La cure de l'épilepsie

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La cure de l'épilepsie

Dans les deux "Sahihs", sont mentionnées ces paroles de 'Ata' Ben Abi Rabah : 

 

"Ibn Abbas a dit: Te désignerai-je une femme vouée au Paradis ?

Je répondis positivement.

Il me dit: cette femme noire vint trouver le Prophète sallallahou alayhi wa salam et lui dit: Je suis épileptique et il m'arrive de me dénuder. Invoquez Allah pour qu'Il m'enveloppe de Ses grâces".

Il répondit: "Si tu te montres patiente, tu auras le Paradis comme récompense et si tu le désires, j'invoquerai Allah pour qu'Il te guérisse".

Elle répliqua "Je patienterai" puis ajouta: "Je me dénude. Implorez Allah afin que je cesse de le faire.

Et il invoqua Allah pour elle".

 

L'épilepsie revêt deux formes :

 

-L’épilepsie due aux mauvaises âmes terrestres

-Et celle qui est occasionnée par les mauvaises humeurs.

 

Le deuxième genre d'épilepsie a constitué le pivot des recherches des médecins quant à sa cause et sa cure.

 

L'épilepsie des âmes est avouée par leurs chefs et leurs habiles qui ne la rejettent point.

 

Ils reconnaissent que son remède serait d'opposer les âmes supérieures honnêtes et charitables à ces âmes hypocrites et maléfiques pour repousser leurs effets, contrer et invalider leurs actes.

 

Hippocrate a stipulé ceci dans certains de ses livres mentionnant certains remèdes à l'épilepsie en affirmant:

 

"Ceci apporte un profit à l'épilepsie causée par les humeurs et la matière. Quant à l'épilepsie occasionnée par les âmes, elle n'est guère éliminée par cette cure".

 

Les médecins ignorants et ignobles ainsi que ceux qui estiment que l'incroyance est une vertu renient l'épilepsie due aux âmes et ne reconnaissent pas qu'elles laissent leur empreinte sur le corps du malade.

 

Seule, l'ignorance les enveloppe, et la médecine ne renferme guère ce qui réfute ceci.

 

La sensation et l'existence y sont une preuve éclatante.

 

Renvoyer la cause de cette maladie à la suprématie de certaines humeurs comprend une part de vérité mais non pas sa totalité.

 

Les anciens médecins nommaient cette épilepsie: la maladie divine, affirmant qu'elle était due aux esprits.

 

Galien et d'autres ont interprété cette appellation en stipulant que l'épilepsie a été nommée "la maladie divine" étant donné que cette défectuosité porte atteinte à la tête et engendre des dégâts dans la partie divine apparente localisée dans le cerveau.

 

Cette interprétation est le fruit de leur ignorance de l'existence, des dispositions et des effets de ces esprits.

 

Les médecins incroyants n'ont procuré de preuve que sur la seule épilepsie des humeurs.

 

Celui qui jouit d'une raison saine et d'une connaissance des effets et de la réalité de ces esprits a raillé l'ignorance de ces gens faibles d'esprit.

 

Le traitement de ce genre d'épilepsie s'effectue par deux ordres: l'ordre provenant de l'épileptique et l'ordre provenant du traiteur.

 

L'ordre émanant de l'épileptique se fait par la force de son âme, la sincérité qu'il nourrit en se dirigeant vers le créateur de ces âmes et la juste recherche d'un refuge auprès d'Allah, recherche que le cœur et la langue ont conjointement entrepris.

 

Ceci est un genre de combat livré et le combattant n'obtiendra tout son dû par l'arme que si l'arme est puissante et le bras robuste.

 

Si l'un d'eux est défaillant, l'arme ne servira pas à grand-chose, qu'en serait-il alors si les deux facteurs sont anéantis ?

 

Le cœur se trouvera démuni de croyance à l'unicité d'Allah, de confiance en Lui, de piété tout en étant complètement désarmé.

 

L'ordre émanant du traiteur devra comporter de même ces deux facteurs (l'arme et le bras). Certains traiteurs se contentent même de dire: "O mal, quittez-le"

 

Ou bien de dire: "Au nom d'Allah"

 

Ou encore: "Il n'y a de puissance et de force qu'en Allah".

 

Le Prophète sallallahou alayhi wa salam disait:

 

"Sortez, ennemi d'Allah, je suis l'envoyé d'Allah".

 

J'ai vu notre cheikh déléguer auprès de l'épileptique une personne qui s'adressait à l'esprit qui l'habitait en ces termes: le cheikh vous intime l'ordre de sortir car ceci ne vous est guère permis.

 

L'épileptique se réveilla aussitôt.

 

Le cheikh pourrait faire cela lui-même.

 

Si cet esprit est rebelle, il le débusque à coups de boutoir et l'épileptique se réveille en sentant la moindre douleur.

 

Nous avons, avec d'autres, observé ce phénomène à plusieurs reprises.

 

On récitait souvent à l'épileptique ces mots d'Allah (traduction rapprochée):

 

"Pensiez-vous que Nous vous avions créés sans but, et que vous ne seriez pas ramenés vers Nous?" {Coran XXIII, 115}

 

Il m'a dit: "Qu'il les a récité une fois à l'épileptique et l'esprit dit alors: oui" et sa voix s'étendit en la disant.

 

Il a dit: "Je saisis un bâton et le rouai de coups sur le cou jusqu'à ce que mes bras se lassèrent à force de battre.

Les personnes présentes ne se doutaient point que mes coups lui étaient fatals car durant la frappe, l'esprit dit: Je l'aime.

Je lui répondis: Il ne te voue aucun amour, il répliqua: Je désire demeurer à ses côtés.

Je lui dis: il n'a aucune envie de te tenir compagnie.

Il rétorqua: Je le quitte pour vous honorer.

Je dis: Non! Mais plutôt en obéissance à Allah et à Son Prophète.

Il dit: Je le quitte.

Et le rapporteur d'ajouter: l'épileptique se mit à tourner à droite et à gauche en disant: Qu'est ce qui m'emporte en présence du cheykh?

Ils lui rétorquèrent: "Et tous ces coups alors?"

Il dit: Pour quelle raison le cheikh me battrait-il alors que je n'ai commis aucun péché?"

Ainsi, n'a-t-il point ressenti les coups qu'il a reçus?

 

Il traitait les malades avec le verset du Koursy (Chaise, Siège) et il recommandait vivement à l'épileptique et aux malades qu'il soigne de la réciter fréquemment ainsi que les deux sourates "talismaniques."

 

En général, ce genre d'épilepsie et sa cure ne sont reniés que par les ignorants, les faibles d'esprit et ceux et ceux qui n'ont qu'un bagage réduit de connaissance.

 

L'élargissement de l'influence des mauvais esprits sur le souffrant remonte à leur manque de foi et au fait que leur cœur et leur langue sont déchargés de toutes invocations d'Allah et de toute fortification par le Prophète et la foi.

 

Cet esprit maléfique rencontre l'homme désarmé complètement et peut-être nu et y diffuse ses effets.

 

Si la vérité se dévoile, se révèleront épileptiques la plupart des âmes humaines, en proie aux mauvais esprits qui régiront leur sort complètement et les assujettiront, engendrant l'épilepsie de laquelle le souffrant ne réveillera qu'une fois cet esprit l'ait quitté car ceci certifie qu'il est véritablement épileptique.

 

Et Allah est secoureur.

 

Le remède de cette épilepsie sera par la conjonction de la raison saine et de la croyance au message des envoyés et par le fait que le Paradis et l'enfer figurent constamment devant les yeux du malade constituant la visée de son cœur et qu'il se rappelle les gens de la terre et le déchaînement des calamités et des fléaux sur eux au sein de leurs demeures telles que les régions de pluie alors qu'ils sont épileptiques et qu'ils ne se réveillent guère.

 

Comme sont irréductibles les ennemis de l'épilepsie!

 

Mais lorsque le fléau dévasta la terre, il rendit épileptiques tous les humains de sorte à ce que ce phénomène n'est plus désormais objet d'étonnement et de condamnation mais tout à fait normal.

 

Si Allah désire octroyer le bien à son sujet, le malade se réveillera et observera les humains partout autour de lui succombant à l'épilepsie malgré leurs différences de classe.

 

Il y en a ceux qui sont saisis de folie, ceux qui se réveillent périodiquement pour replonger dans leur insanité, ceux qui s'affolent et se réveillent, ils se comportent comme tout autre individu raisonnable et conscient puis la maladie les emporte de nouveau et ils se mettront alors à se débattre convulsivement.

 

(Chapitre): L'épilepsie des humeurs est un fléau qui empêche les organes précieux d'effectuer leurs actes et leurs mouvements correctement.

 

Cet empêchement n'est cependant pas total. Ce fait est lié à l'existence d'une humeur épaisse et visqueuse qui obture les orifices des cavités cérébrales de façon incomplète.

 

Ainsi, les sensations et les mouvements sont retenus dans les organes et l'humeur concernée sans être totalement emprisonnés à l'intérieur.

 

Ce fait pourra être dû aussi à d'autres causes telles qu'un gaz lourd qui se retient dans les orifices de l'âme ou bien une buée fétide qui s'y élève en provenance de certains organes ou une condition piquante.

 

Le cerveau se contracte alors pour repousser le facteur maléfique.

 

Ceci est suivi d'une crispation de tous les organes tout en étant nuisible à l'homme qui tombe n'étant plus capable alors que sa bouche devient souvent couverte de salive.

 

Cette maladie appartient à la catégorie des maladies fugaces, la douleur étant apaisée dès que le mal est éliminé.

 

Elle pourra de même faire partie des maladies chroniques étant donné sa longue durée et la difficulté de sa guérison surtout si le malade a dépassé l'âge de vingt-cinq ans.

 

Cette maladie atteint surtout l'essence du cerveau, ce qui enduit infailliblement l'épilepsie.

 

Hippocrate a dit: "L'épilepsie demeure inhérente à ceux-ci jusqu'à leur mort".

 

Revenons à la femme que mentionna le hadith et qui plongeait dans l'épilepsie et se dénudait.

 

Il se peut que sa maladie appartienne à ce genre et le Prophète sallallahou alayhi wa salam, lui promit le Paradis si elle fait preuve de patience sur sa maladie.

 

Il invoqua Allah pour qu'elle ne se dénude pas et lui donne à choisir entre la patience et le Paradis d'une part et l'imploration d'Allah pour qu'elle se rétablisse d'autre part sans caution aucune.

 

Elle opta pour la patience et le Paradis.

 

Ce fait est une preuve sur la probabilité d'abandonner la cure et les soins médicaux car le traitement des âmes par l'invocation et l'imploration d'Allah produit un effet dont les traitements des médecins sont privés étant donné que ses effets, son action et la réaction qu'il provoque dans la nature sont plus puissants que les médicaments corporels et la réaction qu'ils déclenchent dans la nature.

 

Nous avons, avec d'autres, expérimenté ce phénomène à maintes reprises.

 

Les médecins habiles ont reconnu que les forces des âmes, par leur action et leurs effets, produisent des conséquences curatives miraculeuses.

 

Il n'y a plus délétère pour la médecine que les incroyants, les ignobles et les ignorants.

 

Il apparaît que l'épilepsie de cette femme appartenait à cette catégorie de maladie.

 

Il est également probable que son mal résulte des âmes.

 

Le Prophète sallallahou alayhi wa salam, lui a donné de choisir entre la patience et le Paradis d'une part et l'invocation d'Allah pour qu'elle guérisse d'autre part.

 

Elle a choisi de patienter pour accéder au Paradis céleste et Allah est omniscient.

 

"La médecine Prophétique" page 67 à 71

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Imam Muhammad Ibn Abî Bakr Ibn Qayyîm al-jawziya - الإمام محمد بن أبي بكر ابن قيم الجوزية

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Quand est-ce que la Palestine nous reviendra ? (vidéo)

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Quand est-ce que la Palestine nous reviendra ? (vidéo)
Lors d’une rencontre avec l’ancien mûfti, Shaykh Mohammed Al-Amin Al-Huseyni et un groupe des enfants de son pays, la Palestine.

 

Celui-ci fut رحمه الله interrogé comme d’habitude au sujet de son pays spolié (par les sionistes).

 

Il fut interrogé : « Quand allons-nous rentrer en Palestine ? »

 

Il répondit : « Quand vous reviendrez à Allah, vous reviendrez en Palestine. »

 

Si un Mouslimoun sur Terre pose cette question : «  Quand la Palestine nous reviendra ? »

 

La réponse est : «  Lorsque vous reviendrez vers Allah la Palestine vous reviendra ! »

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Cheikh Muhammad Ibn Sa’îd Raslân - الشيخ محمد سعيد رسلان

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Je vais être grande soeur inshâaLlah ! (dossier)

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Je vais être grande soeur inshâaLlah ! (dossier)

Voici l’histoire d’une famille qui va vivre un moment très joyeux et heureux inshâaLlah.

 

Leur famille va s’agrandir par la Grâce d’Allah.

 

L’ainée prénommé Safiya est une petite fille très attachante qui va voir pendant 9 mois le ventre de sa maman évoluer.

 

Car en effet, sa maman est enceinte.

 

Ainsi nous verrons comment se passe ce changement dans leur famille et comment Safiya va vivre l’arrivée de son petit frère inshâaLlah.

 

Il se peut fortement que des mamans se retrouvent dans ce récit. 

2 versions pour cette histoire sont mises à disposition…

-Première version, le nouveau-né est un petit garçon

 

-Deuxième version, le nouveau-né est une petite fille 

 

 Publié par 3ilmchar3i.net

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De la priorité du père à prénommer son enfant

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De la priorité du père à prénommer son enfant

La question :

 

À qui revient la priorité de prénommer l’enfant : Est-ce au père ou à la mère ?

 

La réponse :

 

Louange à Allâh, Maître des Mondes ; et paix et salut sur celui qu'Allâh عزّ وجلّ a envoyé en miséricorde pour le monde entier, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection.

Ceci dit :

 

Il n’y a pas de divergence entre les gens pour dire que la priorité de prénommer l’enfant revient au père et non pas à la mère, car l’enfant est attribué au père, et c’est lui qui a le plus droit à le prénommer.

 

Et comme il est obligatoire au père de subvenir aux dépenses de l’enfant, de lui assurer l’enseignement et de lui faire El-`Aqîqa [1] et autres, c’est à lui alors qu’appartient le droit de le prénommer.

 

De même, le Jour de la Résurrection, les gens seront appelés par les noms de leurs pères et non par ceux de leurs mères.

 

Néanmoins, l’enfant est attribué à sa mère en cas d’affranchissement, d’esclavage, d’El-Li`âne [2] ou de fornication, et dans d’autres questions connues dans la jurisprudence.

 

Le savoir parfait appartient à Allâh عزّ وجلّ, et notre dernière invocation est qu'Allâh, Seigneur des Mondes, soit Loué et que paix et salut soient sur notre Prophète Mohammed, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection.

 

[1] Immolation faite en guise de remerciement pour le nouveau-né. Note du traducteur.

[2] El-Li`âne a lieu lorsqu’un mari accuse sa femme d’adultère ; le juge, alors, l’ordonne de faire une quadruple attestation en disant : «J’atteste par Allâh que je suis du nombre des véridiques» et à la cinquième [attestation] il dit : «Que la malédiction d'Allâh tombe sur moi si je suis du nombre des menteurs».

Puis, le juge ordonne à la femme de faire une quadruple attestation en disant : «J’atteste par Allâh qu'il [son mari] est certainement du nombre des menteurs» et à la cinquième attestation elle dit : «Que la colère d'Allâh soit sur moi, s'il est du nombre des véridiques». Puis, on les sépare. Note du traducteur.

 

Alger, le 9 Rabî`El-Awwel 1428 H, Correspondant au 28 mars 2007 G

 Traduit et publié par ferkous.com

 

في أَحَقِّيةِ الأب بتسمية المولود

السـؤال : من هو الأحقُّ بتسمية المولود: الأب أم الأم؟

الجـواب : الحمدُ لله ربِّ العالمين، والصلاةُ والسلامُ على مَنْ أرسله اللهُ رحمةً للعالمين، وعلى آله وصَحْبِهِ وإخوانِه إلى يوم الدِّين، أمّا بعد

فلا خلافَ بين الناس أنَّ التسميةَ حقٌّ للأب دون الأمّ؛ لأنّ الولد يُنسب إليه، وهو أحقُّ بتسميته، وكما تجب على المولود له النفقةُ والتعليم والعقيقة وغيرُها فالتسمية تكون له، لذلك يدعى الخلق يوم القيامة بآبائهم لا بأُمَّهاتهم، وإنَّما يتبع أُمَّه في الحُريَّة والرِّقِّ واللِّعان والزِّنى وفي غيرِها من المسائل المعروفة في الفقه

والعلمُ عند اللهِ تعالى، وآخرُ دعوانا أنِ الحمدُ للهِ ربِّ العالمين، وصَلَّى اللهُ على نبيِّنا محمَّدٍ وعلى آله وصحبه وإخوانِه إلى يوم الدِّين، وسَلَّم تسليمًا

الجزائر في: 9 ربيع الأول 1428ﻫ

الموافق ﻟ: 28 مارس 2007م

الفتوى رقم: 794

الصنف: فتاوى الهدي والأضاحي

في أحقية الأب بتسمية المولود

Cheikh Abou Abdil-Mou'iz Mouhammad 'Ali Farkouss - الشيخ أبي عبد المعزّ محمد علي فركوس

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Nouvelle bibliothèque de Cheikh Rabi’ al-Madkhali (vidéo)

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Nouvelle bibliothèque de Cheikh Rabi’ al-Madkhali (vidéo)

 

Cheikh Rabi’ ibn Hadi ‘Oumayr al-Madkhali - الشيخ ربيع بن هادي المدخلي

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Cheikh Hâmad Ibn Mohamed Al-Ançâry (vidéo)

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Cheikh Hâmad Ibn Mohamed Al-Ançâry (vidéo)

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L’équité envers ses deux épouses

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L’équité envers ses deux épouses

La question :

 

Quel est le jugement concernant un homme marié avec deux femmes et qui n’assure pas l’équité entre elles ?

 

La réponse :

 

Louange à Allah, Maître des Mondes; et paix et salut sur celui qu'Allah عزّ وجلّ a envoyé en miséricorde pour le monde entier, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection.

Ceci dit :

 

Si la femme a une coépouse, il sera du devoir du mari de faire preuve d’impartialité et de ne pas favoriser une par rapport à l’autre quant à :

 

-dépense,

-la nourriture,

-le boire,

-l’habillement,

-le logement

-et la cohabitation.

 

Il ne lui est pas permis d’être injuste ou inéquitable ; Allah عزّ وجلّ     dit :

 

فَإِنْ خِفْتُمْ أَلاَّ تَعْدِلُواْ فَوَاحِدَةً أَوْ مَا مَلَكَتْ أَيْمَانُكُمْ ذَلِكَ أَدْنَى أَلاَّ تَعُولُوا-النساء: 3

Traduction du sens du verset :

 

…mais, si vous craignez de ne pas être justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d'injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille)﴿ [En-Nissâ' (Les Femmes) : 3].

 

Le Prophète صلى اللهُ عليه وآله وسَلَّم dit :

 

« Quiconque ayant deux épouses et penche pour l’une d’entre elles et ne fait pas preuve d’impartialité, viendra le Jour de la Résurrection avec un côté de son corps penché» [1]

 

Encore, Le Prophète صلى اللهُ عليه وآله وسَلَّم a recommandé de ménager les femmes en disant :

 

« Le meilleur d’entre vous est celui qui le mieux ménage son épouse, et moi est celui qui ménage le mieux ses épouses » [2]

 

En outre, comme le mari doit être équitable, il doit aussi se comporter convenablement et être bienfaisant envers elles ; ce sens est inclus dans le verset où Allah عزّ وجلّ dit :

 

وَعَاشِرُوهُنَّ بِالْمَعْرُوفِ -النساء: 19

Traduction du sens du verset :

 

Et comportez-vous convenablement envers elles﴿ [En-Nissâ' (Les Femmes) : 19].

 

En effet, ceci s’intègre parmi les droits de l’épouse sur son époux.

 

Sur ce, l’époux ne sera pas injuste s’il couche avec l’une de ses femmes sans en avoir des rapports, étant donné qu’il n’est pas obligatoire d’être équitable en ce qui concerne les rapports intimes, et ceci fait l’objet d’un consensus entre les oulémas [3].

 

En effet, ce qui mène aux rapports intimes sont le désir charnel, l’amour et le penchant.

 

Ainsi, il est impossible de traiter ses femmes sur le pied d’égalité, vu que le mari penche nécessairement pour l’une d’elles; pour cette raison, le Prophète صلى اللهُ عليه وآله وسَلَّم répondit lorsqu’on lui posa la question sur la personne qu’il aimait le plus :

 

« C’est `Âicha» [4]

 

Le savoir parfait appartient à Allah عزّ وجلّ, et notre dernière invocation est qu'Allah, Seigneur des Mondes, soit Loué et que paix et salut soient sur notre Prophète Mohammed, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection.

 

[1] Rapporté par Abou Dâwoûd, chapitre du « Mariage » (hadith 2135), Ibn Mâdjah, chapitre du « Mariage » (hadith 2045), Ahmed (hadith 8156), Ad-Dârimi dans ses « Sounane » (hadith 2261) et El-Bayhaqi (hadith 15135) par l’intermédiaire d’Abou Hourayra رضي الله عنه. Ce hadith est jugé authentique par El-Albâni dans « Irwâ' El-Ghalîl » (7/80), (2017).  

[2] Rapporté par Et-Tirmidhi, chapitre des « Mérites » (hadith 4269), Ad-Dârimi (hadith 2315), El-Bayhaqi (hadith 16117) par l’intermédiaire de `Âicha رضي الله عنها,  Ibn Mâdjah, chapitre du « Mariage » (hadith 2053), par l’intermédiaire d’Ibn `Abbâs رضي الله عنهما . Ce hadith est jugé authentique par El-Albâni dans « «Sahîh El-Djâmi` (hadith 3314), « Es-Silsila Es-Sahîha » (hadith 285) et « Âdâb Ez-Zifâf » (page 197).

[3] Voir : « El-Moughni » d’Ibn Qoudâma (9/618).

[4] Rapporté par El-Boukhâri, chapitre des « Mérites des Compagnons » (hadith 3662), Mouslim, chapitre des « Mérites des Compagnons » (hadith 6328), Et-Tirmidhi, chapitre des « Mérites » (hadith 4259) et Ahmed (hadith 18286), par l’intermédiaire de `Amr Ibn El-`Âs رضي الله عنهما.

 

Fatwa n°173

Alger, le 9 Dhou El-Hidja 1426 H, correspondant au 9 janvier 2005 G.

Traduit et publié par ferkous.com

 

في وجوب العدل بين الزوجتين
السؤال: 
ما حكم رجلٍ له زوجتان ولا يعدل بينهما؟ وجزاكم الله خيرًا
الجواب: الحمد لله ربِّ العالمين، والصلاة والسلام على مَن أرسله اللهُ رحمةً للعالمين، وعلى آله وصحبه وإخوانه إلى يوم الدين، أمَّا بعد
فإذا كان للزوجة ضَرَّةٌ فالواجب على الزوج أن يعدل بينها وبين ضَرَّتها في المعاملة وفي عموم النفقة: مِن المأكل والمشرب والملبس والمسكن والقَسْم في المبيت، ولا يجوز له أن يَحيف في شيءٍ مِن ذلك أو يجور لقوله تعالى

فَإِنْ خِفْتُمْ أَلَّا تَعْدِلُوا فَوَاحِدَةً أَوْ مَا مَلَكَتْ أَيْمَانُكُمْ ذَلِكَ أَدْنَى أَلَّا تَعُولُوا - النساء: ٣

ولقوله صلَّى الله عليه وسلَّم

«مَنْ كَانَتْ لَهُ امْرَأَتَانِ يَمِيلُ لِإِحْدَاهُمَا عَلَى الأُخْرَى جَاءَ يَوْمَ الْقِيَامَةِ يَجُرُّ أَحَدَ شِقَّيْهِ سَاقِطًا أَوْ مَائِلًا»

(١)

، ففي الحديث دليلٌ على تحريم الميل إلى إحدى الزوجتين دون الأخرى في الحقوق الزوجية التي تدخل تحت مِلكه وقدرته، سواءٌ كانتا مسلمتين أو إحداهما مسلمةً والأخرى كتابيةً قولًا واحدًا، قال ابن المنذر ـ رحمه الله ـ

«وأجمعوا على أنَّ القَسْمَ بين المسلمة والذمِّيَّة سواءٌ»

(٢)

ولأنَّ النبيَّ صلَّى الله عليه وسلَّم وصَّى بهنَّ خيرًا فقال

«خَيْرُكُمْ خَيْرُكُمْ لِأَهْلِهِ، وَأَنَا خَيْرُكُمْ لِأَهْلِي»

(٣)

 وكما يجب عليه العدلُ يجب عليه المعاشرةُ بالمعروف والإحسانُ إليهما لعموم قوله تعالى

إِنَّ اللَّهَ يَأْمُرُ بِالْعَدْلِ وَالْإِحْسَانِ - النحل: ٩٠

 وقوله سبحانه

وَعَاشِرُوهُنَّ بِالْمَعْرُوفِ - النساء: ١٩

وذلك مِن حقوق الزوجة على زوجها
هذا، ومِن العدلِ القَسْمُ في المبيت وإن لم يحصل معه جماعٌ لعدم وجوب التسوية في الجماع بإجماعٍ(٤)، لأنَّ سبيله الشهوةُ والمحبَّة والميل، ويتعذَّر التسويةُ بينهنَّ لتحقُّق ميل قلب الزوج إلى إحداهما دون الأخرى، ولهذا قال النبيُّ صلَّى الله عليه وسلَّم لمَّا سئل عن أحبِّ الناس إليه قال

«عَائِشَةُ»

(٥)
هذا ويجدر التنبيه إلى أنه لا يجب على الزوج العدلُ بين زوجاته في النفقة والكسوة إذا ما وفَّى بالواجب الذي عليه وقام به تُجاه كلِّ واحدةٍ منهنَّ، فله أن يفضِّل إحداهما على الأخرى في النفقة والكسوة إذا كانت الأخرى في كفايةٍ، لمكان المشقَّة في التسوية في ذلك كلِّه، فلو أُمر به فلا يَسَعُه القيامُ به إلَّا بحرجٍ زائدٍ، فسقط وجوبُه كالتسوية في الجماع

(٦)
كما لا يجب على الزوج التسويةُ بين الزوجات في المهر والوليمة، بل يجوز التفاوتُ فيها، ويدلُّ على ذلك ما جاء عَنْ أُمِّ حَبِيبَةَ رضي الله عنها

«أَنَّ رَسُولَ اللهِ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ تَزَوَّجَهَا وَهِيَ بِأَرْضِ الْحَبَشَةِ، زَوَّجَهَا النَّجَاشِيُّ، وَأَمْهَرَهَا أَرْبَعَةَ آلَافٍ، وَجَهَّزَهَا مِنْ عِنْدِهِ، وَبَعَثَ بِهَا مَعَ شُرَحْبِيلَ ابْنِ حَسَنَةَ، وَلَمْ يَبْعَثْ إِلَيْهَا رَسُولُ اللهِ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ بِشَيْءٍ، وَكَانَ مَهْرُ نِسَائِهِ أَرْبَعَ مِائَةِ دِرْهَمٍ»

(٧)

، وفي تزويج زينبَ بنتِ جحشٍ رضي الله عنها قال أنسٌ رضي الله عنه

«مَا رَأَيْتُ النَّبِيَّ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ أَوْلَمَ عَلَى أَحَدٍ مِنْ نِسَائِهِ مَا أَوْلَمَ عَلَيْهَا: أَوْلَمَ بِشَاةٍ»

(٨)
هذا، والأصل أن يكون لكلِّ زوجةٍ مسكنٌ خاصٌّ بها يأتيها فيه كما فَعَل النبيُّ صلَّى الله عليه وسلَّم مع نسائه، بدليل قوله تعالى

يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا لَا تَدْخُلُوا بُيُوتَ النَّبِيِّ إِلَّا أَنْ يُؤْذَنَ لَكُمْ - الأحزاب: ٥٣

، فظاهر الآية أنَّ النبيَّ صلَّى الله عليه وسلَّم كان يُسكن زوجاتِه في مساكن متعدِّدةٍ مستقلَّةٍ يَقْسِم فيما بينهنَّ، وذلك ـ بلا شكٍّ ـ أصونُ لهنَّ وأسترُ حتى لا يخرجن مِن بيوتهنَّ(٩)، ولا يجمعُ أكثرَ مِن زوجةٍ في مسكنٍ واحدٍ لمخالفته للأصل السابق إلَّا برضاها، ويكون ذلك مسكنَ مثلِها لائقًا لا ضرر عليها فيه ولا أذى
والعلم عند الله تعالى، وآخِرُ دعوانا أنِ الحمدُ لله ربِّ العالمين، وصلَّى الله على محمَّدٍ وعلى آله وصحبه وإخوانه إلى يوم الدين، وسلَّم تسليمًا
الجزائر في: ٠٩ ذي الحجَّة ١٤٢٦ﻫ
المـوافق ﻟ: ٠٩ ينـاير ٢٠٠٥م

١) أخرجه أحمد ـ واللفظ له ـ (٧٩٣٦)، وأبو داود (٢١٣٣)، والترمذي (١١٤١)، وابن ماجه (١٩٦٩)، والنسائي (٣٩٤٢)، من حديث أبي هريرة رضي الله عنه. وصحَّحه الألبانيُّ في «إرواء الغليل» (٧/ ٨٠) رقم: (٢٠١٧)
٢) «الإجماع» لابن المنذر (٨٤). ويُستثنى مِن القَسْم في المبيت صورةُ ما إذا تزوَّج البكرَ على الثيِّب فإنه يقيم عندها سبعًا، وإذا تزوَّج الثيِّبَ على البكر أقام عندها ثلاثًا، ثمَّ يَقْسِم لكلِّ زوجةٍ منهنَّ ليلتَها لحديث أنس بن مالكٍ رضي الله عنه قال: «مِنَ السُّنَّةِ إِذَا تَزَوَّجَ الرَّجُلُ البِكْرَ عَلَى الثَّيِّبِ أَقَامَ عِنْدَهَا سَبْعًا وَقَسَمَ، وَإِذَا تَزَوَّجَ الثَّيِّبَ عَلَى البِكْرِ أَقَامَ عِنْدَهَا ثَلَاثًا ثُمَّ قَسَمَ» [أخرجه البخاري في «النكاح» باب إذا تزوَّج الثيِّب على البكر (٥٢١٤)، ومسلم في «الرضاع» (١٤٦١)].
٣) أخرجه الترمذي في «المناقب» باب في فضل أزواج النبيِّ صلَّى الله عليه وسلَّم (٣٨٩٥) مِن حديث عائشة رضي الله عنها، وابن ماجه في «النكاح» باب حسن معاشرة النساء (١٩٧٧) مِن حديث ابن عبَّاسٍ رضي الله عنهما. وصحَّحه الألبانيُّ في «صحيح الجامع» (٣٣١٤)
(٤) «المغني» لابن قدامة (٩/ ٦١٨)
٥) أخرجه البخاري في «فضائل الصحابة» باب قول النبيِّ صلَّى الله عليه وسلَّم: «لَوْ كُنْتُ مُتَّخِذًا خَلِيلًا» (٣٦٦٢)، ومسلم في «فضائل الصحابة» (٢٣٨٤)، من حديث عمرو بن العاص رضي الله عنه
(٦) انظر: «المغني» لابن قدامة (٧/ ٣٢)
٧) أخرجه أبو داود في «النكاح» باب الصداق (٢١٠٧)، والنسائي في «النكاح» باب القسط في الأصدقة (٣٣٥٠)، من حديث أمِّ حبيبة بنت أبي سفيان رضي الله عنهما. وانظر «صحيح أبي داود» للألباني (١٨٣٥)
٨) أخرجه البخاري في «النكاح» بابُ مَن أولم على بعض نسائه أكثرَ مِن بعضٍ (٥١٧١)، ومسلم في «النكاح» (١٤٢٨)، من حديث أنس بن مالكٍ رضي الله عنه
(٩) انظر: «المغني» لابن قدامة (٧/ ٣٤)

الفتوى رقم: ١٧٣
الصنف: فتاوى الأسرة - عقد الزواج - الحقوق الزوجية - الحقوق المنفردة

الفتوى رقم: ١٧٣
الصنف: فتاوى الأسرة - عقد الزواج - الحقوق الزوجية - الحقوق المنفردة

Cheikh Abou Abdil-Mou'iz Mouhammad 'Ali Farkouss - الشيخ أبي عبد المعزّ محمد علي فركوس

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Le mari peut-il assister à l'accouchement de sa femme ?

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Le mari peut-il assister à l'accouchement de sa femme ?

Question :

 

J'aurais voulu savoir si quelque chose dans la chari'a allait à l'encontre du fait que le mari assiste à l'accouchement de sa femme?

 

Mon mari avance le fait que la mixité empêche qu'il soit présent lors de mon accouchement car les sages femmes seront présentes.

 

Je précise qu'un drap couvre la nudité de la femme afin que la personne qui assiste à l'accouchement ne puisse pas tout voir.

 

Qu'en est-il ?

 

Réponse :

 

Normalement lors d'un accouchement il ne doit y avoir que des femmes, ce qui ne veut pas dire qu'il y a une 'awra entre le mari et sa femme mais il doit y avoir de la pudeur entre le mari et les autres femmes (sage-femme, obstétricienne etc...), cette pudeur doit l'empêcher de se mêler à ces femmes.

 

Toutefois si l'époux est médecin ou a la capacité nécessaire (science) d'accoucher sa femme, alors il lui est permis de l'accoucher lui-même, mais quand je parle de pudeur c'est si sa femme se fait accoucher par d'autres femmes, le mari devrait ressentir de la gêne à y assister.

 

Wa Allah soubhaana wa ta'ala a'lem, il n'y a rien qui lui interdit car la femme est couverte mais je ne vois pas pourquoi il voudrait assister à une chose pareille !

 

wa Allah soubhaana wa ta'ala a'lem.

 

Question posée par oukht oum-AbdAllah-Aliya le 19 safar 1430 (14/02/09) à 22h15

copié de oummietmoi.net

 

Cheikh Abou Abdillah Mohamed Tchalabi Al Djazairy - الشيخ أبو عبد الله محمد تشلابي

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Dire : «daron» ou «daronne» lorsque l'on parle de ses parents

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Dire : «daron» ou «daronne» lorsque l'on parle de ses parents

Beaucoup de personnes, lorsqu’elles parlent de leurs parents, utilisent souvent l’expression «daron» et «daronne», sans même connaître la définition exacte de ces termes.

Voici la définition dans le dictionnaire de la langue française :

 

-Daronne : mère, mère des voleurs, maitresse, patronne de bordel, tenancière de maison close.

 

-Daron : père, maitre, maitre de maison, chef, patron, patron de bordel, tenancier de maison close.

 

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SubhanAllah !

 

Comment après avoir connaissance de cela on continue à les «insulter» de la sorte.

 

La législation religieuse et ceci de par les textes religieux et le consensus des savants a établi une base fondamentale :

 

L’obligation de se différencier des mécréants et l’interdiction de leur ressembler

 

D’après Abou Sa’id : Le prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit :

 

« Vous suivrez la voie de ceux qui vous ont précédé empan par empan et coudée par coudée, même s'ils entraient dans un trou de lézard, vous les suivrez ».

– Ils dirent : « Ô Envoyé d'Allah, s'agit-il des juifs et des chrétiens ? ».

– « Et alors, répliqua-t-il, de qui donc sinon ? ».

(Rapporté par Bukhary & Muslim).

 

Qu'Allah nous préserve de la ressemblance avec les mécréants, retire notre ignorance et nous rajoute de la science utile.

 

 Publié par lamektaba.over-blog.com

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Vous les salafis, chaque jour vous faite tomber un prêcheur ! (audio)

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Vous les salafis, chaque jour vous faite tomber un prêcheur ! (audio)

 

Question :

 

Certains sectaires disent que les salafis font tomber un prêcheur chaque jour, quel est votre réponse à cette prétention ?

 

Réponse :

 

Ils ne font tomber personne si ce n'est celui qui a fait tomber sa propre personne par son choix aux innovations et suivi des innovateurs !

 

Traduit par Mohamed Salih

Publié par 3ilmchar3i.net

سئل العلامة المحدث المسند أحمد بن يحي النجمي رحمه الله ما ياتي

س:بعض الحزبيين يقولون أن السلفيين كل يوم يسقطون داعية فما ردكم على هذا الزعم

فأجاب رحمه الله:لا يسقطون أحدا إلا من أسقط نفسه باختياره للبدع ومتابعة المبتدعين اهـ

Cheikh Ahmad Ibn Yahya An-Najmi - الشيخ أحمد بن يحيى النجمي

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Le jugement concernant le fait de faire beaucoup de dépenses et de manifester la joie la nuit d’achoura

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Le jugement concernant le fait de faire beaucoup de dépenses et de manifester la joie la nuit d’achoura

La question :

 

Beaucoup de familles chez nous suivent une coutume qui consiste à préparer un repas spécial (tels que le couscous avec la viande, Ech-Chekhchoûkha et autres) la nuit d’Achoura, soit qu’elles aient jeûné ou non.

 

Quel est, donc, le jugement concernant la préparation de ce repas ?

 

Et quel est le jugement quant au fait d’accepter l’invitation à ce repas ?

 

La réponse :

 

Louange à Allâh, Maître des Mondes ; et paix et salut sur celui qu’Allâh a envoyé comme miséricorde pour le monde entier, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu’au Jour de la Résurrection.

Ceci dit :

 

Le jour d’Achoura est l’une des bénédictions du mois d’Allâh El-Mouharram, et c’est le dixième jour de ce mois.

 

En outre, l’adjonction du mois à Allâh عز وجل démontre l’honneur et le mérite de ce mois, car Allâh عز وجل n’adjoint à Lui que ses particulières créatures ; le Prophète صلى الله عليه وسلم dit :

 

«Le meilleur jeûne après celui du mois de Ramadan est le jeûne du mois d’Allâh El-Mouharram» [1].

 

De plus, le caractère sacré de ce mois est antique et son mérite est très grand, car, dans ce même jour, Allâh عز وجل a sauvé Moïse  et son peuple, et a noyé Pharaon et ses armées.

 

De ce fait, Moïse jeûnait ce jour en guise de remerciement à Allâh عز وجل.

 

Les Koraïchites, aussi, le jeûnaient dans l’ère préislamique ainsi que les juifs ; Alors, le Prophète صلى الله عليه وسلم leur a dit :

 

«Nous sommes plus méritants et plus dignes de Moïse que vous» [2].

 

Ainsi donc, le Prophète صلى الله عليه وسلم l’a jeûné et a ordonné de le jeûner.

 

Par ailleurs, le jeûne de ce jour était obligatoire selon la plus valable et la plus soutenue des opinions des ulémas ; Puis, il est devenu recommandé après l’obligation du jeûne du mois de Ramadan ; Comme il est aussi recommandé de jeûner le neuvième jour afin de contredire les juifs qui ne jeûnent que le dixième jour.

 

Quant à son grand mérite, c’est qu’il expie [les péchés] de l’année précédente.

 

C’est cela qui est authentique dans la Sunna purifiée ; et à part le jeûne, rien n’est prescrit en ce jour.

 

Pour ce qui est, d’une part, des innovations d’Er-Râfida [3], tels que le fait de s’imposer la soif et de manifester la tristesse ou autres hérésies semblables au point qu’ils ont pris ce jour pour un deuil, et d’autre part, les innovations d’En-Nâssiba [4] qui manifestent la joie et la gaieté ce jour-là, en faisant des dépenses abondantes ; en effet, ni les uns ni les autres n’ont une origine sur laquelle on peut s’appuyer, sauf des hadiths inventés et fallacieusement attribués au Prophète صلى الله عليه وسلم ou d’autres dont les chaînes de transmission sont jugées faibles et n’atteignent pas le degré de validité pour servir de preuve.

 

Cheikh El-Islâm Ibn Taïmia -رحمه الله- a bien élucidé ce sujet en disant :

 

«…comme ce qu’a innové certaines gens qui suivent leurs passions au jour d’Achoura en s’imposant la soif, manifestant la tristesse et en se regroupant, et bien d’autres innovations que ni Allah عز و جل n’a prescrites, ni Son Messager صلى الله عليه وسلم, ni aucun des Pieux Prédécesseurs, ni aucun de la Famille du Prophète صلى الله عليه وسلم ni autres (…) et cela était une calamité - le meurtre d’El-Housseyn  - à laquelle on doit faire face comme on le fait avec les calamités par l’invocation prescrite [: «À Allâh nous appartenons et vers Lui nous retournons»].

 

Néanmoins, certaines gens hérétiques ont innové, dans ce jour, des actes qui contredisent ce qu’Allâh a ordonné de faire quand une calamité survient ; ajoutant à ceci le fait de calomnier et dénigrer les Compagnons  qui sont tout à fait innocents du meurtre d’El-Housseyn , ainsi que d’autres actes parmi ceux que détestent Allâh et Son Messager (…) quant au fait de prendre les jours de calamité pour des deuils ; Ceci, en effet, n’appartient nullement à la religion des musulmans.

 

Ceci appartient, plutôt, plus à la religion de l’ère préislamique »

 

jusqu’à ce qu’il a dit -رحمه الله-:

 

«Certaines gens ont innové dans ce jour (le jour d’Achoura) des choses en se basant sur des hadiths inventés qui n’ont aucune origine valable comme : Le mérite de faire les ablutions complètes en ce jour, de se farder les yeux [avec du kohl] ou de se saluer en serrant la main.

 

Toutes ces choses sont des actes hérétiques, et toutes sont détestables ; néanmoins, ce qui est recommandé est de jeûner ce jour-là (…) apparemment, cette invention s’est produite quand l’esprit fanatique est apparu entre En-Nâssiba et Er-Râfida ; car lorsque ces derniers ont tenu le jour d’Achoura pour un deuil, les autres ont inventé des textes incitant à faire beaucoup de dépenses en ce jour et à le considérer comme un jour de fête.

 

Cependant, les deux sont erronés» [5].

 

Du reste, si nous savons que ce qui est prescrit en ce jour se limite uniquement au jeûne ; alors, il n’est pas permis d’accepter l’invitation ni de ceux qui le prennent pour deuil, ni de ceux qui le prennent pour fête ; car il n’est permis à aucune personne de changer, d’ajouter ou de rattraper quoi que ce soit dans la charia d’Allâh عز وجل pour n’importe quelle personne.

 

Le savoir parfait appartient à Allâh عز وجل, et notre dernière invocation est qu’Allâh, Seigneur des Mondes, soit Loué et que prière et salut soient sur notre Prophète, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu’au Jour de la Résurrection.

 

[1] Rapporté par Mouslim, chapitre du «Jeûne» (hadith 2755), par Abou Dâwoûd, chapitre du «Jeûne» (hadith 2429), par Et-Tirmidhi, chapitre de «La prière» (hadith 438), par En-Nassâ'i, chapitre de «La prière nocturne» (hadith 1613), par Ibn Mâdjah, chapitre du «Jeûne» (hadith 1742) et par Ahmed (hadith 8158), par l’intermédiaire d’Abou Hourayra .

[2] Rapporté par El-Boukhâri, chapitre du «Jeûne» (hadith 2004), par Mouslim, chapitre du «Jeûne» (hadith 2656), par Abou Dâwoûd, chapitre du «Jeûne» (hadith 2444), par Ibn Mâdjah, chapitre du «Jeûne» (hadith 1734) et par El-Houmaydi dans son «Mousnad» (hadith 543), par l’intermédiaire d’Ibn Abbâs .

[3] Er-Râfidha : est une secte qui fait partie de la grande secte des chiites. Ils ont prêté le serment d’allégeance à Zeyd Ibn `Ali et ils lui ont demandé de renier Abou Bakr et `Omar  ; mais celui-ci (Zeyd Ibn `Ali) a refusé, alors ils l’ont laissé et l’ont refusé, c’est-à-dire qu’ils l’ont boycotté et ont renoncé à leur serment d’allégeance. Parmi leurs fondements : El-'Imâma (l’imamat de douze membres de la descendance de la Famille du Prophète ), El-`Isma (l’infaillibilité des douze imams), El-Mahdia (ils croient en une personne de la descendance de la Famille du Prophète  s’appellant Mohammed Ibn El-Hassane El-`Askari qui reviendrait vers la fin du monde), Et-Taqiyya (montrer le contraire de ce que l’on croit) et le fait d’insulter les Compagnons  …etc

[4] En-Nâssiba : sont ceux qui haïssent `Ali   et ses compagnons. Voir : «Medjmoû` El-Fatâwa» (25/301).

[5] Voir : «Iqtidhâ' Es-Sirât El-Moustaqîm» d’Ibn Taïmia (2/129-133).

 

Alger, le 16 El-Mouharram 1428 H, correspondant au 4 février 2007 G.

Publié par ferkous.com

       

في حكم التوسعة والسرورِ في ليلة عاشوراء

السـؤال:جرتِ العادةُ عندنا أنّ الكثيرَ من العائلات يَقُمْنَ بإعداد طعامٍ خاصٍّ (كالكُسْكُسِ باللَّحم أو الشَّخْشُوخَةِ أو غيرِها) ليلةَ عاشوراء سواءً صاموا أو لم يصوموا، فما حكم صُنْعِ هذا الطعام؟ وما حكم تلبيةِ الدعوةِ إليه؟

الجـواب:الحمدُ لله ربِّ العالمين، والصلاة والسلام على من أرسله اللهُ رحمةً للعالمين، وعلى آله وصحبه وإخوانه إلى يوم الدين، أمّا بعد

فَيَـوْمُ عاشوراء من بركات شهر الله المحرَّم وهو اليوم العاشرُ منه، وإضافة الشهر إلى الله تعالى تدلّ على شرفه وفضلِه؛ لأنّ الله تعالى لا يُضيف إليه إلاّ خواصَّ مخلوقاته، قال صلَّى اللهُ عليه وآله وسَلَّم: «أَفْضَلُ الصِّيَامِ بَعْدَ رَمَضَانَ شَهْرُ اللهِ المُحَرَّمِ»(١)، وحُرمة العاشِرِ منه قديمةٌ، وفضلُه عظيمٌ، ففيه أنجى اللهُ موسى عليه الصلاة والسلام وقومَه، وأغرق فرعونَ وجنودَه، فصامَهُ موسى عليه الصلاةُ والسلامُ شكرًا لله، وكانت قريشٌ في الجاهلية تصومُه، وكانت اليهودُ تصومُه كذلك، فقال لهم رسولُ اللهِ صَلَّى اللهُ عليه وآله وسَلَّم:«فَنَحْنُ أَحَقُّ وَأَوْلَى بِمُوسَى مِنْكُمْ»(٢)، فصامه رسولُ اللهِ صَلَّى اللهُ عليه وآله وسَلَّم وأَمَرَ بصيامِه، وكان صيامُه واجبًا على أقوى الأقوال وأرجحِها، ثمّ صار مستحبًّا بعد فرض صيام شهر رمضان، ويستحبُّ صومُ التاسعِ معه، مخالفةً لليهود في إفراد العاشر، وفضلُه العظيم تكفير السَّنَة الماضية، فهذا هو الثابت في السُّنَّة المطهّرة، ولا يُشرع في هذا اليوم شيءٌ غيرُ الصيام.

أمّا محدثاتُ الأمور التي ابتدعَتْهَا الرافضةُ(٣) من التعطّش والتحزّن ونحوِ ذلك من البدع، فاتخذوا هذا اليومَ مأتمًا، ومن قابلهم الناصبة(٤) بإظهار الفرح والسرور في هذا اليوم وتوسيع النفقات فيه، فلا أصلَ لهؤلاء وهؤلاء يمكن الاعتماد عليه، إلاّ أحاديث مُختلَقَة وُضعتْ كذبًا على النبي صَلَّى اللهُ عليه وآله وسَلَّم أو ضعيفة لا تقوى على النهوض.

وقد بيّن شيخ الإسلام ابن تيمية -رحمه الله- ذلك بقوله: «مِثْلُ ما أحدثه بعضُ أهلِ الأهواء في يوم عاشوراء، من التعطّش والتحزّن والتجمّع، وغيرِ ذلك من الأمور المحدثة التي لم يُشَرِّعْهَا اللهُ تعالى ولا رسولُه صَلَّى اللهُ عليه وآله وسَلَّم ولا أحدٌ من السلف ولا من أهلِ بيتِ رسولِ اللهِ صَلَّى اللهُ عليه وآله وسَلَّم ولا من غيرهم… وكانت هذه مُصيبةً عند المسلمين -أي: قتلَ الحسين رضي الله عنه- يجب أن تُتَلَقَّى بما تُتَلَقَّى به المصائب من الاسترجاع المشروع، فأحدثَتْ بعضُ أهل البدع في مثل هذا اليوم خلافَ ما أَمَرَ اللهُ به عند المصائب، وَضَمُّوا إلى ذلك الكذبَ والوقيعةَ في الصحابة البُرَآءِ من فتنة الحُسَين رضي الله عنه وغيرِها أمورًا أخرى ممَّا يكرهُهُ الله ورسوله.. وأمّا اتخاذ أمثال أيام المصائب مآتم فهذا ليس في دين المسلمين بل هو إلى دين الجاهلية أقرب» إلى أن قال -رحمه الله-: «وأحدثَتْ بعضُ الناس فيه أشياءَ مستنِدةً إلى أحاديثَ موضوعةٍ لا أصلَ لها مثلَ: فضلُ الاغتسالِ فيه، أو التكحّلُ، أو المصافحةُ، وهذه الأشياء ونحوُها من الأمور المبتدَعَة كلُّها مكروهةٌ، وإنما المستحبّ صومه.. والأشبه أنّ هذا الوضع لَمَّا ظهرت العصبية بين الناصبة والرافضة فإنّ هؤلاء اتخذوا يوم عاشوراء مأتمًا، فوضع أولئك فيه آثارًا تقتضي التوسّع فيه واتخاذه عيدًا، وكلاهما باطل»(٥

وإذا عُلم اقتصار مشروعيةِ هذا اليوم في الصيام فقط فلا يجوز تلبيةُ دعوة من اتخذه مأتمًا، ولا من اتخذه عيدًا؛ لأنه لا يجوز لأحد أن يغيّرَ من شريعة الله شيئًا لأجل أحدٍ أو يزيدَ عليها ويستدركَ.

والعلمُ عند الله تعالى، وآخر دعوانا أنِ الحمد لله ربِّ العالمين، وصلى الله على نبيّنا محمّد وعلى آله وصحبه وإخوانه إلى يوم الدين، وسلّم تسليمًا

(١) أخرجه مسلم في «الصيام»: (٢٧٥٥)، وأبو داود في «الصوم»: (٢٤٢٩)، والترمذي في «الصلاة»: (٤٣٨)، والنسائي في «قيام الليل»: (١٦١٣)، وابن ماجه في «الصيام»: (١٧٤٢)، وأحمد: (٨١٥٨)، من حديث أبي هريرة رضي الله عنه.

(٢) أخرجه البخاري في «الصوم»: (٢٠٠٤)، ومسلم في «الصيام»: (٢٦٥٦) أبو داود في «الصيام»: (٢٤٤٤)، وابن ماجه في «الصيام»: (١٧٣٤) الحميدي في «مسنده»: (٥٤٣)، من حديث ابن عباس رضي الله عنهما.

(٣) الرافضة: فرقة من الشيعة الكبرى، بايعوا زيد بن علي ثمّ قالوا له: تبرّأ من الشيخين (أبي بكر وعمر رضي الله عنهما) فأبى فتركوه ورفضوه، أي: قاطعوه وخرجوا من بيعته، ومن أصولهم: الإمامة، والعصمة، والمهدية، والتقية، وسب الصحابة وغيرها.

(٤) الناصبة: هم الذين يبغضون عليًّا وأصحابه، انظر: «مجموع الفتاوى»: (٢٥/ ٣٠١)

(٥) «اقتضاء الصراط المستقيم» لابن تيمية: (٢/ ١٢٩-١٣٣)

الفتوى رقم: ٥٩٢

الصنف: فتاوى الأشربة والأطعمة - الأطعمة

الجزائر في ١٦ محرم ١٤٢٨ﻫ

الموافق ﻟ: ٤ فبراير ٢٠٠٧م

 

Cheikh Abou Abdil-Mou'iz Mouhammad 'Ali Farkouss - الشيخ أبي عبد المعزّ محمد علي فركوس

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Avertissement contre la secte des barelwis (dossier)

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

Mausolé de Ahmad Raza Khan (1856-1921) fondateur du barelwi

Mausolé de Ahmad Raza Khan (1856-1921) fondateur du barelwi

Quelques exposition de leurs croyances, rituels, fitna et mensonges

 

-Introduction 

 

Le Barelvi est une secte déviante, fondée par un Ahmad Raza Khan à Bareilly, Inde.

 

Son fondateur est né en 1856 et décédé en1921.

 

Niqa Ali Khan était le nom de son père et son grand-père s'appelait Raza Ali Khan (Résumé Ulama-e-Hind, vol. 1, p. 1).

 

Le Barelvi, Ahmad Raza Khan se faisait appeller Amman Miyan par sa mère alors que son père l'appellait Ahmad Miyan.

 

C'est son grand-père qui l'appelait Ahmad Raza (voir le livre : Al-Bareilawi, p. 25, par Naseem al-Bastawi).

 

Il aimait aucun de ces noms et se faisait appeler personnellement Abdal Mustafa (voir : Man huwa Ahmad Rida, par Shaja'at Ali al-Qadiri, p. 15).

 

La plupart préférait l’appeler : A'la Hadrat (son Altesse estimé) !

 

Ils prétendent être le seul vrai Ahl-e-Sunnat wal Jamaat (sunnite) dans l'ensemble du sous-continent indien et les représentants du Madhhab Hanafi dans la jurisprudence islamique (fiqh).

 

En réalité on ne pouvez pas manquer de voir l'opposé à plusieurs reprises.

 

Une démonstration complète vous montrera avec des citations directes et des exemples tirés de leurs propres œuvres et comment leur secte est en opposition directe avec le Madhhab qu'ils prétendent suivre. 

 

-Le takfeer par Ahmad Raza Khan 

 

L'auteur de Hayat Ala hadrat (p. 211) connu sous le nom : Zafar al-Din Bihari, a déclaré: "il avait le coeur dur et était insensible face à ses adversaires. Il ne se conformait pas à l'application de la charia" .

 

Le Barelvi était si sévère que même certains de ses disciples lui a laissé.

 

L'un d'eux était Muhammad Yasin, fondateur et gérant d'une Madrasa appelée Isha'at al-Ouloum.

 

Il se sépara de la Barelvi après un certain temps.

 

Le père de Yasin a été impliqué avec une Madrasa à Bareilly, en Inde, sous le nom de Misbah al-Tahdhib et il lui-même a coupé contact avec le Barelvisme en raison de leur insensibilité, insolence et déclarant les érudits musulmans comme des mécréants - on parle alors de takfir

(voir Hayat ala Hadrat, p. 211). 

 

-Ahmad Raza Khan, l'être soit disant infaillible

 

Les adeptes de Ahmad Raza Khan lui ont attribués infaillible de toute erreur et ceci à l'image du prophète Mohammad Aleyhi Salat Wa Salam !

 

L'un d'entre eux a dit: " la plume d'Ahmad Raza Khan et sa langue étaient immunisées contre tout glissement (erreur involontaire), même d'un point..."

  (Voir de Sharaf de Abdal Hakim, Yadi Ala Hadrat, p. 32). 

 

Un autre fanatique Barelvi a dit : "le Barelvi prononce un mot de sa langue contraire à la charia. Allah les protégeant quand même de toute déchéance!!"

(Introduction à la Fatawa Ridwiyya, 2/5, par Mohammed Asghar). 

 

Une autre personne du nom de Anwar Rida a dit dans son livre Majmuah maqalat al-Barelviya (p. 223): « depuis son enfance Ahmad Rida a été protégé de tout mal et erreur, et la suivi du droit chemin était enracinée dans sa nature!" 

 

A la page 271, il a affirmé : « Allah protége son stylo et sa langue de l'erreur! »

 

Il est allé encore plus loin, p. 270, en disant: « Ala Hadrat (Ahmad Rida Khan, le Barelvi, était entre les mains d'alGhawth al-Azam (Abdal Qadir al-Jilani) comme un stylo dans la main des écrivains et al-Ghawth al-Azam était dans la main du Prophète Aleyhi Salat Wa salam comme un stylo dans la main de l'écrivain et le Prophète ne parle pas de sa propre passion en présence d'Allah. » 

 

-Son manque de respect vers Allah

 

Il a réfuté les adeptes de la secte Deobandi en disant dans un langage absurde et incultes : "une femme est capable d'avoir commis la fornication. Selon l'avis de votre chef et professeur (déobandi), il est nécessaire que votre Dieu doit être capable d'avoir commis la fornication - sinon les prostituées des frères de la Deobandiya auraient rit de lui et dit: « Comment pouvez-vous prétendre être une divinité ? Vous n'êtes pas capable de faire ce que nous pouvons encore faire? » Cela implique naturellement que votre Dieu doit posséder une organe sexuel féminin - dans le cas contraire où seront les rapports sexuels? »

(Subhan al-Subbuh. P. 142). 

 

-Un étrange observateur 

 

Dans le livre Malfuzat of Ala Hazrat, vol 3, P.58, Ahmad Raza Khan dit : "J'ai vu de moi-même dans le village une fille qui avait 18 ou 20 ans et sa mère était faible mais elle n'avait toujours pas arrêté d'allaiter sa fille. Sa mère était faible, mais la fille a quand même forcée sa mère à se mettre à terre, elle s'est aggripée à la poitrine de sa mère malade pour pouvoir s'allaiter de son sein"

fin de citation. 

 

Notez bien comment Ahmad Raza Khan Barelwi a pu voir entièrement la situation, il a pu voir la fille, la mère et les parties intimes de celle-ci sans aucune gêne, et il l'enseigne aux gens. 

 

-Citation rapide des mensonges de Ahmad Raza Khan et ses adeptes Barelwis

 

Ahmad Raza Khan Barelvi dit dans son livre (Malfuzat) dans le volume 1 à la page 113 et 114 " que si les Saints (awliya) le désirent, ils peuvent être à 10 000 villes en une seul fois et ils peuvent accepter 10 000 invitations en même temps" Fin de citation. 

 

Dans son malfuzat de Zarqani, Ahmad Raza Khan cite que les épouses du Prophète, après sa mort, sont présentées à lui dans sa tombe et il a passé la nuit avec elles. Ahmad Raza Khan dit, a propos de la vie actuelle du prophète aleyhi salat wa salam , qu'il mange, boit, prie dans sa tombe.

 

Il dit également que les femmes du prophète n'ont pas de période de 'iddah.

 

Voir la page qui suit : 

les-femmes-du-prophete-n-ont-pas-de-periode-de--iddah.jpg

 

Ahmad Raza Khan cite que le disciple (mureed) ne se sépare jamais de son maître (sheykh) même lorsque l'un des deux doit avoir un rapport sexuel avec sa femme.

 

Voir la page qui suit : 

 

le disciple (mureed) ne se sépare jamais de son maître

 

Dans le volume 1, page 31, Il dit que les Awliya ont la connaissance de l'invisible et de toute chose. Voir les mensonges sur le scan de la page suivante : 

 

les-Awliya-ont-la-connaissance-de-l-invisible-et-de-toute-c.jpg

 

Le Mufti de Barelwis, qu'ils qualifient de Mufti - e-Azam Mohammad Akhtar Raza Khan Qadiri Azhari explique quelques égarement de leur fausse croyance. 

 

La connection entre les Awliya (Saints) et Walayat (sainteté): 

 

« une personne n'est pas un parfait Wali (Saint) jusqu'à ce qu'il développe la faculté de la vue « Rayon X » permettant à lui de voir réellement les parties génitales de la femelle dont l'utérus. »

(Najmur Rahman, p. 104-106) 

 

"les Awliya (Saints) sont toujours aux côtés de leurs disciples(spirituellement) et sont toujours présent même lorsque leur disciple sont engagé dans un acte sexuel."

(Malfoozat-e-a ' la Hadrat, p. 56) 

 

Mohammad Akhtar Raza Khan Qadiri Azhari a mentionné que Ala Hadrat a prouvé dans son ouvrage « Ad-Daulatul-Makkiyah », qu'Allah celui qu'il aime, la connaissance des cinq entités (eUloom-Khamsa) qui sont: 

 

1. La connaissance de quand sera le jour du jugement, 

2. Connaître ce que la femme porte dans son ventre (fille ou garçon), 

3. Ce qu'un homme gagnera le lendemain 

4. Quand et où on va mourir 

5. Quand il va pleuvoir 

Réfutation

 

-La définition de l’invisible ( al-ghayb)

 

L’invisible est tout ce qui est imperceptible à l’être humain comme événements du futur ou du passé.

 

Il s’agit également de ce que les gens ne voient pas.

 

Allah s’est approprié l’exclusivité de cette connaissance.

 

Allah le Très-haut dit :

 

« Nul de ceux qui sont dans les cieux et sur la terre ne connaît l'Inconnaissable, à part Allah. » (Sourate 27 verset 65) 

 

Donc, Allah le Très-haut est le Seul à connaître l’invisible.

 

Il peut cependant en dévoiler ce qu’Il veut à Ses messagers pour une sagesse et un intérêt (connu de lui). Allah le Très-haut dit :

 

« C'est Lui qui connaît le mystère. Il ne dévoile Son mystère à personne. Sauf à celui qu’Il agrée comme Messager » (Sourate 72 verset 26-27) 

 

En d’autres termes, n’a connaissance d’une partie de l’invisible que celui qu’Allah a choisi pour porter Son message.

 

Il lui dévoile alors ce qu’Il veut de l’invisible.

 

Cela, car le messager est appelé à approuver l’authenticité de sa prophétie en accomplissant des miracles, dont le fait de donner des informations relatives à l’invisible qu’Allah le Très-haut dévoile.

 

Cela concerne le messager angélique ou humain et personne d’autre, le verset s’étant limité à eux. 

 

Par conséquent, quiconque, en dehors de ceux dont Allah le Très-haut a fait exception parmi Ses messagers, prétend la connaissance de l’invisible, par quelque moyen que ce soit par une lecture dans la paume de la main ou dans une tasse ou par la divination, la pratique de la sorcellerie, l’astrologie et autres, est un menteur et un mécréant. 

 

C’est le cas de certains charlatans et imposteurs qui donnent des informations à propos de l’endroit de choses perdues ou cachées, ou les causes de certaines maladies en disant : « telle personne t’a fait telle et telle chose. Ainsi, tu es devenu malade ».

 

Ces informations leur sont en réalité parvenues par l’intermédiaire des djinns et des démons.

 

Ils montrent aux gens qu’ils savent ces choses grâce aux pratiques citées ci-dessus, par ruse et tromperie. 

 

Cheikh al-Islam ibn Taymiya (qu’Allah lui accorde sa miséricorde) dit :

 

« Le devin a un compagnon parmi les démons qui l’informe de nombreuses choses de l’invisible qu’il parvient à dérober en tendant l’oreille. De plus, ils mélangent le mensonge à la vérité. » 

Jusqu’à ce qu’il dise : « Il en est parmi eux (les devins) à qui le diable apporte des fruits, des gâteaux et d’autres choses qui ne se trouvent pas dans cet endroit. D’autres parmi eux volent au moyen d’un djinn pour se rendre à la Mecque, à Jérusalem ou ailleurs ». 

 

[Source majmou‘at al-Tawhid page 797-801]

Compilé par Ibn Nasir Al-Bâkistanî - Avril 2013

 Publié par 3ilmchar3i.net

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L'échelonnement dans l'égarement

Publié le par 3ilm char3i-La science legiferee

L'échelonnement dans l'égarement

Il a été rapporté d’après Wahb ibn Munabbih qu’il a dit:

 

«Jadis vivait parmi les fils d’Israël un dévot, il était le plus grand adorateur d’Allah parmi les gens de sa génération.

 

A cette époque, il y avait trois frères et une sœur, elle est leur unique sœur et leur cadette.

 

Les trois frères décidèrent de partir en voyage, mais ils ne savaient pas qui pourraient les suppléer auprès d’elle, ni à qui faire confiance à son endroit, ni qui pourrait l’héberger.


Ils s’accordèrent à la laisser chez le dévot des fils d’Israël - il était à leurs yeux l’homme le plus digne de confiance-.

 

Ils allèrent le voir et le prièrent de la laisser chez lui et qu’elle reste près de lui et sous sa protection jusqu’à ce qu’ils reviennent de leur expédition (militaire).

 

Mais il refusa et demanda à Allah de le protéger contre eux et la sœur.

 

Ils insistèrent dans leur demande jusqu’à ce qu’il accepta.

 

Il leur dit: «Mettez-la dans une chambre en bas de ma tour».

 

Ils la laissèrent dans la chambre et s’en allèrent.

 

Elle resta dans le voisinage du dévot pendant un certain temps.

 

Il descendait de sa tour chez elle que pour lui apporter le repas, ainsi il lui faisait signe de sa présence, elle sortait de sa chambre, prenait le repas posé à une certaine distance de la porte, tandis que lui était déjà remonté dans sa tour.

 

Or Satan, l’aborda avec douceur, il ne cessa de lui faire désirer le bien en lui suggérant que c’est une énormité que de laisser une jeune fille sortir de sa chambre en plein jour et en lui montrant les risques qu’il encourrait si jamais quelqu’un la voyait et tombait amoureux d’elle, «Que napporte-tu son repas jusqu’à le mettre au seuil de la porte de sa chambre, lui proposa -t-il, Allah t’en récompensera largement!».

 

Il ne cessa de l’en persuader jusqu’à ce qu’il s’avança avec son repas et le mit au seuil de sa porte, sans toutefois lui parler.

 

Il procédait ainsi pendant une bonne période.

 

Puis vint Satan (après une période d’absence), il lui fit désirer le bien et l’incita à le faire, ensuite il dit: «Il serait mieux que tu fasses quelques pas de plus avec son repas jusqu’à le mettre dans sa chambre. Tu en seras grandement récompensé».

 

Il ne cessa de lui suggérer ceci jusqu’à ce qu’il finit par s’exécuter.

 

Il répétait la même opération pendant une bonne période.

 

Puis, vint Satan il lui fit désirer le bien et l’encouragea à le faire, puis il lui dit: «Pourquoi ne parle-tu pas avec elle , elle trouvera certainement du réconfort dans tes discours, elle doit être très attristée et ennuyée d’être seule?»

 

Il ne cessa de lui chuchoter ceci jusqu’à ce qu’il lui parla. Ceci dura une bonne période pendant laquelle il lui parlait du haut de sa tour.

 

Puis vint Satan après cela et lui dit: «pourquoi ne descends-tu pas auprès delle, tu tassois près de la porte de ta tour et tu lui parles et elle, de son côté, sassoit près de la porte de sa chambre pour te parler? Ceci la réconfortera davantage».

 

Il ne cessa de lui suggérer ceci jusqu’à le faire descendre et asseoir près de la porte de sa tour, la jeune fille fît de même.

 

Ils s’entretenaient de cette manière pendant une bonne période.

 

Puis vint Satan, il lui fit désirer le bien et la récompense divine qui l’attend pour ce qu’il fait pour elle et lui dit: «Quest-ce qui tempêche de descendre de ta tour et de venir tasseoir près de sa porte pour causer avec elle, ceci la réconfortera encore mieux».

 

Il insista jusqu’à ce qu’il finit par s’exécuter.

 

Ceci dura une certaine période.

 

Puis vint Satan -Qu’ Allah le maudisse- qui lui fit désirer le bien et lui exposer ce qu’il aura auprès d’ Allah le Très- Haut comme récompense pour ce qu’il fait pour elle , puis il lui dit: «Que ne tapproches -tu pas et t’assois-tu pas au seuil de sa porte pour causer avec elle sans qu’elle ne se donne la peine de sortir?».

 

Il acquiesça.

 

Ainsi il descendait de sa tour et s’entretenait avec elle de la sorte pendant une bonne période.

 

Puis vint Satan pour lui dire: «Il serait mieux pour toi dentrer dans sa chambre pour causer avec elle tranquillement, au lieu de la laisser dévoiler son visage à un étranger».

 

Sous l’incessante investigation Satan, il finit par entrer dans sa chambre.

 

De cette façon il s’entretenait familièrement avec elle toute la journée et, à la tombée de la nuit, il remontait à sa tour.

 

Vint Satan après cela, il ne cessa de la parer à ses yeux jusqu’à ce qu’il toucha sa cuisse et l’embrassa.

 

Il continua à la rendre belle à ses yeux et l’attirer vers elle au point qu’il commit le péché avec elle .

 

Il tomba amoureux d’elle et elle eut un garçon de lui.

 

Vint ensuite Satan et lui dit: «Vois-tu si ses frères reviennent alors quelle a eu un garçon de toi, que feras-tu? Ils te couvriront de honte devant tout le monde. Empresse-toi d’égorger son garçon et enterre-le. Je pense qu’elle gardera le secret de peur que ses frères ne soient au courant de ce que tu as fait d’elle».

 

Ce qu’il fit. Désemparé, le dévot lui dit : «Pense-tu quelle taira à ses frères ce que j’ai fait d’elle et de son garçon ?», «Tue-la et enterre-la avec son fils, lui suggéra Satan».

 

Sous son incessante instigation, il finit par l’égorger et la jeter dans une fosse avec son fils, mit dessus une grosse pierre et ramena tout à ras du sol, puis regagna sa tour pour s’y consacrer à l’adoration.

 

Il demeura ainsi le temps qu’Allah a voulu qu’il demeure.

 

Revinrent ensuite ses frères de l’expédition, s’enquirent auprès de lui de ses nouvelles, il leur informa de sa mort, implora pour elle la miséricorde d’Allah et la pleura en disant : «Elle était vraiment une femme exemplaire. Voici sa tombe si vous voulez lui rendre visite».

 

Ses frères se recueillirent auprès de sa tombe, la pleurèrent, implorèrent la miséricorde d’Allah pour elle, s’installèrent auprès d’elle quelques jours, puis regagnèrent leur familles.

 

Quand la nuit tomba et qu’ils se mirent au lit, Satan leur vint dans le sommeil ne revêtant l’apparence d’un voyageur.

 

Il commença par leur aîné et l’interrogea au sujet de sa sœur, il lui répéta ce que lui a raconté le dévot, à savoir sa mort, son imploration de la miséricorde d’Allah pour elle et sa désignation de l’endroit où elle a été enterrée, mais Satan le démentit; il lui dit: «Il ne vous a pas dit la vérité concernant votre sœur, mais il l’a rendu enceinte, elle a accouché d’un garçon, ensuite il les a tués tous les deux parce qu’il avait peur de vous et il les a jetés dans une fosse qu’il a creusée derrière la porte de la chambre où elle logeait et vous les trouverez tous les deux exactement comme je vous ai indiqué».

 

Il se présenta au second frère dans son sommeil et lui raconta la même chose.

 

Idem pour le cadet.

 

Quand les trois frères se réveillèrent, ils furent étonnés de ce qu’ils ont vu la nuit.

 

Chacun d’eux vint dire qu’il a vu en rêve une chose étonnant et se firent part de ce qu’ils ont vu.

 

Leur frère aîné a dit: «cest juste un rêve, allons- nous en et oublions cela».,mais leur cadet protesta: «Par Allah , je ne partirai nulle part avant daller à cet endroit et vérifier tout cela!».

 

Ils se rendirent à la chambre où était logée leur sœur, ouvrirent la porte, fouillèrent l’endroit indiqué dans leur rêve et trouvèrent leur sœur et son garçon égorgés dans la fosse.

 

Ils interrogèrent le dévot qui avéra les dires de Satan concernant ce qu’il a fait des deux.

 

Ils déférèrent affaire au roi, le dévot fut descendu de sa tour pour être crucifié.

 

Quand ils le ligotèrent contre le bois, Satan vint lui dire : «Tu sais bien que cest moi ton compagnon qui ta tenté par cette femme jusqu’à ce que tu l’aies rendue enceinte et que tu les aies égorgés, elle et son garçon. Mais si tu m’obéis aujourd’hui et tu dénies Allah qui t’a créé et façonné, je te délivrerai de la situation où tu te trouves».

 

Effectivement, le dévot dénia Allah.

 

Or quand il eut dénié Allah le Très-Haut, Satan laissa le champ libre aux exécuteurs qui le crucifièrent.

 

Talbîs Iblîs p45

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