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L'éducation des enfants

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L'éducation des enfants

'Uthman Al Hatibi rapporte :

 

" J'ai entendu Ibn 'Umar dire à un homme : Éduque ton enfant, car tu seras interrogé sur la manière dont tu as éduqué ton enfant et sur ce que tu lui auras appris"

As Shu3ab (7/8295)

 

Thabit Ibn Ubayd comptait parmi les plus enjoués des hommes avec sa famille

As Shu3ab (7/7852)

 

Mu3awiya Ibn Qurrah rapporte que son père disait a ses enfants lorsqu'ils avaient accompli la prière du 'Isha :

 

"ô mes enfants, dormez afin qu'Allah vous accorde un bien [la prière] en cette nuit"

Az Zhud li Ahmad (226)

 

Salih Ibn Ahmad Ibn Hanbal rapporte :

 

"Lorsque mon père recevait un ascète ou un dévot, il me faisait venir afin que je le vois, et il aimait que je sois comme lui"

As Siyar (12/530)

 

Muslim Al Hanafi a dit :

 

"Sois bon envers ton enfant, cela est plus à même de susciter sa bonté envers toi"

Al 3iyal (1/305)

 

Hisham Ibn 'Urwah Ibn Az Zubayr rapporte que son père commandait à ses enfants de jeuner lorsqu'ils en étaient capables

Al 3iyal (1/470)

 

'Abd Allah Ibn Issa a dit :

 

"Cette communauté ne cessera d’être dans le bien tant qu'elle enseignera à ses enfants le Coran"

Al 3iyal (1/480)

 

Muhammed Ibn Sirin rapporte :

 

"On a dit : honore ton enfant et éduque-le bien"

Al 3iyal (1/505)

 

Sufyan rapporte :

 

"On a dit : parmi les droits de l'enfant sur son père est qu'il l'éduque bien."

Al 3iyal (1/505)

 

Al Hassan a dit :

 

"Qu'Allah fasse miséricorde à celui qui adresse une exhortation a son âme et sa famille en disant

"Ô ma famille !

Attachez-vous à la prière, l’aumône et [au respect des droits] des voisins et pauvres, afin qu'Allah vous fasse miséricorde au Jour de la Résurrection, car Allah a fait les éloges d'un serviteur qui agissait ainsi, lorsqu'Il dit (traduction rapprochée) :

{Il ordonnait à sa famille la prière et la Zakât, et il était agréé par son Seigneur}"

Al 3iyal (1/506)

 

Mubarak Ibn Sa3id rapporte :

 

"Sufyan m’écrivit : "Occupe-toi bien de ta famille et pense à la mort. Que le salut soit sur toi"

Al Hilyah (7/52)

 

Sufyan At Thawri a dit :

 

"L'homme doit contraindre son enfant à la recherche de la science, car il en est responsable"

As Siyar (7/273)

 

Malik Ibn Dinar vit un homme qui accomplissait mal sa prière et il dit :

 

"Comme j’éprouve de la compassion pour sa famille"

On lui demanda : "Il accomplit mal sa prière, et tu éprouves de la compassion pour sa famille ?"

Il répondit : "Il est le plus âgé d'entre eux, et c'est de lui qu'ils apprennent"

Sifah As Safwah (3/287)

 

Ainsi étaient nos pieux prédécesseurs - édition tawbah

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La définition de la `aqîqa

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

La définition de la `aqîqa

Question :

 

Quelle est la définition exacte de la `Aqîqa ?

 

Est-il détesté de l’appeler `Aqîqa ?

 

Réponse :

 

Louange à Allâh, Maître des Mondes; et paix et salut sur celui qu'Allâh عزّ وجلّ a envoyé en miséricorde pour le monde entier, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection. Ceci dit :

 

La `Aqîqa ou Nassîka est le nom que l’on donne à la bête qu’on immole à l’occasion d’une naissance, le 7e jour.

 

Cette définition est usitée pour celui qui considère licite le fait de procéder à la Nassîka avec une autre bête que les ovins et les caprins parmi les quatre espèces connues, comme les bovins et les chameaux, et cela conformément au consensus des savants tel que rapporté par Ibn `Abd Al-Barr رحمه الله selon qui, la `Aqîqa n’est valable que parmi les quatre espèces de bêtes à sacrifier pour l’Aïd ou l’offrande du pélerin (ovins, caprins, bovins, et chameaux), à l’exception de certains avis de savants dont la divergence n’est pas prise en compte.

 

Concernant ce qu’a dit Mâlik رحمه الله :

 

«La `Aqîqa est permise même fût-ce avec un oiseau»

 

Il n’a dit cela que pour exprimer l’exagération dans le strict minimum, car il a dit aussi :

 

«La `Aqîqa est au même niveau que l’offrande [du pèlerin] et les bêtes égorgées à l’occasion de l’Aïd.»

 

Il est connu qu’il n’est permis pour effectuer l’offrande [du pèlerin] et les bêtes égorgées à l’occasion de l’Aïd que les quatre espèces (ovins, caprins, bovins, et chameaux) (1).

 

Quant à celui qui a limité la permission du sacrifice de la `Aqîqa uniquement aux bêtes ovines ou caprines, il a défini celle-ci (la `Aqîqa) comme étant :

 

«La bête ovine ou caprine immolée au 7e jour du nouveau-né».

 

Cela dit, le sens étymologique du mot arabe «`Aqîqa» renvoie au poil avec lequel tout nouveau-né vient au monde soit parmi les hommes ou les animaux.

 

Plus tard, les Arabes ont appelé la bête à immoler au moment de la coupe des cheveux du nouveau-né «`Aqîqa» conformément à leur coutume de nommer la chose selon sa cause ou ce qui s’en rapproche.

 

Quant à la deuxième partie de la question (Est-il détesté de l’appeler `Aqîqa ?), il y a des avis qui considèrent comme détesté de l’appeler ainsi, car le Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم détestait l’ingratitude (2), ils l’appellent plutôt la Nassîka.

 

D’autres avis affirment qu’il est permis de l’appeler ainsi sans que cela soit détesté car le mot «`Aqîqa» est cité dans plusieurs hadiths du Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم, comme rapporté par Salmân Ibn `Âmir Adh-Dhabbî رضي الله عنه, lorsque le Messager d’Allâh صلَّى الله عليه وسلَّم avait dit, par exemple :

 

«Pour l’enfant une `Aqîqa ; coulez pour lui du sang (c’est-à-dire sacrifiez) et repoussez de lui le mal.» (3)

 

Selon Samura رضي الله عنه, le Messager d’Allâh صلَّى الله عليه وسلَّم a dit :

 

«Chaque enfant est lié à sa `Aqîqa qui sera immolée le 7e jour où on lui rasera les cheveux et on lui donnera un nom.» (4)

 

`Â'icha رضي الله عنها a dit :

 

«Le Messager d’Allâh صلَّى الله عليه وسلَّم nous a ordonnés de faire la `Aqîqa : immoler une bête ovine ou caprine pour la fille et deux pour le garçon.» (5)

 

Le terme Nassîka est, également, cité en plusieurs endroits des hadiths, par exemple lorsque le Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم a dit :

 

«Celui chez qui naît un nouveau-né et aimerait faire une Nassîka pour lui, qu’il le fasse.» (6)

 

Ce qui est semblable à cela il y a le fait d’appeler Al-`Ichâ' par `Atama..

 

Ce qui ressort de plus plausible dans cette question est qu’il est préférable de l’appeler la Nassîka de crainte d’abandonner cette appellation en plus du fait que le terme `Aqîqa a, (dans la langue arabe), un certain rapprochement (phonétique) avec l’ingratitude.

 

Certes, l’appeler ainsi s’oppose à ce qui est prioritaire.

 

Cela veut dire qu’il est permis de lui donner ce nom à condition de ne pas délaisser l’appellation religieuse qu’est la Nassîka, même si elle est appelée `Aqîqa, comme on dit aussi pour la salât d’Al-`Ichâ' au lieu de `Atama, et il n’y a aucun mal en cela.

 

En fait, ce qui est détestable c’est l’abandon de son nom juridique.

 

Le savoir parfait appartient à Allâh عزّ وجلّ, et notre dernière invocation est qu’Allâh, Seigneur des Mondes, soit Loué et que paix et salut soient sur notre Prophète Mohammed, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection.

 

(1) Al-Istidhkâr d’Ibn `Abd Al-Barr (5/ 320-321).

(2) Dans un hadith, le Prophète صلَّى الله عليه وسلَّم avait dit : «Je déteste l’ingratitude», rapporté par Abû Dâwûd (2842) ; An-Nassâ'î (4212) et Ahmad (6783), d’après `Amr Ibn Chu`ayb d’après son père d’après son grand-père رضي الله عنه. Ce hadith est considéré comme Sahîh par Ahmad Châkir dans son authentification du Musnad d’Ahmad (11/ 65) ; par Al-Albânî dans As-Sahîha (4/ 1655) et Sahîh Al-Jâmi` As-Saghîr (1849), Michkât Al-Massâbîh (2/ 4156).

(3) Rapporté par Al-Bûkhârî (5471) ; Abû Dâwûd (2839) ; At-Tirmidhî (1515) ; An-Nassâ'î (4214) et Ibn Mâja (3164) et Ahmad (15796) d’après Salmân Ibn `Âmir Adh-Dhabbî رضي الله عنه.

(4) Rapporté par Abû Dâwûd (2838) ; At-Tirmidhî (1522) ; An-Nassâ'î (4220) ; Ibn Mâja (3165) ; Al-Hâkim (7587) et Ahmad (19676) d’après Samura Ibn Jundub رضي الله عنه. Ibn Hajar dans Fat’h Al-Bârî (9/ 507) a dit au sujet de ce hadith : «Ses rapporteurs sont de confiance.» Authentifié par Ibn Al-Mulaqqin dans Al-Badr Al-Munîr (9/ 333) et Al-Albânî dans Sahîh Al-Jâmi` (4184).

(5) Rapporté par At-Tirmidhî (1513) ; Ibn Mâja (3163) et Ahmad (24722) d’après `Â'icha رضي الله عنها, hadith authentifié par Ibn Al-Mulaqqin dans Al-Badr Al-Munîr (9/ 333) et Al-Albânî dans Al-Irwâ' (1166) et As-Sahîha (6/ 2720).

(6) Rapporté par Abû Dâwûd (2842) ; Al-Hâkim (7592) ; Ahmad (6783) et Al-Bayhaqî (19676) d’après `Amr Ibn Chu`ayb d’après son père d’après son grand-père رضي الله عنه. Ce hadith est considéré fort par Ibn Hajar dans Fat’h Al-Bârî (11/ 3) et authentifié par Al-Albânî dans Sahîh Al-Jâmi` As-Saghîr (7630), Al-Michqât (2/ 4156) et considéré comme Sahîh dans As-Sahîha (4/ 213).

 

Fatwa n° : 329                                                                                                 

Catégorie : fatwas relatif à la `Aqîqa

 Traduit et publié par ferkous.com

 

في تعريف العقيقة

السؤال : ما هو التعريفُ الصحيحُ للعقيقة؟ وهل يُكْرَهُ تسميتُها بالعقيقة؟ وجزاكم الله خيرًا

الجواب : الحمدُ لله ربِّ العالمين، والصلاة والسلام على مَنْ أرسله اللهُ رحمةً للعالمين، وعلى آله وصحبه وإخوانه إلى يوم الدِّين، أمَّا بعد
فالعقيقةُ أو النسيكةُ: اسْمٌ لِما يُذْبَح عن المولود، أو هي: الذبيحةُ التي تُذْبَح عن المولودِ يومَ سابِعِه. وهذا التعريفُ إنَّما هو جارٍ على مَن يُجيزُ النسيكةَ بغيرِ الشاة مِن الأصناف الثمانية كالبقر والجَزور، عملًا بالإجماع الذي نَقَله ابنُ عبد البرِّ ـ رحمه الله تعالى ـ عن العلماء أنَّه لا يجوز في العقيقةِ إلَّا ما يجوز في الضحايا مِن الأزواج الثمانية، إلَّا مَن شذَّ مِمَّن لا يُعْتَدُّ بخلافه.
أمَّا قولُ مالكٍ ـ رحمه الله ـ

«تُسْتحَبُّ العقيقةُ ولو بعصفورٍ»

فإنَّه خَرَجَ مَخْرَجَ التقليلِ والمبالَغةِ لقوله ـ رحمه الله

«العقيقةُ بمنزلةِ النُّسُك والضحايا»

، ولا يخفى أنَّه لا يجوز في النُّسُك والضحايا إلَّا الأنعامُ وهي الأصنافُ الثمانية(١).
أمَّا مَن قَصَرَ إجزاءَ العقيقةِ في الشاة(٢) دون غيرِها، فقَدْ عرَّف العقيقةَ بأنَّها

«الشاةُ التي تُذْبَح عن المولودِ يومَ سابِعِه»

هذا، والأصلُ في معناها اللغويِّ هو الشَّعرُ الذي يُولَدُ عليه كُلُّ مولودٍ مِن الناس والبهائم، ثمَّ أَسْمَتِ العربُ الذبيحةَ عند حَلْقِ شعرِ المولود عقيقةً على عادتهم في تسميةِ الشيء بسببه أو ما يُجاوِره.
أمَّا الجزئية الثانية مِن السؤال وهي: هل يُكْرَه تسميتُها بالعقيقة؟ ففيه مَن يرى كراهةَ تسميتها بالعقيقة لكراهةِ النبيِّ صلَّى الله عليه وسلَّم للعُقوق(٣)، وإنَّما تُسمَّى عندهم بالنسيكة، وذَهَبَ آخَرون إلى أنه يُباح تسميتُها بذلك مِن غيرِ كراهةٍ لورودِ لفظِ العقيقة في أحاديثَ متعدِّدةٍ منها: قولُه صلَّى الله عليه وسلَّم مِن حديثِ سلمانَ بنِ عامرٍ الضبِّيِّ رضي الله عنه

«مَعَ الغُلَامِ عَقِيقَةٌ؛ فَأَهْرِيقُوا عَنْهُ دَمًا، وَأَمِيطُوا عَنْهُ الأَذَى»

(٤)

، وعن سَمُرَةَ رضي الله عنه ـ أيضًا ـ قال: قَالَ رَسُولُ اللهِ صلَّى الله عليه وسلَّم

«كُلُّ غُلَامٍ مُرْتَهَنٌ بِعَقِيقَتِهِ، تُذْبَحُ عَنْهُ يَوْمَ السَّابِعِ، وَيُحْلَقُ رَأْسُهُ، وَيُسَمَّى»

(٥)

، وعن عائشة رضي الله عنها قالت

«أَمَرَنَا رَسُولُ اللهِ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ أَنْ نَعُقَّ عَنِ الجَارِيَةِ شَاةً وَعَنِ الغُلَامِ شَاتَيْنِ»

(٦)

كما ورَدَتْ لفظةُ النسيكة في مَواضِعَ أخرى مِن الأحاديث منها: قولُه صلَّى الله عليه وسلَّم

«مَنْ وُلِدَ لَهُ وَلَدٌ فَأَحَبَّ أَنْ يَنْسُكَ عَنْهُ فَلْيَنْسُكْ»

(٧)

 ونظيرُ ذلك تسميةُ العشاء بالعَتَمة
والراجحُ الصحيحُ في هذه المسألةِ أنَّ الأَوْلَى تسميتُها بالنسيكة خَشْيَةَ هَجْرِ هذا الاسْمِ، ولِمَا في العقيقة مِن الإشعار بالعقوق؛ فالتسميةُ بها خلافُ الأَوْلَى، بمعنى أنَّه يجوز تسميتُها بالعقيقة، لكِنْ شريطةَ أَنْ لا يُهْجَرَ الاسْمُ الشرعيُّ لها وهو النسيكة، وإنْ أُطْلِق عليها اسْمُ العقيقةِ كما هو الشأنُ في تسميةِ العشاء بالعَتَمةِ فلا يضرُّ ذلك، وإنَّما الكراهةُ في هَجْرِ الاسْمِ الشرعيِّ لها.
والعلمُ عند الله تعالى، وآخِرُ دعوانا أنِ الحمدُ لله ربِّ العالمين، وصلَّى الله على محمَّدٍ وعلى آله وصحبه وإخوانه إلى يوم الدِّين، وسلَّم تسليمًا

(١) «الاستذكار» لابن عبد البرِّ (٥/ ٣٢٠، ٣٢١
٢) ويدخل فيها الضأنُ والمعز دون البقر والإبل، قال الأصمعيُّ في «الشاء» (٥٣): «باب أسماءِ أولادها: فإذا وَلَدَتْ فوَلَدُها سَخْلَةٌ، والجميع سِخَالٌ؛ فإِنْ كان ولَدُ الشاةِ مِن المعز ذَكَرًا فهو جَدْيٌ، وإِنْ كانَتْ أنثى فهي عَنَاقٌ؛ فإن كانَتْ ضائنةً وكان ولَدُها ذَكَرًا فهو حَمَلٌ، وإِنْ كانَتْ أنثى فهي رخلٌ». وانظر الفتوى رقم: (٥٨١) الموسومة ﺑ: «في حكم العقيقة بغير الشاة»
٣) كما في قوله صلَّى الله عليه وسلَّم: «لَا أُحِبُّ العُقُوقَ»: أخرجه أبو داود في «الضحايا» بابٌ في العقيقة (٢٨٤٢)، والنسائيُّ في «العقيقة» (٤٢١٢)، وأحمد (٦٨٢٢)، مِن حديث عمرو بنِ شعيبٍ عن أبيه عن جدِّه رضي الله عنه. والحديث صحَّحه أحمد شاكر في تحقيقه ﻟ «مسند أحمد» (١١/ ٦٥)، والألبانيُّ في «السلسلة الصحيحة» (٤/ ٢١٣) رقم: (١٦٥٥) و«صحيح الجامع الصغير» (١٨٤٩) و«مشكاة المصابيح» (٢/ ١٢٠٨) رقم: (٤١٥٦).
٤) أخرجه البخاريُّ في «العقيقة» بابُ إماطة الأذى عن الصبيِّ في العقيقة (٥٤٧١) مِن حديث سلمانَ بنِ عامرٍ الضبِّيِّ رضي الله عنه
٥) أخرجه أبو داود في «الضحايا» بابٌ في العقيقة (٢٨٣٨)، والترمذيُّ في «الأضاحي» بابٌ مِن العقيقة (١٥٢٢)، والنسائيُّ في «العقيقة» باب: متى يُعَقُّ؟ (٤٢٢٠)، وابنُ ماجه في «الذبائح» بابُ العقيقة (٣١٦٥)، مِن حديث سَمُرَة ابنِ جندبٍ رضي الله عنه. والحديث قال عنه ابنُ حجرٍ في «فتح الباري» (٩/ ٥٩٣): «رجالُه ثِقاتٌ»، وصحَّحه ابنُ الملقِّن في «البدر المنير» (٩/ ٣٣٣)، والألبانيُّ في «صحيح الجامع» (٤١٨٤)
٦) أخرجه الترمذيُّ في «الأضاحي» بابُ ما جاء في العقيقة (١٥١٣)، وابنُ ماجه في «الذبائح» بابُ العقيقة (٣١٦٣)، وأحمد في «المسند» (٢٥٢٥٠)، مِن حديث عائشة رضي الله عنها. والحديث صحَّحه ابنُ الملقِّن في «البدر المنير» (٩/ ٣٣٣)، والألبانيُّ في «الإرواء» (١١٦٦) و«السلسلة الصحيحة» (٦/ ٤٨٩) رقم: (٢٧٢٠)
٧) أخرجه أبو داود في «الضحايا» بابٌ في العقيقة (٢٨٤٢)، والنسائيُّ في «العقيقة» (٤٢١٢)، مِن حديث عمرو بنِ شعيبٍ عن أبيه عن جدِّه رضي الله عنه. والحديث قوَّاه ابنُ حجرٍ في «فتح الباري» (٩/ ٥٨٨)، وصحَّحه الألبانيُّ في «صحيح الجامع الصغير» (٧٦٣٠) وفي «المشكاة» (٢/ ٤١٥٦)، وحسَّنه في «السلسلة الصحيحة» (٤/ ٢١٣)

الفتوى رقم: ٣٢٩
الصنف: فتاوى الأشربة والأطعمة - العقيقة

الفتوى رقم: ٣٢٩
الصنف: فتاوى الأشربة والأطعمة - العقيقة

Cheikh Abou Abdil-Mou'iz Mouhammad 'Ali Farkouss - الشيخ أبي عبد المعزّ محمد علي فركوس

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Sur le fait de corriger ses enfants (vidéo)

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Sur le fait de corriger ses enfants (vidéo)

Question numéro 1 :

 

En ce qui concerne les coups, si l'enfant a de mauvaises manières et frappe...

 

Réponse :

 

On ne frappe pas, pas du tout.

 

Plutôt il y a l'orientation, le conseil et la parole.

 

Parfois, les mots ont un plus grand effet sur les gens que de frapper.

 

En outre, frapper avec certaines personnes ne vous aide pas du tout, plutôt cela les fait continuer sur ce quoi ils sont, de plus en plus. 

 

Ce qui est important, c'est que la meilleure de toutes les guidées est la guidée de Muhammad صلى الله عليه وسلم.

 

Ainsi, l'enfant ne doit pas être frappé aussi longtemps qu'il n'a pas atteint l'âge de la puberté.

 

Sur cette note, je comprends de l'enseignement progressif du Prophète صلى الله عليه وسلم qui a été précédemment mentionné dans le hadith :

 

"Ordonnez à vos enfants de prier"

jusqu'à la fin du hadith,

 

je comprends de ce hadith que c'est mal ce que je vois se dérouler avec beaucoup de pères.

 

Il ordonne à son enfant de prier avant d'atteindre l'âge de sept ans. Il s'agit d'une opposition à l'ordre du Prophète صلى الله عليه وسلم :

 

"Ordonnez à vos enfants de prier quand ils atteignent l'âge de sept ans." 

 

C'est pourquoi il ne convient pas au musulman de mettre l'ordre en vigueur avant ce que le Prophète صلى الله عليه وسلم a défini initialement.

 

Il est bon pour le père de permettre à son enfant de venir avec lui pour prier avec lui dans la mosquée.

 

Mais aussi loin de lui en lui disant : "Viens ici, lève-toi, va faire les ablutions et prie."

 

Et que l'enfant n'a pas encore atteint l'âge de sept ans, c'est une opposition à ce hadith, donc je voulais juste vous rappeler à tous de cela. "

 

Question 2 :

 

Cheikh, en ce qui concerne le fait de frapper, parfois, vous trouvez des étudiants qui quittent leurs maisons et n'ont aucune manière, même le bon conseil ne leur profitent pas et donc les frapper tombe-t-il dans la nécessité ?

 

Cheikh :

 

Ce n'est pas une nécessité, où est la nécessité ici.

 

Peux-tu comprendre que frapper serait bénéfique quand celui qui l'a créé a dit:

 

"ne le frappe pas jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge de sept ans."

Question :

 

L'enseignant peut parfois frapper pour la discipline l'étudiant.

 

Tout d'abord, est-il permis de frapper l'élève ? 

 

 Deuxièmement, est-il permis de le frapper au visage ?

 

Réponse :

 

En ce qui concerne frapper au visage, ce n'est pas permis en raison de la parole du Prophète صلى الله عليه وسلم :

 

"Ne frappez pas le visage et ne défigurez pas."

 

En ce qui concerne la deuxième partie, est-il permis de frapper l'étudiant en général comme moyen de discipline, la réponse doit faire mention de la parole connue et authentique du Prophète صلى الله عليه وسلم :

 

"Ordonnez à vos enfants d'accomplir la prière à l'âge de 7 ans, et frappez-les s'ils refusent à l'âge de 10 ans, et séparez-les dans les lits"

 

Dans ce hadith il y a une preuve que pour l'étudiant, plutôt l'enfant, qu'il soit étudiant ou non, il n'est pas permis à celui qui en a la charge de le frapper à cause de sa déficience dans l'obéissance aux commandements jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge de dix ans. 

 

Ordonnez à vos enfants de prier quand ils atteignent l'âge de sept ans et frappez-les s'ils la délaissent quand ils atteignent l'âge de dix ans et séparez-les les uns des autres dans les lits. 

 

Sans aucun doute, le jugement ou l'importance, quelle que soit la science que tout enseignant veut présenter à ses élèves, ne sera pas égale à l'importance de la prière.

 

Par conséquent, si le Prophète صلى الله عليه وسلم lui-même a interdit au père de frapper son enfant en raison du fait de ne pas prier jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge de dix ans, alors avec d'autant plus de raison, il n'est pas permis à autre que le père de frapper les enfants pour autre chose que de délaisser la prière jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge de dix ans.

 

Ainsi, il n'est pas permis à l'enseignant de frapper l'enfant, même s'il ne lui obéissait pas en ce qui concerne la prière. 

 

Existe-t-il d'autres affaires qui sont aussi importantes que la prière ?

 

Je sais qu'en général, dans les pays de climat chaud, les hormones peuvent mûrir à un rythme plus rapide ; donc l'âge du takleef (obligation de respecter les préceptes de la religion) peut être atteint à un âge plus précoce que cela ne le serait dans un climat plus froid.

 

Ensuite, cette règle ne doit pas être prise dans un sens général, mais chaque pays doit étudier les enfants ou il faut le faire d'une manière plus détaillée.

 

Par exemple, on pourrait savoir si cet enfant atteint l'âge de la puberté ou s'il est encore dans l'enfance ?

 

Ainsi, tout ce qui semble prédominer à partir de cette étude, le jugement pourrait être pris. 

 

À cet égard, je voudrais également ajouter que l'âge de la puberté pour les filles et les garçons diffère énormément d'un pays à l'autre. 

 Publié par minhaj sunna

 

Cheikh Mouhammad Nacer-dine Al-Albany - الشيخ محمد ناصر الدين الألباني

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Donner un nom à l'enfant est un droit du père, mais il est souhaitable de consulter la mère

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Donner un nom à l'enfant est un droit du père, mais il est souhaitable de consulter la mère

Question 24 :

 

Allâh سبحانه وتعالى m’a fait don d'une fille et quand j'ai voulu lui donner un nom, mon mari s'y est opposé et à proposer un autre nom.

 

Je lui ai alors proposé un tirage au sort entre les deux noms et nous lui avons attribué le nom qui est sorti de ce tirage.

 

Est-ce que cet acte fait partie des pratiques de divination païenne ?

 

Si oui comment peut-on résoudre cette divergence ?

 

Donner un nom à l'enfant est-il un droit exclusif du père ?

 

Veuillez nous édifier.

 

Qu’Allâh vous en récompense !

 

Réponse :

 

Le tirage au sort dans de tels cas est en conformité avec la législation islamique, car cela permet de dissiper la mésentente et de ménager les uns et les autres.

 

Le prophète صلى الله عليه وسلم l’a utilisé en plusieurs circonstances :

 

Quand il voyageait, il faisait le tirage au sort entre ses femmes, celle dont le nom sortait, l'accompagnait dans son voyage.

 

De même, un homme qui n'avait pour seul patrimoine que ses six esclaves avaient demandé dans son testament qu'on les affranchis après sa mort ; le prophète صلى الله عليه وسلم fit le tirage au sort à la suite duquel il en affranchit deux et maintient les quatre autres dans leur état. (1)

 

Donner un nom à l'enfant est un droit du père, mais il est souhaitable de consulter la mère afin de la ménager et d'unir les coeurs.

 

Il est recommandé aux deux parents de choisir de beaux noms à leurs enfants et d'éviter les noms désagréables.

 

Il n'est pas permis de donner aux enfants les noms qui expriment la servitude vis-à-vis d'un autre qu’Allâh tel que : Abdou Nabiy, Abdoul Hussein, Abdoul Kabaa etc.

 

Nous sommes tous des serviteurs d'Allâh et il n'est pas permis de s'assujettir à un autre que Lui.

 

Le célèbre savant Abou Mohamed ibn Hazm a rapporté l'unanimité des doctes qui stipulent l'interdiction de la servitude à un autre qu’Allâh sauf «Abdoul Muttalib» dont le prophète صلى الله عليه وسلم a approuvé l'appellation chez certains de ses compagnons رضي الله عنهم.

 

Et c’est d’Allâh que dépend la réussite.

 

(1) le musulman ne doit pas léguer plus de un tiers de ses biens dans son testament.

 

Fatawa islamiya 3-221

Publié par 3ilmchar3i.net

التسمية من حق الأب ومشاورة الأم مستحبة

سئل فضيلة الشيخ عبد العزيز بن باز رحمه الله:- لقد رزقني الله - سبحانه وتعالى - بأبنة وأردت تسميتها وأرادت زوجتي اسماً آخر فاقترحت عليها الاقتراع على الاسمين، وأسميناها حسب نتيجة الاقتراع، فهل هذا من الأزلام وإذا كان كذلك فكيف نفض هذا الخلاف؟ وهل التسمية من حق الوالد فقط؟ أفيدونا جزاكم الله خيراً

فأجاب بقوله: القرعة في مثل هذا الأمور الشرعية لما فيها من حل النزاع وتطبيب النفوس وقد استعملها النبي، - صلى الله عليه وسلم -، في أمور كثيرة، وكان عليه الصلاة والسلام، إذا أراد أن يسافر أقرع بين نسائه فأيتهن خرج السهم لها خرج بها ولما أوصى رجل بعتق أعبد له ستة ليس له غيرهم أقرع النبي، - صلى الله عليه وسلم -، بينهم فأعتق اثنين وأرق أربعة. والتسمية من حق الأب ولكن تستحب مشاورة الأم فيها تطيباً للنفوس وتأليفاً للقلوب. ويشرع لهما جميعاً أن يختارا الأسماء الطيبة ويبتعدا عن الأسماء المكروهة ولا يجوز في التسمية التعبيد لغير الله كعبد النبي وعبد الكعبة وعبد الحسين ونحو ذلك لأن عدا عبد المطلب، لأن النبي، - صلى الله عليه وسلم -، أقر هذا الاسم في بعض الصحابة - رضي الله عنهم جميعاً - وبالله التوفيق

فتاوى إسلامية 3/221

Cheikh 'Abdel-'Azîz Ibn 'Abdi-llâh Ibn Bâz - الشيخ عبدالعزيز بن عبدالله بن باز

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Est-il permis au père de contrôler les téléphones et les ordinateurs de ses enfants ? (audio-vidéo)

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Est-il permis au père de contrôler les téléphones et les ordinateurs de ses enfants ? (audio-vidéo)

Question :

 

Honorable Cheikh, qu’Allâh vous accorde la réussite.

 

Le questionneur dit : M’est-il permis en tant que père de contrôler les téléphones portables et les ordinateurs de mes enfants par peur d’y trouver des choses (mauvaises) ?

 

Réponse :

 

Oui, cela est obligatoire.

 

Tu les contrôles et regardes ce qu’il y a dedans.

 

Et comme je vous ai dit, il ne faut pas leur acheter de téléphones qui servent à autre chose que téléphoner.

 

Ne leur achètes pas de portable dans lequel il y a des offres, du mal et des choses interdites.

 

Question :

 

Qu’Allâh te préserve.

 

Certaines personnes disent que cet acte du père est de l’espionnage qui est interdit.

 

Cette parole est-elle correcte ?

 

Réponse : 

 

Cette parole est une parole fausse.

 

Il est ordonné au père d’éduquer ses enfants, de les surveiller et de s’occuper d’eux.

 

C’est une obligation pour lui.

 

Cela n’est pas de l’espionnage, mais cela fait partie de l’accomplissement de l’obligation qu’Allâh lui a ordonnée.

 

Mais de nos jours, une calamité s’est produite, c’est qu’ils disent : «Ne dis rien à tes enfants ni à ta femme et à tes filles car ceci est de la violence familiale. Laisses les faire ce qu’ils veulent, ils sont libres, ne te mêles pas de leurs affaires car cela est de la violence familiale.».

 

Il n’y a de force et de puissance qu’en Allâh.

 

Ils veulent que personne n’accomplisse ses obligations et que chacun fasse ce qu’il veut.

 

Publié par 3ilmchar3i.net

Cheikh Salih Bin Fawzan Bin 'Abdillah Al Fawzan - الشيخ صالح بن فوزان الفوزان

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Porter le prénom : Imâne et Houda

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Porter le prénom : Imâne et Houda

Question :

 

Quels sont les prénoms interdits par la religion, est-ce que le prénom Imân (Foi) et Houda (Guidée) sont haïssables ?

 

Et quel est l'avis religieux concernant un homme ayant une fillette de 3 ans, appelée Iman ?

 

Devrait-il lui changer son prénom ?

 

Qu'Allah vous rétribue pleinement.

 

Réponse du Comité permanent [des savants] de l'Ifta :

 

Nous ne connaissons aucun empêchement religieux pour les prénoms Imân et Houda.

 

Qu'Allah vous accorde la réussite et prière et salut sur notre Prophète Mohammad, ainsi que sur sa famille et ses compagnons.

 

La Fatwa numéro (12303)

(Numéro de la partie: 11, Numéro de la page: 464)

Publié par alifta.net

 

التسمية باسم إيمان وهدى
س: ما هي الأسماء المكروهة تسميتها في الدين، هل اسم إيمان، وهدى مكروه التسمية بها، وما رأي الدين في رجل عنده طفلة عمرها 3 سنوات، واسمها إيمان، هل يقوم بتغيير اسمها؟ وجزاكم الله كل خير
ج: التسمية بهدى وإيمان لا نعلم مانعًا شرعيًّا فيها
وبالله التوفيق وصلى الله على نبينا محمد وآله وصحبه وسلم

(الجزء رقم : 11، الصفحة رقم: 464)
الفتوى رقم - 12303

Les 2 types de prénoms interdits

 

Cheikh Al Albani a dit qu'il existe 2 types de prénoms prohibés :

 

-Le 1er sont les prénoms qui louent la personne comme Imaan ou Houda et que cette interdiction est venue dans un hadith authentique du Prophète صلى الله عليه وسلم

 

-Le 2nd sont les prénoms innovés, non rependus chez les premiers musulmans et qui comportent des caractéristiques qui ne siéent pas à un musulman ou musulmane tel que Sihaam ou Nihad...

 

Publié par cheikhalalbani.com

Comité permanent [des savants] de l'Ifta - اللجنة الدائمة للبحوث العلمية والإفتاء

Cheikh Mouhammad Nacer-dine Al-Albany - الشيخ محمد ناصر الدين الألباني

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Les incisions faites aux jeunes filles pour protéger leur virginité

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Les incisions faites aux jeunes filles pour protéger leur virginité

Question :

 

Il y a un phénomène très répandu chez certaines personnes au Maroc :

 

La mère fait une incision au-dessus du genou de sa fille au moyen d'un rasoir, elle fait trois lignes parallèles et met un morceau de sucre sur le sang, saignant, puis elle demande à sa fille de le manger en disant quelques mots.

 

La mère croit que cette action permettra de protéger la virginité de sa fille et empêchera tout agresseur d'y parvenir.

 

(Et il y a d'autres façons de faire la même chose).

 

Quel est l'avis religieux sur cette action ?

 

Réponse :

 

Cette action est interdite (inacceptable ou désapprouvé par la loi islamique).

 

C'est une superstition sans fondement et inacceptable.

 

Vous devriez plutôt s'en abstenir et en avertir les autres.

 

La prétention selon laquelle elle protègerait ainsi la virginité de la jeune fille est fausse et elle vient du Diable.

 

Il n'y a aucun fondement là-dessus dans la charia purifiée (loi islamique).

 

Il nous faut donc conseiller les gens de ne pas le faire et les mettre en garde contre ceci.

 

Les Ulémas doivent expliquer cela et en avertir les gens, car ce sont eux qui sont responsables de la mission de diffuser ce qu'Allah (Gloire à Lui) a révélé ainsi que la Sunna de Son Messager (Salla Allah `Alaihi Wa Sallam).

 

Qu'Allah vous aide.

 

Publié par alifta.com

 

هذا العمل منكر

س: ظاهرة منتشرة عند بعض الناس في المغرب العربي تتمثل في أن الأم تقوم بجرح أعلى ركبة ابنتها بموس الحلاقة ثلاثة خطوط متجاورة وتضع على الدم النازف قطعة سكر، وتأمر ابنتها بأكلها وقول بعض الكلمات مدعية هذه الأم أن هذه الفعلة تحفظ لابنتها بكارتها وتمنع وصول أي معتد إليها ( وهناك طرق أخرى لهذه الفعلة ) فما حكم الشريعة الإسلامية في هذا العمل؟

جـ: هذا العمل منكر، وهو خرافة لا أصل لها، ولا يجوز فعلها، بل يجب تركها والحذر منها، والقول بأنها تحفظ على البنت بكارتها أمر باطل من وحي الشيطان لا أساس له في الشرع المطهر، فيجب التواصي بتركه والحذر من فعله، ويجب على أهل العلم بيان ذلك والتحذير منه؛ لأنهم المبلغون عن الله سبحانه وعن رسوله صلى الله عليه وسلم

والله المستعان

(الجزء رقم : 6، الصفحة رقم:394)

Cheikh 'Abdel-'Azîz Ibn 'Abdi-llâh Ibn Bâz - الشيخ عبدالعزيز بن عبدالله بن باز

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Faire le adhan dans l'oreille du nouveau-né (vidéo)

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Faire le adhan dans l'oreille du nouveau-né (vidéo)

Question :

 

As-Salaamu Alaykoum wa Rahmatullaah, O Cheikh.

 

Cheikh Abd Al Qadir Al Junayd :

 

Wa Alaykoum As-Salaam wa wa Rahmatullaahi Barakaatuh.

 

Question :

 

Comment allez-vous, notre Cheikh?

 

Cheikh :

 

Hayak Allah, Abou Moussa.

 

Question :

 

Hayak Allah, O Cheikh. Notre Cheikh, j'ai une question, si vous le permettez.

 

Cheikh :

 

Vas-y.

 

Question :

 

Est-il légiféré pour un homme qui a un enfant de faire le Adhan dans l'oreille de l'enfant ?

 

Cheikh :

 

Est-ce légiféré?

 

Question :

 

Est-il légiféré pour un homme qui a un enfant de faire le Adhan dans l'oreille de son enfant à la naissance ?

 

Cheikh :

 

L'adhan au moment de la naissance est même recommandé (recommandé) selon la plupart des gens de science.

 

Il est venu dans un hadith, cependant, dans la chaîne de transmission il y a une faiblesse.

 

Néanmoins, la majorité des gens de science le recommande.

 

Donc, si on le fait, il n'y a pas de mal sur lui et s'il le délaisse il n'y a pas de mal sur lui.

 

Parmi les actes des pieux prédécesseurs, c'est que l'appel de la Adhan (dans l'oreille de l'enfant) à la naissance était bien connu avec eux, de sorte que la majorité des gens de science jugent mustahabb, et des gens de science ont dit qu'il ne doit pas être fait parce que le hadith est faible.

 

Question :

 

Puisse Allah vous récompenser par le bien Shaykh.

 

Cheikh :

 

Et toi aussi, Abou Moussa.

 

Question

 

Hayak Allah, O Cheikh. As-Salaamu Alaykoum

 

Cheikh :

 

Wa Alaykoum As-Salaam.

 

Traduit par Abou Moussa ibn Raha Batts Donald

Publié par minhaj sunna

Cheikh Abdul Qadir Al-Junayd - الشيخ عبد القادر بن محمد الجنيد

Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين

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Elever la voix sur les enfants (vidéo)

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Elever la voix sur les enfants (vidéo)

Question :

 

Parfois les enfants n'écoutent pas ou obéissent et on doit élever la voix sur eux, de même lorsqu'on leur enseigne le jeûne et de ne pas discuter les uns les autres.

 

Cela annule-t-il le jeûne d'élever la voix sur nos enfants dans le but de bien se comporter ?

 

Réponse :

 

Concernant la question où enfant élève la voix vers son parent, à savoir si c'est sa mère ou son père, alors le jugement diffère de la manière que cela peut se rapporter à quelque chose qui est interdit ou qui est légiféré.

 

Cela dit, la base est que l'enfant élevant la voix sur ses parents n'est pas légiféré.

 

Allah le glorifié et le Très-Haut dit (traduction rapprochée) :

 

"Et ton Seigneur a décrété : «N’adorez que Lui ; et (marquez) de la bonté envers les père et mère : si l’un d’eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi, alors ne leur dis point : «Fi !» et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses. 

Et par miséricorde, abaisse pour eux l’aile de l’humilité, et dis :

«Ô mon Seigneur, fais-leur, à tous deux, miséricorde comme ils m’ont élevé tout petit»." 

Sourate 17 le voyage nocturne versets 23-24

 

Il est rapporté que le Messager d'Allah صلى الله عليه وسلم a dit :

 

"qu'Allah fasse miséricorde à un parent qui aide son enfant à devenir bienfaisant envers eux"

 

Il n'y donc pas de bénéfice pour un père d'élever sa voix sur son enfant pour une raison non permise, ce n'est pas permis.

 

Un enfant se pare avec les mœurs de son père donc le père devrait être un bon exemple pour son enfant

 

Il doit être un bon exemple pour ce qui est de son caractère, ses paroles, ses actes et s'éloigner de quelque chose qui est interdit ou pas bon, et pratiquer ce qui est légiféré ou bon.

 

Par exemple, nous voyons des personnes prier dans leur maison et abandonne la prière en jama'a (congrégation).

 

Le garçon voudra adopter ces caractéristiques de son père et l'ancrer en lui durant sa vie tel qu'il voudra prier chez lui et délaisser la prière en jama'a, suivant ainsi l'exemple de son père.

 

Ceci est la réponse à la question.

 

Publié par minhaj sunna

Cheikh AbdouLlah Al-Ghoudayân - الشيخ عبدالله الغديان

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Porter le prénom «Fatima Zahra - فاطمة الزهراء» (audio)

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Porter le prénom «Fatima Zahra - فاطمة الزهراء» (audio)

 

Question de Lybie :

 

Quel est le jugement concernant le nom "Fatima Zahra" ?

 

Réponse de Cheikh Oubeyd :

 

Son nom - qu'Allâh l'agrée - est Fatima, et elle est connue auprès des gens de sciences pour être la cheffe des femmes des Mondes.

 

Par conséquent, il n'est pas permis de prendre ce nom (Fatima Zahra).

 

Et parmi les fautes répandues, le fait de nommer sa fille : Fatima Zahra.

 

Et je crains que sa signification provienne des balivernes instaurées par les chi'a (chiites).

 

Na'am.

 

Traduit par AbdelMalik Abou Haroun

 Publié par 3ilmchar3i.net

يقول : البلد من ليبيا، ما حكم اسم فاطمة الزهراء ؟

الجواب : هي اسمها - رضِيَ الله عنها - فاطمة، وهي معروفة عند أهل العلم بسيدة نساء العالمين، فلا يجوز ذلك، فمن الخطأ تسمية البنت فاطمة الزهراء، وأخشى أنَّ هذا يعني من تُرَّهات الشيعة. نعم

صيغة السؤال: بارك الله فيكم هل يصح أن نلقب فاطمة رضي الله عنها بالزهراء، وهل ورد هذا عند السلف؟

 تفريغ الإجابةهذه الزهرة معناها الجميلة البيضاء طيب ،فيقال فاطمة بنت النبي صلى الله عليه وسلم فهذا هو الوصف لها الأفضل والأحسن تنسب إلى أبيها الكريم عليه الصلاة والسلام لكن لو قيل فاطمة الزهراء ما نستطيع نقول يحرم وتركه أولى لأني ما أعلم أن الصحابه كانوا يسمون بهذا وإنما والله أعلم هذه ألقاب متأخرة والعلم عند الله فتركها أولى

- ملاحظه: لقد تطرقنا إلى هذا القول عما ورد عن ابن حجر العسقلاني في كتابه الإصابة في تميز الصحابه:ج 8 /ص 53 ، إلا أن الأخذ بقول شيخنا بارك الله فيه أفضل وأسلم، لأن هذا اللفظ يشاع بكثرة عند الرافضة وغيرهم والله المستعان

وجزاكم الله خيرا على هذا التنبيه المهم

الشيخ عثمان بن عبدالله السالمي

السؤال: انتشر بين العوامِّ أنَّ فاطمة بنتَ رسولِ الله لُقِّبَتْ ﺑ: «بالزهراء» لأنَّها لم تَحِضْ، وهي لها خصوصية من الرحمـٰن، فهل هذا صحيح؟ وما وجه تلقيبها ﺑ: «البتول» وإن كانت تفارق مريم العذراء عليها السلام في كونها تزوّجت عليًّا رضي الله عنه؟
الجواب: الحمد لله ربّ العالمين والصلاة والسلام على من أرسله الله رحمة للعالمين، وعلى آله وصحبه وإخوانه إلى يوم الدين، أما بعد
ففاطمةُ رضي الله عنها بنتُ النبيِّ صلى الله عليه وآله وسلم وزوجةُ عليٍّ بنِ أبي طالب رضي الله عنه، سيّدةُ نساءِ هذه الأُمَّةِ، ومناقبُها مشهورة عند أهل السُّنَّة، وتسميتُها ﺑ: «الزهراء» وَرَدَ في بعض كتب أهل السُّنَّةِ كتفسير الطبري(١- (6/339، 4/545))، والألوسي(٢- (13/387، 394))، وأضواء البيان للشنقيطي(٣- (8/270))، وفي الاستيعاب لابن عبد البر(٤- (2/135))، وشرح السُّنَّة للبغوي(٥- (14/15)، حيث بوَّب في كتاب «فضائل الصحابة» باب «مناقب فاطمة الزهراء رضي الله عنها»، لكن لم ينقل بهذا اللقب تاريخيًّا لدى أهل السُّنَّة فيما أعلم، ومعنى الزهراء أنها تتمتّع بِوَجْهٍ مُشْرِقٍ مُسْتَنِـيرٍ زَاهِرٍ، ومنه جاء الحديث: «اقْرَؤُوا الزَّهْرَاوَيْنِ: البَقَرَةَ وَآلَ عِمْرَان، فَإِنَّهُمَا يَأْتِيَانِ يَوْمَ القِيَامَةِ كَأَنَّهُمَا غَمَامَتَانِ أَوْ غَيَايَتَانِ»(٦- أخرجه مسلم في «صلاة المسافرين» (1874)، وابن حبان (116)، والحاكم في المستدرك (2071)، وأحمد (21653)، وعبد الرزاق في «المصنف» (5991)، والبيهقي (4159)، من حديث أبي أمامة رضي الله عنه)، وإنَّما المنقول عن الشيعة أنَّ من أسمائها «الزهراء» بمعنى نورانيتها ظاهرًا وباطنًا كما فسَّرها المجلسي، وعنهم أيضًا جاء في بحار الأنوار للإمام الصادق أنّ سبب تسميتها: «أنَّها هي الحوراءُ الإنسيةُ متى قامت من محرابها بين يدي ربها «جلَّ جلاله» زَهَر نورها لملائكة السماوات كما يزهو نور كواكب الأرض». ولا يخفى شدّة الغلوّ في التفسيرات الشيعية.
أمَّا تلقيبها ﺑ: «فاطمة البتول» ليس لأنَّها لم تَحِضْ كما ورد في السؤال، وإنَّما لانقطاعها عن نساء زمانها فضلاً وشرفًا ودينًا وحسبًا؛ لأنَّ لفظة «تبتَّل» معناها الانقطاع، ومنه قوله تعالى: ﴿وَتَبَتَّلْ إِلَيْهِ تَبْتِيلاً﴾ [المزّمِّل: 8]، أي: انقطِع إلى الله وتفرَّغ لعبادته إذا فَرغتَ من أشغالك، ومنه قيل لمريم «البتول» لانقطاعها عن الرجال، فالحاصل أنَّ هذا هو معنى اللفظة من حيث أصلُها اللغوي، أمَّا من جهة صحّة النسبة فليس فيها مستند تاريخي عند أهل السُّنَّة في حدود علمي يمكن الاعتماد عليه
والعلم عند الله تعالى، وآخر دعوانا أن الحمد لله ربِّ العالمين، وصلى الله على نبيِّنا محمَّد وعلى آله وصحبه وإخوانه إلى يوم الدين، وسلم تسليمًا
الجزائر في: 1 شـعبان 1427ﻫ
الموافق ﻟ: 25 أوت 2006م
۱- (6/339، 4/545).
۲- (13/387، 394).
٣- (8/270).
٤- (2/135).
٥- (14/15.
٦- أخرجه مسلم في «صلاة المسافرين» (1874)، وابن حبان (116)، والحاكم في المستدرك (2071)، وأحمد (21653)، وعبد الرزاق في «المصنف» (5991)، والبيهقي (4159)، من حديث أبي أمامة رضي الله عنه
من فتوى الشيخ فركوس حفظه الله

Cheikh Oubeyd Bin Abdoullah Bin Souleymane Al-Djabiri - للشيخ عبيد بن عبد الله الجابري

Cheikh 'Outhman Ibn Abdallah As-Sâlimy - الشيخ عثمان بن عبدالله السالمي

 Cheikh Abou Abdil-Mou'iz Mouhammad 'Ali Farkouss - الشيخ أبي عبد المعزّ محمد علي فركوس

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Conseil en or pour nous, nos femmes et nos enfants

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Conseil en or pour nous, nos femmes et nos enfants

-Celui qui apprend alors qu'il est en bas âge, il convient pour lui de commencer par la mémorisation du Coran, ensuite d'avoir des connaissances en langue arabe, ensuite de la sunna du Messager d'Allah (صلى الله عليه وسلم).

 

-Quant à celui qui est en âge avancé, l'obligation pour lui et on ne dit pas "il convient pour lui" mais au contraire, on dit "qu'il est une obligation pour lui" de commencer par les choses qu'Allah lui a rendues obligatoire dans les sujets touchant à la croyance, la prière, comment le Prophète (صلى الله عليه وسلم) priait, tout qui est rapporté de lui.

 

Tout ce qui lui est obligatoire, c’est par ceci qu'il se doit de commencer.

 

Les gens dans l'apprentissage se divisent en plusieurs catégories :

 

-L'enfant en bas-âge

 

Il commence par la mémorisation du coran comme le faisaient nos savants qui nous ont précédé, ensuite la langue arabe et ensuite, il revient à la sunna du Messager d'Allah (صلى الله عليه وسلم).

 

-Celui qui est en âge avancé

 

Il commence par ce qu'Allah lui a rendu obligatoire.

 

Et après qu'il ait commencé par ce qu'Allah lui a rendu obligatoire, à ce moment-là, Allah le bénira dans sa mise en pratique et les sunnans (c'est-à-dire les traditions du Prophète صلى الله عليه وسلم) se propageront de par sa cause, car les sunnans chers frères ! ne se propagent pas seulement avec les paroles, elles se propagent avec leur mise en pratique.

 

Cassette intitulée : "Al ba'ith al hathith" (11ᵉ cassette, 41ᵉ minute)

Traduit par Abou Houdayfa Ubaydoullah ibn Ali al Qamari

 Publié par ahloulhadith.typepad.com

 الذي يتعلم وهو صغير ينبغي له أن يبدأ بالقرآن ثم بمعرفة شيء من اللغة العربية ثم بسنة رسول الله صلى الله عليه وسلم

أما من كان كبيرا فالواجب عليه ، لا نقول ينبغي له ، بل الواجب عليه أن يبدأ بما أوجبه الله عليه من مسائل الاعتقاد ، ومن الصلاة كيف صلى رسول الله صلى الله عليه وسلم ، ومن جميع شؤونه ، الشيء الذي هو واجب عليه يبدأ به

فالناس في طريق التعليم ينقسمون إلى أقسام

 الصغير : يبدأ بحفظ القرآن كما هو شأن علمائنا المتقدمين وباللغة العربية ثم يرجع إلى سنة رسول الله صلى الله عليه وسلم

الكبير : يبدأ بما أوجب الله عليه ، وبعدها إذا بدأ بما أوجب الله عليه يبارك الله في عمله وتنتشر السنن بسببه ، فإن السنن يا إخوان ما تنتشر بالأقوال تنتشر بالعمل ا.هـ

" كتاب الباعث الحثيث "  الشريط : 11 / الدقيقة : 41

Cheikh Abou ‘Abdir-Rahman Mouqbil ibn Hâdi al Wâdi’i - الشيخ مقبل بن هادي الوادعي

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