La méthode pour soigner une personne possédée par un djinn (audio en arabe)
-Interdiction de toucher la patiente -Un traitement par lecture du Coran suffit. -La possession est une réalité -Certaines personne pensent être posséder alors qu'elles ne le sont pas. -Certaines personnes se mettent à soigner les gens alors qu'ils ne savent pas réciter le Coran. -Lire le Coran sur de l'eau ou de l'huile, ou frapper le patient n'a pas de fondement dans le traitement de la possession. -Le Coran suffit, il faut délaisser ces choses -L'expérimentation réussit ne suffit pas pour faire de ces choses des pratiques légiférées. -Autrement cela ouvrirait la porte aux innovations, aux mythes et au Chirk. -Ceux qui invoquent les morts parmi les saints et les prophètes justifient cette pratique par l'expérimentation réussie. -Il faut une preuve car la possession est une chose qui fait partie de l'invisible. -Témoignage direct d'un homme de l'assistance sur une femme possédée que le djinn j’étais à travers la pièce et qu'il a fallu six personnes pour la maintenir à terre. |
-Le jeûne thérapeutique pour soigner certaines maladies. -Cheikh Al-Albâni l'a expérimenté après avoir lu un livre dessus afin de soigner une douleur au thorax et au ventre. -Il a pratiqué un jeûne de 40 jours ne buvant que de l'eau sans manger. -Après 40 jours il est retourné chez le médecin. Il avait perdu 20Kg. -Tous les problèmes de santé dont il se plaignait ont disparu. -L'un de ses amis avait des crises d'épilepsie. Il lui a donc conseillé ce jeûne. -Au début il n'a pas pu jeûner plus de six jours. Mais en voyant une amélioration il a réitéré le jeûne en augmentant le nombre de jours. -Il a fini par jeuner 30 ou 32 jours. -Il ne fit plus aucune crise d'épilepsie -Il raconte d’autres expériences réussies avec le jeûne thérapeutique. -Les excréments des bêtes domestiques sont la nourriture des djinns. -Un djinn peut posséder un homme sans aucune cause préalable. La sorcellerie n'est pas une condition préalable. -Il est préférable au malade de se soigner sois même avec le Coran plutôt que de demander à quelqu'un. -Il est détestable de demander la rouqya à quelqu'un car la plupart du temps elle ne fonctionne pas. Il est donc préférable pour le musulmans de le faire sois même et de faire confiance à Allah. -Les maladies se découpent en trois catégories -Première catégorie : celle qui a un remède reconnu comme efficace. Il est alors obligatoire d'utiliser ce remède. Si le malade le délaisse il commet un péché. |
-Deuxième catégorie : celle qui a un remède qui a une forte probabilité de soigner. Il est alors préférable de prendre ce remède et non obligatoire. -Troisième catégorie : celle qui a un remède dont la probabilité d'efficacité est faible. C'est dans ce cas qu'il faut faire confiance à Allah (tawakkul). il est détestable de prendre ce remède et préférable de faire confiance à Allah. -Il est permis de demander une rouqya pour quelqu'un d'autre que sois même (citation d'un hadith). -Il est permis qu'une personne fasse une rouqya à quelqu’un sans que ce dernier ne l'ait demandé -Ce n'est pas la rouqya qui est un remède à faible probabilité de réussite mais "le fait de demander la rouqya". -La rouqya est une adoration : peu importe qu'elle donne un résultat ou pas. C'est une invocation. Demander à quelqu'un de faire une rouqya sur soi n'est pas une adoration. -Explication du hadith sur le fait de tuer le serpent lorsqu'on craint son mal. -On ne peut pas voir les djinns sous leur forme d'origine mais ils ont le pouvoir de se transformer en serpent par exemple. -Lorsqu'un musulman voit un serpent chez lui il ne doit pas le tuer avant de l'enjoindre de partir trois fois. Parce qu'à l'époque du prophète sallallahu 'alayhi wa sallam il y avait à Médine des djinns en forme de serpent qui se sont convertis. -Un homme parmi les Ansâr venait de se marier, il est sorti de chez lui. En revenant il voit son épouse devant la maison ne pouvant pas entrer. A l'intérieur de la maison il y avait un serpent. Il a essayé de le tuer mais c'était un djinn et c'est lui qui tua l’Ansâr. -Il raconte également le hadith dans lequel Abou Hourayra fut confronté à un djinn qui prit une certaine forme. -Dans ce hadith il y a la preuve que l'homme peut parler au djinn. Ce que nous réprouvons c'est la relation intime entre un homme et un djinn. |
-Le possédé ne doit pas être frappé. -Y a-t-il une contradiction entre le fait de se marier avec une femme des gens du livre et l'interdiction de se mélanger à eux ? -Réponse : non. -Se mélanger aux polythéistes c'est lorsque le faible se mélange avec le fort, lorsque le petit nombre se mélange avec le grand nombre. -Lorsque le législateur a autorisé le mariage avec une femme des gens du livre c'est parce qu'elle était faible et l'homme musulman était fort. Il avait le dessus sur elle. -Aujourd'hui il n'est pas permis de se marier avec une femme des gens du livre. Surtout si c'est une femme occidentale. Le Coran limite le mariage avec les "Mouhsanates", c'est a dire les vertueuses. -Or en occident il n'y a pas de femme vertueuse. -Les chrétiennes et les juives des pays arabes portaient le jilbeb que portaient les musulmanes à l'époque. -Les femmes des gens du livre avec lesquelles il était permis de se marier étaient des polythéistes. -Tout gens de livre est un polythéiste mais tout polythéiste n'est pas forcément une personne du livre -Tout mécréant est un polythéiste, même si d'un point de vue linguistique ça n'en est pas un. -Dans la langue, le polythéisme est plus restreint que la mécréance. -Tout polythéiste est un mécréant, mais tout mécréant n'est pas forcément un polythéiste. -Une personne qui témoigne qu'Allah est le seul à mériter d'être adoré est un Mouwahid, mais il dit "tel verset ne me plait pas". -D'un point de vu linguistique il a mécrut mais n'a pas associé à Allah une autre divinité. Mais d'un point de vu Islamique il a également associé. -"As-tu vu celui qui a pris ses passions en tant que divinité ?", Il as donc associé à Allah une autre divinité : ses passions. -Comme preuve il y a l'histoire des deux hommes avec leur jardin dans le Coran (sourate Al-Kahf) -Le Koufr I3tiqâdî et le Koufr 'Amalî -Tout musulman qui commet un péché (grand ou petit) : ou bien il reconnait avec son coeur que c'est un péché ou bien il considère que c'est licite. -Dans le premier cas c'est un péché qui n'est pas du Chirk qu'Allah ne pardonne pas. Dans le deuxième cas c'est un chirk qu'Allah ne pardonne pas. |
Note sur le jeûne thérapeutique :
Le cheikh a testé et fait l'éloge de ce jeûne pour traiter certaines maladies.
Il a lu un livre écrit par un médecin non musulman et fut convaincu.
Enregistrement n°351 de la série silsilati Houda wa nour en deux cassettes
✅ Publié par 3ilmchar3i.net
Cheikh Mouhammad Nacer-dine Al-Albany - الشيخ محمد ناصر الدين الألباني