avec l’accord de l’épouse.»

 

Le tribunal lui a rétorqué que cette loi a été révolue par la loi 1805 interdisant de vendre son épouse ou de la concéder.

 

Après délibération, le tribunal condamna le mari inculpé d’avoir vendu sa femme, à dix mois de prison.

 

Dans la revue La civilisation musulmane de l’année suivante (p. 1078), il est dit : «L’an passé, un italien à vendu sa femme à un tiers à crédit. Quand l’acheteur s’est abstenu de verser le dernier acompte, le vendeur l’a tué.»

 

Cheikh Mohammed Rachid Rida - qu’Allâh lui fasse miséricorde - a signalé :

 

«Parmi les informations insolites divulguées par certains journaux anglais ces jours-ci, c’est qu’il existe encore dans les campagnes anglaises des hommes vendant leurs femmes à des prix dérisoires (trente guinées). Ils n’ont pas manqué de dévoiler (autrement dit : les journaux anglais) les noms de certains cas relevés.» [3] 

 

Il a rapporté aussi, d’après une personne étudiant aux Etats-Unis que dans ce pays des couples échangistes se prêtent les partenaires pour une période donnée comme chez nous, nos paysans prêtent leurs bêtes ou nos citadins prêtent un ustensile.

 

Quant à l’histoire des femmes dans l’héritage chinois et perse, elle est des plus moroses. 

 

Voici donc la situation de la femme dans les civilisations non musulmanes. 

Quant à l’Islam...

 

Il a sorti la femme de son précipice et a dissipé son cauchemar des ténèbres, de l’injustice, de l’oppression et de l’asservissement.

 

La religion musulmane lui a offert un rang noble qui n’a pas son équivalent dans les autres nations, qu’elle soit aussi bien mère, fille, épouse, ou sœur.

 

Allâh a établi son affiliation au sang humain d’au-dessus des sept cieux en disant (traduction rapprochée) :

 

"Ô gens ! Nous vous avons créé à partir d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des peuples et des tribus afin de vous connaître. Certes, le plus noble d’entre vous, c’est le plus pieux, Allâh est Savant et Connaisseur" (Sourate Les chambres Verset 13).

 

(...)

 

Ainsi, la femme musulmane n’a pas besoin de tenir des colloques pour prouver son appartenance aux humains, et faire approuver ses droits, puisque le Seigneur s’en est chargé lui-même ainsi que Son Messager صلى الله عليه وسلم, sans compter que tous les musulmans y adhère déjà. 

 

Les avantages concédés par l’Islam à la femme croyante ne sont pas offerts ainsi par les religions altérées ou inventées, ou par les lois fabriquées par les hommes, quoiqu’elles aient pu atteindre en matière de respect de la femme, comme elles l’assument.

 

A l’inverse, la civilisation moderne menée par les juifs et les chrétiens tend terriblement à effacer la femme de sa nature.

 

Elle a fait d’elle une vulgaire marchandise et un simple jouet entre les mains des hommes dans le monde du travail, dans les galeries marchandes, dans les défilés de mode, dans les revues et journaux.

 

Combien peut-on voir dans les journaux, de photos de femmes dépravées, à moitié nues et déshonorantes !

 

Ces images honteuses et avilissantes sont un vrai divertissement pour les pervers !

 

Les statistiques ne peuvent certainement pas recensées les cas de femmes enceintes d’enfants illégitimes. 

 

Cette recrudescence de la débauche est alimentée par ces institutions qui revendiquent l’équité envers les femmes en leur attribuant notamment les droits de liberté et d’égalité.

 

Les vilains médias sont l’outil de cette propagande manipulée par les législations dont la volonté est de combattre les lois d'Allâh Créateur et Sage (Il est le Législateur et le Juge par excellence) intégrées à l’Islam à travers le Coran et la Sunna.

 

Ces lois conservent pareillement aux hommes et aux femmes leurs droits respectifs qui sont dignes, justes et équitables. Les constitutions modernes font le jeu des corrompus musulmans à l’instar des laïcs, des démocrates, et des libertins.

 

Leurs ambitions en terre d’Islam sont de précipiter la femme dans des marécages dévastateurs.

 

La religion musulmane a pourtant concédé aux deux sexes des droits d’après la juste balance.

 

Elle a établi pour l’homme des droits et des devoirs en harmonie avec sa virilité, sa force, et sa raison.

 

Elle a tenue compte de ses aptitudes à supporter la difficulté et à parer au danger potentiel.

 

Ces droits coïncident avec sa nature intrinsèque qu’Allâh lui a dotée. 

 

Elle a décrété pour la femme des droits et des devoirs correspondants à sa féminité et à sa faiblesse ; sa raison et sa force étant diminuée par rapport à l’homme.

 

Elle est en effet moins forte physiquement face au péril et à l’adversité.

 

Les musulmans hommes et femmes adhèrent entièrement à cette législation sage et compatissante.

 

Ils considèrent ses enseignements comme une vérité établie.

 

Quiconque s’aventure à la contester ne peut prétendre à l’Islam ; Un musulman digne de ce nom oserait-il remettre Allâh et son Messager صلى الله عليه وسلم en question ? 

 

La religion musulmane a tenue compte de ces différences entre les deux sexes, c’est pourquoi elle a édifié des droits et des devoirs en fonction des aptitudes qui sont propres à chacun, et des prérogatives réciproques, après avoir établi le Droit qui revient à Allâh.

 

Les serviteurs d’Allâh hommes ou femmes, doivent en effet Lui vouer l’adoration exclusive sans ne lui associer personne dans le culte.

 

Ils doivent ensuite accomplir les piliers notoires de l’Islam et de la foi.

 

Il leur incombe entre autre le respect des parents, de veiller au lien de sang, de répandre la morale (ordonner le bien et interdire le mal), et toute autre fonction commune aux hommes et aux femmes. 

 

[1] Dans le sens : prédisposés à l’adoration du Seigneur, en ayant aucune inclination pour toute autre adoration. (N. du T.). 
[2] Rapporté par Muslim (2865) et Ahmed (162/4). 
[3] D’après le livre le retour au voile (2/ 41-43) en ayant résumé certains passages. 

 

Extraits du livre : Huqûq wa Wâjibât e-Rijâl wa e-Nisâ fî el Islâm

Publié par dourous.free.fr

حال الناس قبل الإسلام وحال المرأة

من حديث عياض بن حمار الطويل قوله صلى الله عليه وسلم

 وإني خلقت عبادي حنفاء كلهم وإنهم أتتهم الشياطين فاجتالتهم عن دينهم وحرمت عليهم ما أحللت لهم وأمرتهم أن يشركوا بي مالم أنزل به من سلطانا وأن الله نظر إلى أهل الأرض فمقتهم عربهم وعجمهم إلا بقايا من أهل الكتاب

 رواه مسلم ، حديث 2865 وأحمد 4/162

وقد ذكر القرآن الكريم صوراً كثيرة من الجاهليات وأخلاقهم من وثنيين وأهل الكتاب

ومنها ظلم العرب للمرأة واحتقارهم لها وسقوط منزلتها عندهم والتأفف والتضجر منها منذ ولادتها ووأدها طفلة وفتاة

 وإذا بشر أحدهم بالأنثى ظل وجهه مسودا وهو كظيم يتوارى من القوم من سوء ما بشر به أيمسكه على هون أم يدسه في التراب ألا ساء ما يحكمون - النحل 8-9

وهي عند الأمم الأخرى أسوأ حالا منها عند العرب فكانت الأمة اليونانية تنظر إليها بأنها من سقط المتاع ، ولم يكن لها أي حقوق أهلية وكانت تباع وتشترى في الأسواق

وفي الحضارة الرومانية كان للرجل السيادة المطلقة وله الحقوق الكاملة على أهله فله أن يحكم على زوجته بالقتل لأدنى تهمة وله أن يقتل أولاده أو يعذبهم دون أي مسئولية

وهي عند الهنود في غاية الهوان والذل وإذا مات زوجها فعليها أن تحرق جسدها على مقربة من جسده

وقد تفرح بهذا المصير تخلصاً من الاضطهاد والهوان الذي تلقاه

وهي عند اليهود لعنة لأنها أغوت آدم ، وعند بعض طوائفهم لأبيها الحق أن يبيعها ولا يجالسونها ولا يؤكلونها إذا حاضت ولا تلمس وعاء حتى لا ينجس

وقرر النصارى الأوائل أن الزواج دنس يجب الابتعاد عنه وأعلنوا أن المرأة باب الشيطان وأن العلاقة بها رجس ، وعقد الفرنسيون عام 586م مؤتمراً للبحث هل تعد المرأة إنساناً أو غير إنسان وهل لها روح أو ليس لها روح ، وإذ كان لها روح فهل هي روح حيوان أو روح إنسان ، وقرروا أخيرا أنها روح إنسان ولكنها خلقت لخدمة الرجل فحسب

وظلت النساء طبقا للقانون الإنجليزي العام حتى منتصف القرن الماضي تقريباً غير معدودات من "الأشخاص" أو المواطنين الذين اصطلح القانون على تسميتهم بهذا الاسم ، لذلك لم يكن لهن حقوق شخصية ولا حق في الأموال التي تكسبها ولا حق في ملكية شيء حتى الملابس التي كن يلبسنها

بل القانون الإنجليزي حتى عام 1805م كان يبيح للرجل أن يبيع زوجته وقد حدد ثمن الزوجة بستة سنتات (نصف شلن)

وقد حدث أن باع إنجليزي زوجته عام 1931م بخمسمائة جنيه وقال محاميه في الدفاع عنه "إن القانون الانجليزي عام 1801م يحدد ثمن الزوجة بستة سنتات بشرط أن يتم البيع بموافقة الزوجة ، فأجابت المحكمة إن هذا القانون قد ألغي عام 1805م بقانون يمنع بيع الزوجات أو التنازل عنهن وبعد المداولة حكمت المحكمة على بائع زوجته بالسجن عشرة أشهر

وجاء في مجلة حضارة الإسلام السنة الثانية - ص1078

حدث في العام الماضي أن باع إيطالي زوجته لآخر على أقساط فلما امتنع المشتري عن سداد الأقساط الأخيرة قتله البائع

وقال الأستاذ محمد رشيد رضا -رحمه الله

من الغرائب التي نقلت عن بعض صحف إنجلترا في هذه الأيام أنه لا يزال يوجد في بلاد الأرياف الإنجليزية رجال يبيعون نساءهم بثمن بخس جداً كثلاثين شلنا وقد ذكرت أي الصحف الإنجليزية أسماء بعضهم

 نقلاً عن عودة الحجاب (2/41-47) وقد اختصرت بعض نصوصه

في أمريكا أن في الأمريكيين أقواماً يتبادلون زوجاتهم لمدة معلومة ثم يسترجع كل واحد زوجته المعارة تماماً كما يعير القروي دابته أو الحضري في بلادنا شيئاً من متاع بيته

وتاريخ المرأة عند الصينيين والفرس في غاية السوء

هذه هي أحوال النساء عند الأمم غير الإسلامية

الاســـــــــــــــــــــــــــــــلام

أما الإسلام فقد انتشل المرأة من وهدتها وبدد عنها كوابيس الظلم والظلام والإذلال والاستعباد وأنزلها منزلاً كريماً ومكانة لا نظير لها عند الأمم سواء كانت أماً أو بنتاً أو زوجة أو أختاً

فقرر الله إنسانيتها من فوق سبع سماوات فقال

 يا أيها الناس إنا خلقناكم من ذكرٍ وأنثى وجعلناكم شعوباً وقبائل لتعارفوا إن أكرمكم عند الله أتقاكم إن الله عليم خبير

ولم تحتج المرأة المسلمة إلى عقد مؤتمرات لإثبات إنسانيتها وحقوقها فقد قررها الله ورسوله وآمن بها المسلمون

ولها حق الهجرة والنصرة والحماية من المؤمنين

يا أيها الذين آمنوا إذا جاءكم المؤمنات مهاجرات فامتحنوهن الله أعلم بإيمانهن فإن علمتموهن مؤمنات فلا ترجعوهن إلى الكفار لا هن حل لهم ولاهم يحلون لهن

وحرم الله من يؤذي المؤمنين والمؤمنات بغير ما اكتسبوا

والذين يؤذون المؤمنين والمؤمنات بغير ما اكتسبوا فقد احتملوا بهتانا وإثما مبينا

وتوعد من يفتن المؤمنين والمؤمنات عن دينهم بعذاب جهنم فقال

 إن الذين فتنوا المؤمنين والمؤمنات ثم لم يتوبوا فلهم عذاب جهنم ولهم عذاب الحريق

وأمر الله رسوله الكريم أن يستغفر لنفسه وللمؤمنين والمؤمنات فقال تعالى

فاعلم أنه لا إله إلا الله واستغفر لذنبك وللمؤمنين والمؤمنات

وإذا أراد المنحلون وأعداء الإسلام أن يعرفوا شيئاً عن منزلة المرأة في الإسلام فليمدوا أبصارهم إلى تشييع جنازتها والصلاة عليها ولعل مما يدهش الكفار والمنافقين أن يروا مئات الآلاف في المسجدين الشريفين تنتظم صفوفهم للصلاة على جنازة امرأة مؤمنة أو طفلتها

فهذه مزايا أعطاها الإسلام للمرأة المؤمنة يستحيل مثلها في أي ديانة محرفة أو مخترعة أو قوانين مزيفة مهما بالغت في تكريم المرأة كما تزعم ، بل الحضارة المعاصرة التي يقودها اليهود والنصارى قد مسخت المرأة مسخاً شنيعاً فجعلتها سلعة رخيصة وملعبة للرجال في ميادين العمل والأسواق ومعارض الأزياء والصحف والمجلات، فكم ترى في هذه الصحف من الصور النسائية الخليعة الفاضحة للنساء ليتلهى بهن الفجار ويستمتعوا بهذه المناظر الفاضحة المخزية ولعل الإحصائيات قد عجزت عن تسجيل حوادث الحمل والأولاد غير الشرعيين

كل هذا نتيجة للقوانين التي تدعي أنها أنصفت المرأة وأعطتها حقوقها ومنها الحرية والمساواة

ونتيجة للإعلام الخبيث الذي تشجعه هذه القوانين والأنظمة التي تحارب تشريع الله الخالق الحكيم الذي تضمنه الإسلام كتاباً وسنة ، الذي أعطى كلاً من الرجل والمرأة حقه بشرف وعدل وإنصاف

هذه هي الأنظمة والقوانين التي يسيل عليها لعاب المنحلين من الإسلام كالعلمانيين واللبراليين والإباحيين في بلاد الإسلام ويريدون أن يجروا المرأة المسلمة إلى مستنقعاتها المهلكة

لقد أعطى الإسلام كلاً من الرجل والمرأة حقه بالعدل والقسطاس المستقيم فشرع للرجال من الحقوق والواجبات ما يلائم رجولتهم وقواهم وعقولهم واستعدادهم لمواجهة الأخطار وتحمل المشاق وفطرهم التي زودهم الله بها

وشرع للنساء من الحقوق والواجبات ما يلائم أنوثتهن وضعفهن ونقصهن عن الرجال في العقل والقوة وضعفهن في الاستعداد لمواجهة الأخطار والمشاق

وقد رضي المسلمون رجالاً ونساءً هذا التشريع الإلهي الحكيم الرحيم واعتبروه من عقائدهم المسلمة

ومن تفلت منه فليس بالمؤمن ، ويعتبر مستدركاً على الله ورسوله وحاشا مؤمناً بالله ورسله وكتبه أن يقع في ذلك

وقد راعى الإسلام هذا التفاوت فبنى عليه الحقوق والواجبات لكل من الرجل والمرأة وعليهما بعد حقوق الله فمن حق الله على عباده رجالاً ونساءً أن يعبدوه ولا يشركوا به شيئاً وأن يقوموا بأركان الإسلام والإيمان المعروفة . وأن يقوموا ببر الوالدين وصلة الأرحام والأمر بالمعروف والنهي عن المنكر وغير ذلك من الأمور المشتركة بين الرجال والنساء

الحقوق والواجبات على الرجال والنساء في الإسلام

Cheikh Rabi’ ibn Hadi ‘Oumayr al-Madkhali - الشيخ ربيع بن هادي المدخلي

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