بدعة قراءة القُرآن جماعةً (dossier)

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بدعة قراءة القُرآن جماعةً (dossier)

Cheikh Mouhammad Taqî Ud-Dîn Salim Al-Hilâlî Al Maghribi - الشيخ محمد تقي الدين الهلالي

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Celui qui meurt en étant alcoolique...

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Celui qui meurt en étant alcoolique...

D'après 'Abdallah Ibn 'Abbas (qu'Allah les agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et son salut soient sur lui) a dit :

 

«Celui qui meurt en étant alcoolique rencontre Allah comme un adorateur d'idoles».

(Rapporté par Ahmed et authentifié par Cheikh Albani dans la Silsila Sahiha n°677)

 

Et dans une autre version :

 

«Celui qui boit de l'alcool est comme un adorateur d'idole, celui qui boit de l'alcool est comme celui qui adore Al Lat et Al 'Ouza (*)».

(Rapporté Al Harith par et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Al Jami n°3701)

 

(*) Al Lat et Al 'Ouza sont deux idoles qui étaient adorées par les arabes avant l'Islam.

 

L'Imam Ibn Hibban (mort en 354) a expliqué que le sens de ces ahadiths est que celui qui rencontre Allah en étant alcoolique et qui a la croyance que l'alcool est autorisé rencontre Allah comme un adorateur d'idole car ces deux personnes sont égales dans le fait qu'elles sont mécréantes.

(Voir Silsila Sahiha vol 2 p 289)

 

عن عبدالله ابن عباس رضي الله عنهما قال رسول الله صلى الله عليه وسلم

من مات مدمن خمر لقي الله كعابد وثن

(رواه أحمد و حسنه الشيخ الألباني في السلسلة الصحيحة رقم ٦٧٧)

و في رواية

شارب الخمر كعابد وثن و شارب الخمر كعابد اللات و العزى

(رواه الحارث و صححه الشيخ الألباني في صحيح الجامع رقم ٣٧٠١)

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Les diplômes peuvent être obtenus par les plus ignorants parmi les gens (audio)

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Les diplômes peuvent être obtenus par les plus ignorants parmi les gens (audio)

Question :

 

Votre excellence, qu'Allâh vous assiste.

 

Est-il suffisant pour celui qui veut apprendre aux gens les affaires de leur religion de détenir un diplôme universitaire, ou bien faut-il avoir des recommandations de la part des savants ?

 

Réponse :

 

Il faut avoir de la science, ce n'est pas tout porteur de diplôme qui devient savant;

 

Il faut détenir de la science et du fiqh dans la religion d'Allâh, et le diplôme n'est pas une preuve sur la science (possédée).

 

Il peut être détenu par les plus ignorants parmi les gens, et ça se peut qu'il ne possède pas de diplôme et qu'il soit des plus savants parmi les gens.

 

Est-ce que Cheikh Ibn Baz détenait un diplôme ?

Est-ce que Cheikh Ibn Ibrahim, Cheikh Ibn Hmid détenaient des diplômes ?

 

Et malgré cela, ils sont les imams de notre époque.

 

Donc en parlant sur l'existence de la science et du fiqh chez une personne, ce n'est pas en fonction de ses diplômes ni de ses recommandations, ceci n'est pas considéré ; Mais c'est plutôt le vécu qui dévoile la personne : lorsqu'une affaire ou une calamité arrive cela distingue le savant du pseudo-savant et de l'ignorant.

 

Oui.

 

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Cheikh Salih Bin Fawzan Bin 'Abdillah Al Fawzan - الشيخ صالح بن فوزان الفوزان

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Il se peut que ce soit ton dernier ramadan... (audio)

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Il se peut que ce soit ton dernier ramadan... (audio)

Voici un audio arabe/français du Shaykh Sâlih Al-Fawzân  dans lequel il délivre des précieux conseils concernant le mois béni de Ramadhân et comment nous devons le passer, à ces belles paroles du shaykh Sâlih nous avons rajouté par la grâce d'Allah quelques points bénéfiques tirés des cours du Shaykh 'Abdir-Razzâq qu'Allah les préserve tous deux ainsi que l'ensemble des savants de la sunnah.

 

Adapté pour l'audio et complété par votre frère Abu-Maryam (qu'Allah lui pardonne et le guide)

Récitation coranique de Khaleefa at-Tunaijî

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Ramadan approche Ô doués d’intelligence - رمـضانُ أقـبلَ (vidéo)

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Ramadan approche Ô doués d’intelligence - رمـضانُ أقـبلَ (vidéo)

 رمـضانُ أقـبلَ يا أُولي الألبابِ

فاستَـقْـبلوه بعدَ طولِ غيـابِ

Ramadan est venu, ô doués d’intelligence,

Accueillez-donc après sa longue absence,

 

عـامٌ مضى من عمْرِنا في غفْلةٍ

فَتَـنَبَّهـوا فالعمرُ ظـلُّ سَحابِ

Une année de notre vie est passée alors que nous étions dans l'insouciance,

Soyez attentif ! Car la vie est tel l'ombre d'un nuage (furtive),

 

وتَهـيّؤوا لِـتَصَـبُّرٍ ومـشـقَّةٍ

فأجـورُ من صَبَروا بغير حسابِ

Et préparez-vous [à faire preuve de] patience et [à endurer la] difficulté,

Car les rétributions prévues pour ceux qui [font preuve de] patience sont sans compter,

 

اللهُ يَجزي الصائـميـنَ لأنـهم

مِنْ أَجلِـهِ سَخِـروا بكلِّ صعابِ

Allah récompense ceux qui jeûnent car,

Pour Lui, ils ont méprisés toutes les difficultés,

 

لا يَدخـلُ الـريَّـانَ إلا صائـمٌ

أَكْرِمْ بـبابِ الصْـومِ في الأبوابِ

Nul ne peut entrer par la porte dite Ar-Rayan si ce n’est le jeûneur,

Quelle Noble porte est en effet celle du jeûneur parmi les autres portes!

 

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Invocations du matin et du soir en arabe avec harakât - أذكار الصباح والمساء (dossier)

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Invocations du matin et du soir en arabe avec harakât - أذكار الصباح والمساء (dossier)

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Cheikh Muhammad Sa’îd Raslân - الشيخ محمد سعيد رسلان

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Cesser de manger avant le temps de la prière (al-imsâk) par précaution

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Cesser de manger avant le temps de la prière (al-imsâk) par précaution

Question :

 

Cesser de manger avant le temps de la prière [al-Imsâk] par précaution ?

 

Réponse de Cheikh Ibn Bâz :

 

Je ne sais pas si cela est soutenu par des fondements.

 

Plutôt ce qui est indiqué par leQor’ân et la Sounnah, est que nous devrions cesser de manger et boire à l’apparition del’aube, parce qu’Allâh dit (traduction rapprochée) :

 

«Mangez et buvez jusqu’à ce que se distingue, pour vous, le fil blanc de l’aube dufil noir de la nuit» [Coran, 2/187]

 

Et le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) a dit :

 

«L’aube est de deux sortes : une aube ou il devient interdit de manger et ou la prière est permise, et une aube ou vous ne devez pas prier [la prière du Fajr] et ou il est permis demanger.»

Rapporté par Ibn Khuzaymah et al-Hâkim qui l’ont classé comme sahîh [authentique] dans «Bouloûgh al-Marâm».

 

Et le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) dit :

 

«Bilâl appelle à la prière pendant la nuit, mangez et buvez jusqu’à ce que vous entendiez l’appel d'Ibn Um Maktoûm parce qu’il n’appelle qu’à l’apparition de l’aube [touloû al-fajr] »

Le narrateur a dit :

Ibn Umm Maktoûm était un homme aveugle qui n’appelait pas à la prière jusqu’à cequ’une personne vienne lui dire : « Le matin est venu, le matin est venu !»

Unanimement reconnus authentique.

 

Madjmu’ Fatâwa du SHeikh Ibn BâZ, vol-15 p.281

Les Savants de « al-Lajnah ad-Dâ-ima » ont dit :

 

Le principe de base [al-Ussûl] quant au fait de cesser [Imsâk] pour le Jeûneur [de mangeret boire], et celui de rompre le Jeûne, est tel que ce qu’Allâh a dit (traduction rapprochée) :

 

« Mangez et buvez jusqu’à ce que se distingue, pour vous, le fil blanc de l’aube dufil noir de la nuit » [Coran, 2/187]

 

Il est permis de manger et boire jusqu’à l’apparition de l’aube, qui est le fil blanc de lumièrequ’Allâh a fait le temps le plus tardif [pour ce qui est de la permission de boire et demanger].

 

Quant à la deuxième apparition de l’aube, il est interdit de manger, boire et de faire ce quiinterrompe le jeûne.

 

Quiconque boit à l’entente du Adhân pour le Fajr, et que le Adhânvient après la deuxième aube, il doit alors compenser ce jour, mais si c’était avant l’aube, ilne doit pas le compenser. 

 

Fatâwa Al-Lajnah Ad-Dâ-ima lil-Bouhouth Al-’Ilmiyyah wal-Iftâ, vol-10 p.284

 

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Cheikh 'Abdel-'Azîz Ibn 'Abdi-llâh Ibn Bâz - الشيخ عبدالعزيز بن عبدالله بن باز

Comité permanent [des savants] de l'Ifta - اللجنة الدائمة للبحوث العلمية والإفتاء

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La femme musulmane tant convoitée

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La femme musulmane tant convoitée

Celui qui observe la situation de la femme musulmane telle qu’elle est exposée dans les enseignements de l’Islâm, en déduira une chose énorme quant au fait que l’Islâm préserve la femme des griffes de l’immoralité et la libère du marais de la perversion.

 

En effet, sous la protection de l’Islâm, elle mène une vie de pureté, de chasteté, de protection, de pudeur, d’invulnérabilité, de noblesse, grâce à une éducation élevée, une moralité remarquable, et une grande pudeur, loin des railleries des loups et des pervers.

 

Celui qui réfléchit sur la situation de la femme de l’époque antéislamique, et l’évolution organisée par l’apparition de l’Islâm, ne peut être que frappé par cette réalité.

 

[…]

 

Certes,

 

« la femme [d’avant l’Islâm] s’achetait et se vendait comme les bestiaux et les provisions ; elle était contrainte au mariage et à la prostitution ; on héritait d’elle mais elle n’héritait pas ; elle était dirigée et elle ne dirigeait pas.

La plupart de ceux qui la détenaient lui interdisaient de disposer de ses biens sans la permission de l’homme dont elle dépendait.

Le mari avait le droit de disposer de sa richesse sans son accord.

Dans certains pays, les gens avaient divergé sur le fait de savoir si [la femme] était un être humain ayant une âme et un esprit perpétuel comme l’homme ou non ?

Si elle devait apprendre la religion, si ses actes d’adoration pouvaient être acceptés ?

Pouvait-elle aller ou non au Paradis ou dans l’au-delà ?

Une assemblée tenue à Rome décida que la femme était un animal impur n’ayant ni esprit et ni éternité ; mais qu’elle devait pratiquer les actes d’adoration et travailler, museler sa bouche comme on le fait avec le chameau et le chien mordant pour l’empêcher de rire et de parler, parce qu’elle est l’instrument du diable.

La plupart des législations permettaient au père de vendre sa fille.

Certains Arabes considéraient que le père avait le droit de tuer sa fille, pire que cela, ils voyaient qu’il avait également le droit de l’ensevelir vivante.

Parmi eux, il y en avait qui considéraient qu’il n’y avait pas lieu d’appliquer la loi du talion à l’endroit de l’homme qui tuait une femme, ni de prix de sang à verser. » [1]

 

Et d’autres choses que celles-là pourraient être citées comme injustice et persécution que la femme pouvait subir et endurer.

 

De nos jours encore, la femme – vivant en dehors de l’ombre [protectrice] de l’islâm – souffre toujours d’une servitude barbare, à tel point que certaines femmes non musulmanes en viennent à vouloir bénéficier du même traitement que la femme musulmane.

 

Voici ce que disait la célèbre journaliste Maxe Atrode [2] :

 

« Il vaut mieux que nos filles travaillent dans les maisons comme domestiques plutôt qu’à l’usine où il n’est pas rare d’attraper la tuberculose qui emporte la beauté de sa vie à jamais.

Si seulement nos pays pouvaient être comme les pays musulmans !

Y règnent la pudeur, la chasteté et la pureté ; la domestique et l’esclave jouissent d’une vie confortable et sont traitées comme les enfants de la maison, il n’y a pas d’attentat à la pudeur.

Certes, c’est un déshonneur pour l’Angleterre de faire de nos filles des modèles de perversion à cause de la généralisation de la mixité.

Pourquoi ne cherchons-nous pas à faire travailler les jeunes filles dans un cadre conforme à leur nature, en les maintenant à la maison et en laissant le travail des hommes aux hommes afin de sauver leur honneur ? »

 

La journaliste Lady Cook écrit dans la gazette « Alico » [3] :

 

« La mixité est désirée par les hommes, c’est ce qui fait que la femme aspire à ce qui est contraire à sa nature.

Et plus la mixité est répandue, plus il y a d’enfants adultérins.

C’est une énorme épreuve pour la femme : en effet, l’homme qu’elle a aimé la laisse s’enliser seule dans la misère et la souffrance et goûter à l’animosité de l’humiliation, du déshonneur et de l’oppression, plus encore, la mort.

Elle s’enfonce dans la misère, car la grossesse, avec ses multiples désagréments et malaises, diminue ses forces à la recherche de ses subsistances, et cela dans la souffrance, car elle est dans l’épreuve et ne sait plus que faire de sa propre personne.

Elle connaît l’humiliation et le déshonneur : quel déshonneur peut-il y avoir au-delà de cela -

Quant à la mort, dans de nombreux cas, ces femmes ont recours au suicide ou par d’autres choses que cela.

 

De toutes ces choses, l’homme n’en souffre pas. Bien au-delà de tous cela, c’est la femme qui est tenue pour responsable et c’est elle qui en subit les effets, alors que les causes de la mixité proviennent des hommes.

N’est-il pas temps que nous cherchions à décharger – pour ne pas dire éradiquer – ces malheurs qui déshonorent la civilisation occidentale ?

N’est-il pas temps que nous prenions des mesures pour empêcher la mort de milliers et de milliers d’enfants qui n’ont pas de péché, bien au contraire, les péchés procèdent de l’homme qui séduit la femme sensible par nature, et lui fait croire toutes sortes de choses avant de l’abandonner au dur châtiment dès qu’il arrive à ses fins… »

 

C’est ainsi que la femme subit une succession de formes de souffrance, de dommages et d’oppressions, et endure une souffrance énorme, elle qui ne souhaite qu’une chose, être libérée de tout cela pour mener une vie normale et harmonieuse, conforme à sa nature, sa constitution physique et ce à quoi elle est disposée.

 

L’Islâm reste l’unique sauveur de la femme, qui lui assure la gloire, la sérénité et la quiétude. 

 

[1] Citer par Muhammad Rachîd Ridhâ dans « Houqoûq an-Nissâ fîl-Islâm » p.6

[2] Citer par Muhammad Rachîd Ridhâ dans « Houqoûq an-Nissâ fîl-Islâm » p.76

[3] Citer par Muhammad Rachîd Ridhâ dans « Houqoûq an-Nissâ fîl-Islâm » p.77-78

 

Al-Djâmi’ li-Bouhouth war-Rassâ-îl du SHeikh ‘Abder-Râzq Ibn ‘Abdel-Mouhsin al-Badr, p.537-540

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Cheikh 'Abder Razzâq Al 'Abbâd Al Badr - الشيخ عبد الرزاق بن عبد المحسن العباد البدر

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L’intérêt dans la connaissance du Tawhîd

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L’intérêt dans la connaissance du Tawhîd

Certaines personnes se donnent à une étude profonde du Tawhîd, alors que d’autres considèrent que les gens sont monothéistes à la base dans des pays monothéistes, et qu’ainsi, ils n’ont pas besoin d’apprendre le Tawhîd ; quel est votre point vu à ce sujet ?

 

Lorsque la personne soulève cette interrogation, nous lui répondons :

 

« Qu’est-ce que le Tawhîd ? Peux-tu nous le faire connaître ? »

 

Et si elle ne peut pas nous l’expliquer, alors nous lui demanderons :

 

« De combien sont les piliers de la Foi ? De combien sont les piliers de l’Islâm ? Qu’est-ce que l’excellence ? »

 

Et lorsqu’elle ne peut pas répondre à cela, elle dit : « Je suis sur le Tawhîd ».

 

Et comment peux-tu être dans le Tawhîd sans connaître ce qu’est le Tawhîd ?

 

Et si nous l’interrogeons sur ce qu’est le polythéisme, ses différentes formes, de ce qui fait sortir de la religion et de ce qui ne le fait pas ; et qu’est-ce que l’hypocrisie et ses différents genres, lorsqu’elle est dans l’incapacité d’y répondre, elle dit : « Je suis monothéiste ! ».

 

Ce qui veut dire monothéiste par la parole seulement !

 

Ces propos sont des propos de ceux qui ignorent ce qu’est le Tawhîd, et qui ignorent que le Prophète (sallallahu ‘alayhi wa salam) a passé treize ans à la Mecque à appeler au Tawhîd, que Noûh (‘alayhi as-salam) a passé neuf cent cinquante ans à exhorter son peuple au Tawhîd (traductions rapprochées) :

 

« Ô mon peuple, adorez Allâh. Pour vous, pas d’autre divinité que Lui » [Coran, 7/59]

 

« Il [leur] dit : "Ô mon peuple, je suis vraiment pour vous, un avertisseur clair, Adorez Allâh, craignez-Le et obéissez-moi, pour qu’Il vous pardonne vos péchés et qu’Il vous donne un délai jusqu’à un terme fixé. Mais quand vient le terme fixé par Allâh, il ne saurait être différé si vous saviez !" Il dit : "Seigneur ! J’ai appelé mon peuple, nuit et jour. Mais mon appel n’a fait qu’accroître leur fuite. Et chaque fois que je les ai appelés pour que Tu leur pardonnes, ils ont mis leurs doigts dans leurs oreilles, se sont enveloppés de leurs vêtements, se sont entêtés et se sont montrés extrêmement orgueilleux. Ensuite, je les ai appelés ouvertement. Puis, je leur ai fait des proclamations publiques, et des confidences en secret. » [Coran, 71/2-9]

 

Et d’autres sourates encore.

 

Certes, le Tawhîd n’est pas un sujet simple.

 

Le Tawhîd demande à ce que l’on y apporte une grande attention, des enseignements et de la connaissance.

 

Il ne suffit pas de dire : « Je suis monothéiste » alors que tu ne connais pas ce que renferme le Tawhîd et ce qu’il l’annule et le rend caduque.

 

Comment peux-tu dire cela sans connaissance du Tawhîd ?

 

Pense-tu avoir plus de Tawhîd que Ibrâhîm (’alayhi as-salat was-salam) lorsqu’il a dit dans son invocation :

 

« "Ô mon Seigneur, fais de cette cité un lieu sûr, et préserve-moi ainsi que mes enfants de l’adoration des idoles. Ô mon Seigneur, elles (les idoles) ont égaré beaucoup de gens. Quiconque me suit est des miens. » [Coran, 14/35-36]

 

Il a craint pour sa propre personne le polythéisme. Alors que la personne à qui nous répondons se rassure elle-même sur le polythéisme et dit : « Je suis monothéiste ! ».

 

Il faut craindre Allâh – Subhânahu wa Ta’âla, car cette personne est soit ignorante, soit elle est égarée et veut détourner les gens de l’apprentissage du Dogme authentique.

 

Mouhâdharâtoun fîl-‘Aqîdati wad-Da’wah - 1/250-251      

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Cheikh Salih Bin Fawzan Bin 'Abdillah Al Fawzan - الشيخ صالح بن فوزان الفوزان

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فضل شهر رمضان (dossier)

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فضل شهر رمضان (dossier)

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Cheikh Mouhammad Ibn Salih Al-’Outheymine - الشيخ محمد بن صالح العثيمين

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Comment le Prophète صلى الله عليه وسلم buvait-il ?

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Comment le Prophète صلى الله عليه وسلم buvait-il ?

D'après Abou Houreira (qu'Allah l'agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et son salut soient sur lui) :

 

"buvait en trois respirations,

 

lorsqu'il approchait le récipient de sa bouche il prononçait le nom d'Allah (1)

et lorsqu'il l'éloignait il louait Allah (2).

 

Il faisait cela trois fois."

 

(Rapporté par Tabarani et authentifié par cheikh Albani dans la Silsila Sahiha n°1277)

 

(1) C'est à dire qu'il disait -Bismillah-

(2) C'est à dire qu'il disait -El Hamdoulilah-

 

عن أبي هريرة رضي الله عنه عن النبي صلى الله عليه و سلم

أنه كان يشرب في ثلاثة أنفاس . إذا أدنى الإناء إلى فيه سمى الله تعالى و إذا أخره حمد الله تعالى . يفعل ذلك ثلاث مرات

(رواه الطبراني و صححه الشيخ الألباني في السلسلة الصحيحة رقم ١٢٧٧)

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Doit-on renouveler chaque jour l'intention de jeûner ? (audio)

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Doit-on renouveler chaque jour l'intention de jeûner ? (audio)

 

Question :

 

Est-ce que une seule intention (de jeûner) suffit pour le mois de Ramadhan ou chaque jour doit avoir sa propre intention ? 

 

Réponse :

 

Nul doute qu'il faut une intention pour chaque jour avant le Fajr (Sobh).

 

Car chaque jour est une adoration indépendante.

 

Le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit : 

 

"Pas de jeûne pour celui qui n'en a pas eu l'intention dans la nuit " (1) 

 

Na'am.

 

(1) Hadith Rapporté par Ad-Daraqutni

 

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هل تكفي نية واحدة لصيام شهر رمضان

Cheikh Salih Bin Fawzan Bin 'Abdillah Al Fawzan - الشيخ صالح بن فوزان الفوزان

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