L'alliance et le désaveu ainsi que ses règles - الولاء والبراء (audio-vidéo)

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

L'alliance et le désaveu ainsi que ses règles - الولاء والبراء (audio-vidéo)

Question :

 

La première question concerne le sujet de la 'aqida de l'alliance et du désaveu (Al-walâ' wa al-Barâ') :

 

Est-il permis à un muslim que la croyance de l'alliance et du désaveu soit rendue apparente (appliquée), avant, c'est-à-dire l'établissement de la preuve contre l'autre personne, que cette autre personne soit une personne mécréante ou quelqu'un parmi autre que Ahlus Sunna, c'est-à-dire, égarée ?

 

Cheikh :

 

Si tu devais supprimer le terme "Alliance et désaveu" de ta question, penses-tu que la question tienne toujours ?

 

De ce que je vois que la connexion qui tient la question ensemble ne peut être trouvée si tu supprimes le terme "Alliance et désaveu" ?

 

Questionneur :

 

Non, ça ne tient pas.

 

Cheikh :

 

Pourquoi ; Je ne peux alors comprendre la question, parce que la fin de ta question.

 

Questionneur :

 

L'alliance ; Alors, la question, c'est comme si elle était formulée de la mauvaise manière, dans la négative, je veux dire désaveu.

 

Cheikh :

 

Répétons la question.

 

Quelle est la question qui est lié au terme désaveu, est-il permis à un musulman de quoi ?

 

Questionneur :

 

Que, ya3ni, il commence (son désaveu) de la personne.

 

Cheikh :

 

Maintenant, c'est clair.

 

Questionneur :

 

Depuis l'acte, la base est pour lui de commencer à partir de l'acte; mais de la personne, (le questionneur demande en réalité ici si on boycott quelqu'un, on doit le faire pour son action et non pour sa personne et que donc on dit que son action est un égarement et que du à cela alors il est égaré) c'est-à-dire, qui est impliqué dans cette action avant que la preuve soit établi contre lui, qu'il soit mécréant ou muslim ne faisant pas partie d'Ahlus Sunnah.

 

Cheikh :

 

Maintenant, la question est claire.

 

Après cette clarification, peut-être que nous pouvons remplacer le terme "désaveu", avec un autre mot qui rendra la question plus claire, c'est à dire "la désolidarisation" ou le "boycott", Est-ce correct penses tu, donc je peux commencer à répondre?

 

Questionneur :

 

Une désolidarisation ?

 

Cheikh :

 

Oui, c'est à dire : Est-il permis à un muslim de se désolidariser d'un mécréant et de ne pas entretenir des relations avec lui et de le boycotter, et est-il permis à un muslim de se désolidariser d'un musulman pervers, ceux qui ne pratiquent pas des choses de l'islam, de le boycotter ?

 

C'est ce qui est demandé de cette question ou autre chose?

 

Questionneur :

 

C'est-à-dire de mettre en garde contre lui.

 

Cheikh :

 

Quoi ?

 

Questionneur :

 

Mettre en garde contre lui et sa da'wah.

 

Cheikh :

 

Mettre en garde contre lui, est ce que cette mise en garde contre lui nécessite de se couper de lui et de le boycotter?

 

Dire en réponse à cette question, que je viens de poser, "Bien sûr" ou doit-il maintenir la communication et ensuite mettre en garde contre lui ?

 

À savoir, la question doit être clarifiée jusqu'à ce que nous puissions arriver à connaître la réponse.

 

Questionneur :

 

Afin que je comprenne...

 

Cheikh :

 

Je dis: une personne met en garde contre une autre, doit il entretenir des relations avec lui ou le boycotter ?

 

Questionneur :

 

Il le boycotte.

 

Cheikh :

 

Donc, il y a une corrélation, les deux affaires sont liées, après cette clarification que je dis maintenant, je peux aborder la réponse à la question.

 

Parmi nos problèmes à notre époque, c'est que nous traitons les questions basées sur l'émotion.

 

Ce que je veux dire, c'est que beaucoup parmi la jeunesse d'aujourd'hui qui sont enthousiastes au sujet de leur islam, leur religion, agissent face à certains problèmes de fiqh complexes avec leurs émotions envers l'islam.

 

Agissant face à ces questions d'une manière dénué de science tirée du Livre et de la Sunna et la méthodologie des pieux prédécesseurs.

 

Je crois qu'une question comme celle-ci, à savoir, mettre en garde, se désolidariser, boycotter, l'alliance et le désaveu, ce sont des questions qui sont liées à une société islamique forte qui est capable, d'une part, de mettre en œuvre des questions comme celles-ci et d'autre part, est capable de profiter de leur résultat.

 

Alors maintenant, il n'est pas nécessaire qu'une telle mise en garde soit couplé avec un ostracisme ou un boycott en ces jours et époque, mais quand notre société islamique en sera une alors toutes ces questions devront être réunies. 

 

Aujourd'hui, par exemple, il y a un exemple très clair à qui s'applique le hadith dont tu as parlé dans ta question précédente :

 

"Entre une personne et la mécréance, il y a l'abandon de la prière, celui qui abandonne la prière a mécru"

 

L'expression législative correcte concernant cet homme que je viens de mentionner, c'est qu'il doit être appelé comme quelqu'un qui est pervers, si ce n'est pas un mécréant qui a apostasié de sa religion, ce n'est que par le biais de l'utilisation de mots doux qu'il est appelé, non pratiquant, c'est un faasiq, et ce mécréant est plus un faasiq que lui, donc pour l'instant nous parlons de cette personne et alors nous pouvons avoir besoin de parler de celui qui est plus pervers que lui, à savoir, le mécréant.

 

Ce musulman qui a abandonné la prière a quitté l'obéissance à Allah dans cette question, pour cette raison, il mérite le titre de faasiq : Si nous mettons en garde les gens contre lui et, avec cette mise en garde également lié ce que je viens de mentionner plus tôt, à savoir, le boycott, cette mise en garde et cette désolidarisation et ce boycott ne produiront pas les résultats escomptés par la mise en œuvre de ces trois mots: mise en garde, désolidariser, boycotter, pourquoi? 

 

Parce que si tu te coupes de lui, tu trouveras des dizaines de personnes comme toi, qui garderont contact avec lui, et donc la situation tournera en rond, tu seras coupé de lui mais pas lui de toi, et à ce moment , quel est l'avantage pour toi de le boycotter?

 

Cela me rappelle un dicton syrien et il a une version similaire ici (en Jordanie), mais quel que soit le cas, l'expression syrienne dit que les gens pensaient qu'un faasiq qui avait abandonné la prière, se repent à Allah et retourne(à la pratique), pour la première fois ou il va à la mosquée pour prier, mais la trouve fermée, et donc dit : Tu es fermé et j'ai donc une journée de congé de prière! visiblement le message est compris.

 

Bon, même de nos jours ce faasiq, celui qui a abandonné la prière, lorsque tu décides de le boycotter, de te couper de lui, pour mettre en garde contre lui, il ne s'en soucie pas, et même s'il ne le dit pas avec sa langue, son état des choses dit : Tu es fermé et ainsi j'ai un jour de congé de prière ! tu te coupes de moi et je vais me couper de toi et m'éloigner de toi, et ainsi de suite.

 

En résumé, le principe de boycotter aujourd'hui, cela est hors de question parce que nous sommes à une époque où les musulmans sont faibles.

 

Et cette connexion dont je suis entrain de parler qui les maintient reliés entre eux, à savoir, l'islam correct, représenté dans sa parole 'aleyhi salaam dans le hadith authentique:

 

"L'exemple des croyants dans leur amour mutuel, leur miséricorde et leur compassion est celle du corps, si une partie de celui-ci se plaint, le reste du corps se joint à elle et reste éveillé par la fièvre et la souffrance", les musulmans d'aujourd'hui ne sont pas comme ça.

 

Pour cette raison, nous n'avons pas les moyens qur lesquels il convient de s'appuyer pour réunir cette division généralisée et dispersée d'aujourd'hui, sauf en s'appuyant sur sa parole, le Puissant et le Majestueux (traduction rapprochée) :

 

"Invite au sentier de ton Seigneur avec sagesse et bonne exhortation, et discute avec eux de la meilleure des manières". (Sourate An-Nahl 16 verset 125]

 

C'est maintenant le moyen sur lequel il convient que nous nous appuyons.

 

Alors, quand nous voyons une personne faasiq qui s'est détournée de réaliser une partie de ce qu'Allah a rendu obligatoire pour un musulman, nous l'exhortons et lui faisons le rappel et nous sommes doux avec lui.

 

De même, quand nous voyons une personne ou des personnes que nous ne pouvons pas appeler foussaq parce que nous supposons qu'ils observent les devoirs obligatoires dont l'obligation est bien connu parmi tous les musulmans

 

C'est à dire le genre de choses qui sont si fondamentales pour la religion et bien connus qu'elles sont de la catégorie des actions appelées, "connu comme étant de la religion par nécessité", car nous pouvons trouver des personnes qui effectuent ces devoirs obligatoires et qui ne les délaisse pas, et donc leur persévérance dans ces actions obligatoires viennent entre nous et l'application du terme faasiq sur eux, c'est compris jusqu'ici ?

 

Ok, mais avec cela il est possible qu'avec ces personnes il y ait un certain écart par rapport à la 'aqida dans une certaine question ou dans de nombreux points de la bonne 'aqida, cela est possible, comme les groupes dont nous entendons les noms aujourd'hui inscrit dans les livres traitant de sectes et d'histoire mais que nous ne trouvons pas présent avec les noms de l'époque actuelle, mais nous trouvons leurs effets dans la situation de la plupart des groupes islamiques ou individu musulmans, les Mu'tazilah par exemple, les Jabariyyah, les Qadariyyah, les Khawarij, et ainsi de suite.

 

Dans ces sectes il est fréquent de trouver des gens qui ont dévié de la Sunna dans la 'aqida et qui étaient (pourtant) considérés comme des adorateurs pieux, mais à coté de cela sont des égarés, par exemple, 'Amr ibn 'Ubayd le Mu'tazili, il pourrait être cité en exemple dans sa piété et crainte, mais il était sur la croyance des Mu'tazilah, donc il n'est pas dit de lui qu'il est un faasiq mais plutôt qu'il s'est écarté de la 'aqida correcte.

 

Et ce type existe aujourd'hui dans le monde musulman, même s'il n'y a pas de groupe ou Jama'a qui disent verbalement : "Nous sommes Mu'tazilah", Je n'ai pas entendu parler de quelqu'un, sauf un homme qui a ouvertement déclaré dans cette ville devant les gens, il a dit: "Je suis un Mu'tazili, il l'a dit ouvertement : "Je suis un Mu'tazili" et il était vraiment un Mu'tazili et en fait encore plus égaré que ce qu'ils étaient mais nous ne sommes pas au milieu d'expliquer cela pour le moment

 

Ainsi, le point est qu'il est obligatoire pour nous d'être doux avec les gens égarés comme ceux la aussi, et d'établir la preuve contre eux à partir du Livre d'Allah, la Sunna du Messenger salallahou aleyhi wa sallam, les paroles des Pieux Prédécesseurs et des imams mujtahid, voilà ce qu'il est obligatoire dans notre attitude à l'égard de ceux qui ont dévié de l'islam soit dans l'action ou la conception, jusqu'à ce que les muslims soient plus forts et accèdent au pouvoir et un pays alors quand ces gens seront informés sur l'islam correct et ne s'abstiennent toujours pas du fisq et de l'égarement sur lesquels ils sont, ils ont alors un jugement différent, mais en même temps ce jugement n'est pas lié à chaques musulmans pieux mais il est plutôt lié au gouverneur musulman, et peut-être cela est proche, si Allah le veut.

 

(Ndt : Ici Cheikh explique que ce jugement n'est pas du ressort de chaque individu mais du gouverneur musulman)

 

Peut-être ai je répondu à ta question?

 

Questionneur :

 

Oui, comme achèvement, en est-il de même avec les non-musulmans ?

 

Cheikh :

 

Oui, cela l'est aussi, sans aucun doute.

 

Questionneur :

 

Les Juifs et les Chrétiens et ainsi de suite?

 

Cheikh :

 

Aujourd'hui, malheureusement, mon frère, la situation des musulmans est très précaire.

 

Aujourd'hui, les chrétiens, plutôt les juifs, en fait les Mages vivent dans un pays islamique comme natifs et le jugement du gouverneur ne fait pas de distinction entre un musulman et un non-musulman, tous sont couverts par le terme de citoyen, et notre Seigneur le Puissant et le Majestueux dit (traduction rapprochée) :

 

"Traiterons-Nous les soumis [à Allah] à la manière des criminels? Qu’avez-vous? Comment jugez-vous?" (sourate Al-Qalam 68 versets 35-36)

 

Pour cette raison cette société qui a atteint un tel niveau de corruption, il n'est pas permis à un individu, musulman pieux qui agit sur sa science de se confronter à cette société par la force parce qu'il devra faire demi-tour, mais plutôt il doit utiliser la force qui ne peut être maîtrisé, et qui est la force de la houjja et du bayan (expliquant la vérité).

 

Question suivante...

 

Questionneur :

 

Pour conclure, Ô Cheikh, c'est-à-dire, la compassion d'un musulman à une telle personne avant, c'est-à-dire, de lui avoir établie la preuve ?

 

Cheikh :

 

C'est ça, tout cela (traduction rapprochée) :

 

"invite au sentier de ton Seigneur avec sagesse et bonne exhortation" (Sourate An-Nahl 16 verset 125)

 

C'est ce que cela signifie, et à cet égard je dis que beaucoup de nos frères qui sont enthousiastes pour l'islam correct à tort regardent d'autres Musulmans, qui ont dévié en raison de leur ignorance du Livre et de la Sunna, avec un regard de dédain et de mépris et de rancune et de haine enfouie. 

 

Par exemple, de nombreux machaykh (égarés) permettent de chercher secours auprès des alliés d'Allah et des pieux, ils autorisent d'autres choses encore plus facilement comme la recherche d'intercession à travers eux à la place du Seigneur des 'alamin (de tout ce qui existe), ils permettent de fréquenter leurs tombes et chercher des bénédictions d'eux en venant à eux et ainsi de suite. 

 

Et un autre type de Cheikh interdisent de suivre le Livre et la Sunna fondée sur le fait que selon eux les gens de la masse ne comprennent pas le Livre et la Sunna, et ils imposent un suivi aveugle envers eux, et ensuite la position des autres personnes qui sont avec nous sur le Livre et la Sunna et la méthodologie des Pieux Prédécesseurs est d'avoir de l'inimitié envers ces personnes et de les haïr, de la manière la plus sévère, de sorte qu'il n'est pas possible que cette personne rencontre celui-ci, ceci est une erreur.

 

Je dis :

 

Ces gens (égarés)etc, je ne m'abstiens pas de les appeler par leur nom légitime, c'est à dire que les gens ont dévié de la vérité et quand je dis qu'ils ont dévié de la vérité il n'y a aucun problème dans l'utilisation de cette expression dans une perspective islamique, car Allah le Puissant et le Majestueux a utilisé cette expression au sujet de Son Messager 'aleyhi salaam indiquant que, avant que la révélation lui fut descendu (traduction rapprochée)  : 

 

"Ne t’a-t-Il pas trouvé égaré? Alors Il t’a guidé " (sourate le jour montant 93:7).

 

Ainsi, il ne fait aucun doute que ces gens qui s'opposent au Livre et la Sunna sont égarés, ce que je veux dire, c'est: tant qu'ils sont comme ça alors ils sont malades et il est obligatoire pour nous d'avoir de la compassion envers eux et d'agir avec eux avec douceur et les appeler à la vérité comme il est mentionné dans le verset précédent (traduction rapprochée) :

 

"Invite au sentier de ton Seigneur avec sagesse et bonne exhortation, et discute avec eux de la meilleure des manières" (Sourate les abeilles 16 verset 125)

 

Et nous restons dans cette position jusqu'à ce qu'il devienne clair pour nous à partir de l'un d'eux qu'il est hautain et nie la vérité et que la bonté et la douceur ne présentent aucun avantage avec lui, c'est alors que vient la parole de notre Seigneur, le Puissant et le Majestueux (traduction rapprochée) :

 

"et éloigne-toi des ignorants" (Sourate Al-A'raaf 7 verset 199)

 

Apportez la question suivante.

 

Question :

 

Je veux dire, ô Cheikh, maintenant afin que nous puissions passer à la deuxième question, parce qu'elle (la 2ème question) est totalement étrangère à celle-ci , donc est ce que cette réponse que vous venez de donner concerne les Jamaa'ahs dans leur ensemble ou est-elle appliquée à des gens sur une base individuelle, quand il devient clair que tous, en tant que groupe ou secte ou de sorte qu'ils sont ensuite hautain quand quelqu'un répond à l'un d'entre eux individuellement doit-il appliquer cela à l'ensemble ou au niveau individuel?

 

Cheikh :

 

Non, ce qui est appliqué à un Jamaa'ah n'est pas appliquée à l'individu.

 

Nous disons, par exemple, le système et les lois de certaines factions présentes aujourd'hui dans le monde islamique, malheureusement, sont ceux de la mécréance, comme le Parti Ba'ath par exemple et le Parti communiste, il ne fait aucun doute que ces formes de gouvernement sont ceux de la mécréance, et que celui qui les adopte comme religion est un mécréant.

 

Mais nous savons qu'en ce qui concerne la réalité dans de nombreux pays islamiques, notamment la Syrie par exemple, beaucoup de ces gens qui avaient l'habitude de s'affilier au parti Ba’ath, ont l'habitude de prier et de jeuner et de d'observer totalement les devoirs obligatoires, et que quand ils leur sera fait le rappel et la mise en garde de s'affilier à une secte comme celle-ci,  ils diraient et leur parole était incorrect mais nous comprenons qu'ils n'ont pas adopté le ba'athisme en remplacement de l'islam et nous savons cela parce qu'ils disaient: "Yaa akhii??, que pouvons-nous faire, nous voulons vivre", alors l'exemple d'une telle personne est comme n'importe quel autre faasiq qui fait quelque chose d'interdit pour vivre afin de gagner sa vie.

 

Et combien de métiers, de professions et d'entreprises que de nombreux Muslims excercent aujourd'hui contiennent des choses interdites, et quand vous leur rappelez et leur ditent que ceci et cela sont haram, ils diront: "Yaa akhi??, que pouvons-nous faire", et le bon parmi eux vous dira, "Wallaahi, je pense à faire quelque chose,  obtenir un autre emploi qui sera légale (halal), mais jusqu'à ce que cela devienne possible, je vais continuer à faire ce que je fais" , et ainsi de suite. 

 

Tout cela montre qu'il n'est pas possible de déclarer ces gens mécréants de la même manière que nous déclarons ce système et tous ceux qui l'ont adoptés comme une partie de leur 'aqida être mécréants.

 

Par conséquent, il est possible de trouver que les personnes dans ces factions peuvent être vraiment mécréants car ils ont adopté leur système comme remplacement pour l'islam et en même temps il y a des gens parmi eux qui ne sont pas comme ça, et qui seulement comme je vous ai donné un exemple de tout à l'heure, le prendre comme un moyen de vivre, mais en disant cela je ne veux pas dire que cette façon est permise, ce que je veux dire, c'est que tant que la personne ne l'a pas adopté comme dogme, comme un système qui remplace l'islam, en tant qu'idéologie, il n'est pas autorisé d'agir avec eux comme le système lui-même et ceux qui l'ont adopté comme 'aqida sont traités.

 

Publié par minhaj sunna

Cheikh Mouhammad Nacer-dine Al-Albany - الشيخ محمد ناصر الدين الألباني

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